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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

Les anges et les hommes - soeur Marie Lataste.

31 Décembre 2009, 15:46pm

Publié par Véronique J.

LIVRE QUATRIÈME, Les anges et les hommes.

  Gloire et louange, amour et reconnaissance soient à jamais rendus à Jésus au saint sacrement de l’autel, au Père et au Saint-Esprit dans tous les siècles des siècles, Amen.

LIVRE QUATRIÈME, chapitre 1

  Le Sauveur Jésus me dit un jour : « Ma fille, l'homme a été créé le dernier parmi les êtres de la création, ce n'a pas été sans un dessein particulier de Dieu ; car Dieu a voulu achever son œuvre tout entière et la résumer dans la création de l'homme. Voyez l'homme, il est composé d'un corps et d’une âme, il grandit, il a l'être ou l’existence, il a la sensation ou l’usage des sens. Par son âme il se rattache aux anges ; par la sensation, aux animaux ; par l'être ou l’existence, aux divers éléments de la nature qui n'ont ni intelligence ni vie ; par son développement aux plantes qui croissent et se développent. Voilà comment l'homme se rattache à toute la création : à la création spirituelle ou angélique par son âme, à la création matérielle par son corps. Cette union de l'homme avec toute la création n'est pas quelque chose de purement imaginaire, c'est, au contraire, une réalité telle qu'il participe à ce qu'il y a de bon et de mauvais dans ces deux créations, par l’influence que l'une et l'autre exercent sur lui.
  « L’union la plus intime de l'homme est avec les anges, parce que cette union doit durer toujours et jusque dans l’éternité. L’union avec la créature matérielle est d’un degré beaucoup inférieur, parce que cette union n'est que transitoire et ne dure que dans le temps pour finir à l’entrée de l’éternité. De plus, ma fille, l'union de l'âme avec l'ange est plus forte, parce que cette union n'est pas une union passive, mais une union opérante et pleine d’activité. Il y a communication entre l'âme de l'homme et les anges ; il y a entente, et cette communication, cette entente deviennent telles que l'homme finit par ressembler à l'ange et prendre position avec lui. S’il fait alliance avec les bons anges, s'il les suit, s'il combat avec eux, l'homme sera bon ; s'il fait alliance avec les mauvais anges, l'homme sera mauvais et leur deviendra semblable. La bonté de l'homme lui donnera place parmi les bons anges, sa malice parmi les anges mauvais. Ah ! ma fille, attachez-vous aux anges qui sont bons, parce qu'ils ont été fidèles à mon Père, et fuyez ceux qui se sont révoltés contre lui et voudraient vous entraîner dans leur révolte. »


SOURCE << ici >>

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LES ANGES ET LES DEMONS - soeur Marie Lataste

31 Décembre 2009, 15:26pm

Publié par Véronique J.

LIVRE QUATRIÈME, chapitre 8

  Le Sauveur Jésus m’avait ainsi parlé des anges et des démons. Or, quelques jours après, il me sembla qu'une voix voulait se faire entendre au-dedans de mon cœur et me dire des choses sublimes. Aussitôt, le trouble s’empara de mon âme, et craignant d’être trompée, je me réfugiai bien vite près de Jésus, le conjurant de ne pot permettre que je fusse trompée. Je vis des yeux de mon âme Satan furieux de n’avoir pu me tromper. « Ma fille, me dit Jésus, voici l'heure du combat. » Mon cœur commença à battre avec force. « Eh quoi ! Ajouta le Sauveur, vous craindriez, fille pusillanime ? » Quand Jésus eut prononcé ces paroles, je me vis environnée d’une multitude de spectres honteux à voir. Je souffrais plus que je ne pourrais l’exprimer. La tentation devenait de plus en plus violente. Ma force augmentait en proportion. Je luttais seule, mon ange s’était retiré un peu plus loin et me regardait. Je luttais toujours, et pleine de mépris pour mes ennemis, je protestai à haute voix que j’aimerais mieux mourir que d’offenser mon Dieu. Pendant cette lutte, je chantais quelques versets du cantique :

Le monde, en vain, par ses biens et ses charmes, etc.

Choisissant les paroles qui me convenaient le plus.
  Après quelques moments de combat, je m’enfuis vers Jésus, et je le conjurai de purifier mon esprit de ces images déshonnêtes qui avaient voulu souiller mon âme. Mes ennemis ne se tinrent point pour battus ; ils ne tardèrent pas à revenir à la charge.
  Vains efforts : mon ange, une verge à la main, les repoussait vigoureusement. Je ne combattais lus, mon ange combattait pour moi.
  À l’heure de ma prière du soir, ces spectres affreux revinrent en nombre plus considérable ; mais pour favoriser le calme de mon esprit, une multitude d’anges vinrent se ranger en cercle autour de moi. Je n’ai jamais mieux prié qu’en ce moment.
  La tentation dura quelques jours encore et de diverses manières. J'étais tentée par orgueil, par sensualité, par gourmandise, et chaque fois mon ange éloignait le Démon, soit par un coup de verge, soit par une menace ; un regard même suffisait pour le mettre en fuite. Voyant cette faiblesse du démon, j'avais envie de rire ; mon ange m’en empêchait en plaçant sa main sur ma bouche. En ce moment, j’entendis mon ange et le Démon se disputer à cause de moi.
  Le Démon disait : « Je la veux. »
Mon ange répondait : « Tu ne l'auras pas ! »
Le Démon : « Je la prendrai malgré toi. »
Mon ange : « Je t’empêcherai de la prendre. »
Le Démon : « Retire-toi dans le ciel, je m’en emparerai. »
Mon ange : « Le Seigneur m’a commandé de veiller sur elle, je dois lui obéir. »
Le Démon : « Eh ! Que m’importe ton obéissance ; à quelque prix que ce soit, je l'aurai en mon pouvoir. »
Mon ange : « Le Seigneur l’a prise sous sa protection. Qui est-du donc, superbe audacieux, pour prétendre la lui ravir ?… »
Le Démon : « J’emploierai tout pour cela, et la force et la ruse. »
Mon ange : « Tu n’auras sur elle que le pouvoir que te donnera le Seigneur. »
Le Démon : « Je la ferai succomber. »
Mon ange : « Non, je la soutiendrai. »
Le Démon : « Je troublerai sa paix. »
Mon ange : « Tu peux essayer, tu n’y parviendras point. »
Le Démon : « Je l’aurai, sinon pendant sa vie, du moins à l’heure de sa mort. »
Mon ange : « Sa mort te mettra en fuite. »
Le Démon : « Je la veux dès ce moment. »
Mon ange : « Dès ce moment, retire-toi. »
Le Démon se retira plein de malice et mon ange demeura près de moi.


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Prière quotidienne à notre ange gardien
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Notre ange gardien
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Du secret de la confession - Notre-Seigneur Jésus-Christ à soeur Marie Lataste

31 Décembre 2009, 14:51pm

Publié par Véronique J.

LIVRE CINQUIÈME, chapitre 20

  Voici ce qu'il a ajouté à propos du secret de la confession. « Ma fille, le confesseur et le pénitent sont également tenus au secret de la confession ; mais l’obligation du confesseur est bien plus grande que celle du pénitent.
  « Le confesseur ne peut jamais, d’aucune manière, faire connaître les péchés de son pénitent. La confession pour lui doit être un secret inviolable ; il est tenu à ce secret par les lois les plus sévères et les peines les plus graves. Vous comprenez qu'il doit en être ainsi ; sans cela, la confession disparaîtrait vite de la surface du monde. Le confesseur ne doit même pas penser volontairement aux péchés de son pénitent, à moins que ce ne soit pour chercher les moyens de le convertir et de le faire changer de vie.
  « Si le confesseur est tenu au secret de la confession de son pénitent, de son côté le pénitent est tenu au secret pour ce qui lui est dit en confession. Néanmoins, l’obligation n'est pas aussi forte que celle du confesseur ; car, si violer ce secret est parfois un péché pour le pénitent, quelquefois ce n'est ni bien ni mal, quelquefois même cela peut être bien.
  « Le pénitent pèche quand il répète par raillerie, par mépris, légèreté ou vanité, ce qui lui a été dit en confession. Cela peut faire même un grand mal et porter un grand préjudice au confesseur et à la religion. Il est bien difficile de réparer le mal produit par cette indiscrétion.
  « Le pénitent peut ne faire ni bien ni mal en dévoilant ce qui lui a été dit par exemple, quand il répète des choses de peu d’importance qui ne peuvent porter préjudice ni au confesseur ni à la religion ; quand il dit cela à une personne pieuse ou qui a de bons sentiments, il ne fait ni bien ni mal ; cela pourrait être mal pourtant s'il s’adressait à une ou plusieurs personnes du monde.
  « Le pénitent peut quelquefois bien faire en répétant ce qui lui a été dit en confession. Vous verriez, je suppose, une personne dans la peine, elle vous communique les motifs de son affliction. Or, vous voyez que vous vous êtes trouvée vous-même dans la même position et vous vous rappelez les paroles de votre confesseur, qui ont non-seulement calmé votre peine, mais encore qui l’ont dissipée complètement. En cette circonstance, vous pouvez parler à cette personne comme votre confesseur vous a parlé à vous-même ; vous pouvez au besoin, pour donner plus de poids à vos paroles, assurer qu'elles vous ont été dites en confession. Une personne aurait reçu en confession un avertissement qui lui aurait déplu, entendu une parole désagréable, vous pouvez lui dire que cela arrive à tous quand on le mérite. Il est permis à un ami de dire à son ami toutes ses peines en général, quelles qu'elles soient, pourvu que cet ami soit pieux, fidèle, sincère, prudent, secret, qu'il aime Dieu. On peut même lui parler de ses peines dans la confession et recevoir les lumières, les avis, les conseils de celui à qui l’on fait ces confidences. Mais néanmoins il faut en cela beaucoup de discrétion et de prudence, craindre que le mal en survienne, et pour cela ne jamais parler de ce qui se fait en confession à des personnes légères, mondaines et peu fidèles à garder un secret.
  « Quand un pénitent n'est point satisfait de son confesseur, il ne doit le dire à personne, pas même aux personnes pieuses, afin de ne point leur enlever la confiance qu'elles ont en lui. On peut le dire à un ami prudent qui aime Dieu et qui indiquera, s’il le peut, un autre confesseur qui conviendra. On doit alors s’adresser à un autre, mais avec une raison véritablement bien fondée. Combien de personnes qui changent de confesseur parce qu’une autre en a changé. Agir ainsi, c'est agir à la légère, c'est n'être point prudent, c'est même s’exposer à de grands embarras. C'est quelquefois quitter un confesseur sage, prudent, habile, éclairé, vertueux, pour s’adresser à un autre qui ne sera pas en état de faire le même bien que le premier.
  « Gardez souvenir de ces paroles, ma fille, et faites-en l'application dans votre conduite. » Ainsi me parla le Sauveur Jésus.


SOURCE << ici >>

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Jésus-Christ, roi de la ville de Salcininkai en Lituanie.

31 Décembre 2009, 14:39pm

Publié par Véronique J.

Notre Seigneur Jésus-Christ a été intronisé Roi de leur localité.


Merci Seigneur, nos prières commencent à porter leurs fruits.
Véronique J.

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Décès du Cardinal Shirayanagi - Union de prière

31 Décembre 2009, 12:10pm

Publié par Véronique J.

DECES DU CARDINAL SHIRAYANAGI

 CITE DU VATICAN, 30 DEC 2009 (VIS).

Le Cardinal Peter Seiichi Shirayanagi, archevêque émérite d
e Tokyo, est décédé ce matin au Japon à l'âge de 81 ans. Ses funérailles auront lieu mardi 5 janvier 2010.



En union de prière fraternelle pour notre frère qui a rejoint le Ciel.
Véronique J.

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Le Pape Benoît XVI : intentions de prière pour Janvier 2010.

31 Décembre 2009, 12:07pm

Publié par Véronique J.

INTENTIONS DE PRIERE POUR JANVIER 2010

 CITE DU VATICAN, 30 DEC 2009 (VIS).

L'intention de prière générale de Benoît XVI pour le mois de janvier 2010 est :

"
Pour que les jeunes sachent utiliser les moyens modernes de communication sociale pour leur croissance personnelle et pour mieux se préparer à servir la société".

  Son intention missionnaire est :

 "
Pour que tout croyant dans le Christ prenne conscience du fait que l'unité entre tous les chrétiens constitue une condition pour rendre l'annonce de l'Evangile plus efficace".

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PIETRO LOMBARDO, VISION COMPLETE DOCTRINE CHRETIENNE

31 Décembre 2009, 12:00pm

Publié par Véronique J.

CITE DU VATICAN, 30 DEC 2009 (VIS).

La catéchèse de la dernière audience générale de 2009 était dédiée au théologien Pietro Lombardo, auteur des "Sentences", œuvre adoptée comme manuel dans toutes les écoles de théologie pendant de nombreux siècles.

   Issu de famille modeste, Lombardo étudia à Bologne, Reims et Paris où, dès 1140, il fut professeur dans la prestigieuse école Notre-Dame. En 1159, à la fin de sa vie, il fut nommé évêque de Paris. Le Pape a expliqué que le grand apport du théologien fut d'avoir recueilli les textes bibliques, la pensée des grands pères de l'Eglise et de huit célèbres penseurs chrétiens, et de les "avoir ordonné dans un cadre systématique et harmonieux".

  En effet, une des caractéristiques de la théologie -a-t-il poursuivi- est d'organiser le patrimoine de la foi de façon unitaire et ordonnée" afin que "les diverses vérités qu'il contient s'éclairent réciproquement...offrant ainsi une vision de l'harmonie du plan de Dieu et de la place centrale du mystère du Christ".

   Benoît XVI a ensuite invité tous les théologiens et les prêtres à garder en mémoire "la vision complète de la doctrine chrétienne contre les risques actuels de fragmentation et de dévaluation de  chaque vérité. Le Catéchisme de l'Eglise catholique, de même que son Compendium, nous offrent précisément ce cadre complet de la révélation chrétienne". Le Pape a ensuite encouragé "tous les fidèles et les communautés chrétiennes à profiter de ces instruments pour connaître et approfondir les contenus de notre foi".

   L'œuvre de Pietro Lombardo apporte un autre aspect fondamental : sa vision de "l'essence des sacrements" qui sont "cause de la grâce de Dieu" et qui ont "la capacité de communiquer réellement la vie divine. Les théologiens successifs -a ajouté Benoît XVI- n'abandonneront plus cette vision et utiliseront aussi la distinction entre élément matériel et élément formel, introduite par le Maître des Sentences, ainsi qu'était appelé Pietro Lombardo. L'élément matériel est la réalité sensible et visible, l'élément formel, les paroles prononcées par le ministre. Elles sont toutes les deux essentielles pour une célébration complète et valide des sacrements".

   "Il est important de reconnaître combien la vie sacramentelle est précieuse et indispensable pour chaque chrétien", a observé le Pape en encourageant, en cette année sacerdotale, "les prêtres, surtout les ministres qui ont charge d'âmes, à avoir, les premiers, une vie sacramentelle intense pour aider les fidèles. La célébration des sacrements doit être empreinte de dignité et de retenue, doit favoriser le recueillement personnel et la participation communautaire, le sens de la présence de Dieu et l'ardeur missionnaire".

 Les sacrements -a conclu le Saint-Père- sont un grand trésor de l'Eglise et chacun de nous a le devoir de les célébrer avec du fruit spirituel. En eux, se trouve un événement surprenant qui touche notre vie : le Christ, par des signes visibles, vient à notre rencontre, nous purifie, nous transforme et nous fait participer à sa divine amitié". A la fin, le Saint-Père a souhaité  qu'en cette nouvelle année, l'amitié de Jésus-Christ soit chaque jour "lumière et guide" pour tous.

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SAUVER LA FAMILLE FONDEE SUR LE MARIAGE

30 Décembre 2009, 14:37pm

Publié par Véronique J.

CITE DU VATICAN, 27 DEC 2009 (VIS).

 Avant de réciter l'angélus, en ce dimanche de la Sainte Famille, le Pape a rappelé aux fidèles réunis Place St.Pierre que "Dieu a voulu se révéler en naissant dans une famille humaine et c'est pourquoi la famille humaine est devenue l'image de Dieu !".

 

  "Dieu est Trinité, il est communion d'amour, et la famille en est, avec toute la différence existant entre le mystère de Dieu et sa créature humaine, une expression qui reflète le mystère insondable du Dieu amour... La famille humaine, dans un certain sens, est une image de la Trinité par son amour interpersonnel et par la fécondité de son amour".

 

  "Commentant l'Evangile du jour racontant l'épisode de Jésus qui, à douze ans, se rend au temple de Jérusalem à l'insu de ses parents et qui, ne le retrouvant que trois jours après, s'entendent répondre par Jésus qu'il doit être dans la maison de son Père, le Pape a ajouté que "la décision de Jésus de se rendre au temple était surtout le fruit de sa relation intime avec le Père, mais aussi le fruit de l'éducation reçue de Marie et Joseph".

 

  "Nous pouvons entrevoir ici -a-t-il poursuivi- le vraie sens de l'éducation chrétienne: elle est le fruit d'une collaboration qui doit toujours être recherchée entre les éducateurs et Dieu. La famille chrétienne est consciente que les enfants sont don et projet de Dieu. C'est pourquoi, on ne peut les considérer comme une possession, mais en servant en eux le dessein de Dieu, la famille est appelée à les éduquer à une liberté plus grande, celle de dire oui à Dieu pour faire sa volonté".

 

  S'adressant ensuite aux participants à la fête de la Sainte Famille célébrée aujourd'hui à Madrid, le Saint-Père a expliqué que "Dieu, venu au monde au sein d'une famille, manifeste ainsi que cette institution est un chemin sûr pour le rencontrer et le connaître, ainsi qu'un appel permanent à travailler pour l'unité de tous autour de l'amour. Ainsi, un des plus grands services que nous, chrétiens, pouvons rendre à nos semblables est de leur offrir notre témoignage serein et ferme de la famille fondée sur le mariage entre un homme et une femme, en la sauvegardant et en l'encourageant, puisqu'elle est d'une importance capitale pour le présent et l'avenir de l'humanité".

 

  "En effet, la famille -a-t-il expliqué- est la meilleure école où l'on apprend à vivre ces valeurs qui rendent la personne digne et les peuples grands. C'est aussi en elle que se partagent les peines et les joies, se sentant tous couverts de la tendresse régnant dans la maison par le simple fait d'être membres de la même famille".

 

  Benoît XVI a demandé à Dieu que dans les foyers, "on respire toujours cet amour totalement  offert et fidèle que Jésus a apporté au monde avec sa naissance, en le nourrissant et le fortifiant par la prière quotidienne, la pratique constante des vertus, la compréhension réciproque et le respect mutuel".

 

  "Je vous encourage aussi -a conclu le Pape- à ce qu'en vous confiant à la maternelle intercession de Marie, Reine des familles, et à la puissante protection de saint Joseph, son époux, vous vous consacriez sans cesse à cette belle mission que le Seigneur a mis entre vos mains. Comptez aussi sur ma proximité et mon affection, et je vous prie d'apporter un salut très particulier du Pape à vos proches qui en ont le plus besoin ou qui sont en difficulté".

 

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JESUS SAUVEUR ET LIBERATEUR DE L'HUMANITE

30 Décembre 2009, 14:32pm

Publié par Véronique J.

CITE DU VATICAN, 25 DEC 2009 (VIS).

A midi, en la fête de la Nativité du Seigneur, le Pape a lu son traditionnel message de Noël depuis le balcon central de la basilique vaticane et a donné sa bénédiction Urbi et Orbi.

Voici des extraits de ce message:

  "La liturgie de la messe de l'aurore nous a rappelé que, désormais, la nuit est passée, le jour est avancé ; la lumière qui émane de la grotte de Bethléem resplendit sur nous... La lumière du premier Noël fut comme un feu allumé dans la nuit. Autour tout était sombre, tandis que dans la grotte resplendissait la vraie lumière, qui éclaire tout homme...

  "Aujourd'hui aussi, à travers ceux qui vont à la rencontre de l'Enfant, Dieu allume encore des feux dans la nuit du monde pour appeler les hommes à reconnaître en Jésus le signe de sa présence salvatrice et libératrice et élargir le nous des croyants dans le Christ à l'humanité toute entière".

  "Partout où il y a un nous qui accueille l'amour de Dieu, là resplendit la lumière du Christ, même dans les situations les plus difficiles. L'Eglise, comme la Vierge Marie, offre au monde Jésus, le Fils qu'elle-même a reçu en don, et qui est venu libérer l'homme de l'esclavage du péché".

  "Aujourd'hui aussi, pour la famille humaine profondément marquée par une grave crise économique, mais d'abord encore morale, et par les douloureuses blessures de guerres et de conflits, sous la forme du partage et de la fidélité à l'homme, l'Eglise répète avec les bergers : Allons jusqu'à Bethléem, là nous trouverons notre espérance".

  "Le nous de l'Eglise vit là où Jésus est né, en Terre Sainte, pour inviter ses habitants à abandonner toute logique de violence et de vengeance et à s'engager avec une vigueur renouvelée et avec générosité sur le chemin d'une coexistence pacifique. Le nous de l'Eglise est présent dans les autres pays du Moyen Orient. Comment ne pas penser à la situation tourmentée en Irak et à ce petit troupeau de chrétiens qui vit dans la région? Il souffre parfois de violences et d'injustices mais il est toujours disposé à donner sa propre contribution à l'édification de la cohabitation civile contraire à la logique du conflit et du refus du voisin".

  "Le nous de l'Eglise opère au Sri Lanka, dans la péninsule coréenne et aux Philippines, comme aussi en d'autres terres asiatiques, comme levain de réconciliation et de paix".

  "Sur le continent africain, il ne cesse d'élever sa voix vers Dieu pour implorer la fin de toutes les exactions en République Démocratique du Congo. Il invite les habitants de la Guinée et du Niger au respect des droits de toute personne et au dialogue. A ceux de Madagascar, il demande de dépasser les divisions internes et de s'accueillir réciproquement. A tous, il rappelle qu'ils sont appelés à l'espérance, malgré les drames, les épreuves et les difficultés qui continuent de les affliger".

  "En Europe et en Amérique septentrionale, le nous de l'Eglise incite à dépasser la mentalité égoïste et techniciste, à promouvoir le bien commun et à respecter les personnes plus faibles, à commencer par celles qui ne sont pas encore nées. Au Honduras, il aide à reprendre le chemin institutionnel. Dans toute l'Amérique Latine, le nous de l'Eglise est facteur identitaire, plénitude de vérité et de charité qu'aucune idéologie ne peut remplacer, appel au respect des droits inaliénables de toute personne et à son développement intégral, annonce de justice et de fraternité, source d'unité".

  "Fidèle au mandat de son fondateur, l'Eglise est solidaire de ceux qui sont frappés par les calamités naturelles et par la pauvreté, également dans les sociétés opulentes. Face à l'exode de ceux qui émigrent de leur terre et qui sont poussés au loin par la faim, par l'intolérance ou par la dégradation environnementale, l'Eglise est une présence qui appelle à l'accueil. En un mot, l'Eglise annonce partout l'Evangile du Christ malgré les persécutions, les discriminations, les attaques et l'indifférence, parfois hostile, qui, quoi qu'il en soit, lui permettent de partager le sort de son maître et Seigneur".

 

  Après son message, le Pape a souhaité un joyeux Noël en 65 langues et a donné sa bénédiction Urbi et Orbi (à Rome et au monde).

 

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Communiqué sur l'incident de la Messe de la nuit

30 Décembre 2009, 14:28pm

Publié par Véronique J.

CITE DU VATICANO 25 DEC 2009 (VIS).

Le Directeur de la Salle de Presse, le Père Federico Lombardi, a publié aujourd'hui le communiqué suivant:

   "Hier soir, au cours de la procession d'entrée de la célébration, une personne perturbée, Susanna Maiolo, citoyenne italo-suisse, est passée au-dessus de la barrière de sécurité et, malgré l'intervention de la sécurité, a réussi à atteindre le Saint-Père. En s'accrochant à son pallium, elle lui a fait perdre l'équilibre et l'a fait glisser, le faisant tomber à terre. Le Pape s'est rapidement relevé et a poursuivi son chemin. La célébration s'est ensuite poursuivie sans aucun autre problème.

   Malheureusement, dans la confusion créée, le Cardinal Etchegaray a fait une chute, se fracturant le col du fémur, et a du être hospitalisé à la Polyclinique Gemelli. Ses conditions de santé sont bonnes bien qu'il devra être opéré.

   La jeune femme qui n'était pas armée mais manifeste des signes de déséquilibres psychiques, a été internée dans une structure sanitaire pour être soumise à un traitement".

   Hier, 27 décembre, le Cardinal Roger Etchegaray a été opéré pour recevoir une prothèse de la hanche, avec un résultat satisfaisant. Son état de santé est bon, selon l'information donnée par un communiqué de la Salle de Presse qui a également informé que l'incident de Susanna Maiolo relève de la compétence de la magistrature vaticane qui, "à la lumière des informations médicales et de la Gendarmerie du Vatican, étudiera la suite à donner".



En union de prière fraternelle pour toutes ces âmes.
Véronique J.

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