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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

Suis-je hypochondriaque ?

22 Février 2014, 17:40pm

Publié par Véronique

Si Jésus est le roi de ma vie : de quoi aurai-je peur ?

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C'est la guerre.

18 Février 2014, 17:24pm

Publié par Véronique

C'est la guerre. Heureusement que celle des mots.

Tout va mal, le monde souffre, les hommes aussi, le mal vient de toute part, même de là où on ne l'attend pas.

Prions pour que la paix soit dans les coeurs.

En union de prière fraternelle

Véronique

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La prière des cinq doigts du pape François

16 Février 2014, 20:27pm

Publié par Véronique

Il y a vingt ans, Jorge Mario Bergoglio, évêque de Buenos Aires et actuel Pape François, a écrit une prière qui est devenue très populaire en Argentine.

 

Le pouce est le plus proche de vous.
Donc, commencez par prier pour ceux qui sont les plus attachés à vous. Ils sont les plus faciles à retenir. Prier pour ceux que nous aimons est « une douce besogne." »

Le prochain doigt est l'index
Priez pour ceux qui enseignent, instruisent et soignent. Ils ont besoin de soutien et de sagesse pour conduire les autres dans la bonne direction. Gardez-les dans vos prières.

Le prochain doigt est le plus grand (le majeur).
Il nous rappelle nos dirigeants, les dirigeants, qui ont le pouvoir. Ils ont besoin de l'inspiration divine.

Le prochain est l’annulaire.
Étonnamment, c'est notre doigt le plus faible. Il nous rappelle de prier pour les faibles, les malades et ceux en proie à des problèmes. Ils ont besoin de nos prières.

Et finalement, nous avons le petit doigt (l'auriculaire), le plus petit de tous.
Le petit doigt devrait vous rappeler de prier pour vous-même. Lorsque vous avez fini de prier pour les quatre premiers groupes, vos propres besoins apparaîtront dans la bonne perspective et vous serez prêt à prier pour vous-même de manière plus efficace.

Le Pape François

 

Merci à M.F qui m'a fait connaître cette prière

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Euthanasie sur les enfants : un crime ! N'ayons pas peur des mots.

16 Février 2014, 16:53pm

Publié par Véronique

Des couronnes funéraires pour les futurs enfants euthanasiés

Cet après-midi, les Belges étaient invités à déposer des fleurs, des couronnes, des peluches et des bougies devant leur Parlement, à l'intention des futures victimes de l'assassinat médical et de l'abandon parental couverts par la loi récemment votée sur l'euthanasie pour les mineurs.

Belgique 0
La police fait sa cueillette :

Belgique 2

Belgique 3
... sour le regard des Sentinelles :

Belgique 5Source : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/02/des-couronnes-fun%C3%A9raires-pour-les-futurs-enfants-euthanasi%C3%A9s.html

 

 

Respecter celui qui est face à nous :

http://le.blog.de.lala.over-blog.com/2014/02/respecter-celui-qui-est-face-%C3%A0-nous.html

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« La vengeance conduit au crime ! »

16 Février 2014, 15:53pm

Publié par Véronique

IVe semaine

« Salomé portant la tête de Jean-Baptiste »
Michelangelo Merisi da Caravaggio, dit Le Caravage (1571-1610)
National Gallery, Londres

Mercredi 5 février 2014 : Mc VI, 1-6

Jésus est parti pour son pays, et ses disciples le suivent. Le jour du sabbat, il se mit à enseigner dans la synagogue. Les nombreux auditeurs, frappés d'étonnement, disaient : « D'où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et ces grands miracles qui se réalisent par ses mains ? N'est-il pas le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon ? Ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ? » Et ils étaient profondément choqués à cause de lui. Jésus leur disait : « Un prophète n'est méprisé que dans son pays, sa famille et sa propre maison. » Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle ; il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains. Il s'étonna de leur manque de foi. Alors il parcourait les villages d'alentour en enseignant.

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Prédication

Jeudi 6 février 2014 : Mc VI, 7-13

Jésus appelle les Douze, et pour la première fois il les envoie deux par deux. Il leur donnait pouvoir sur les esprits mauvais, et il leur prescrivit de ne rien emporter pour la route, si ce n'est un bâton ; de n'avoir ni pain, ni sac, ni pièces de monnaie dans leur ceinture. « Mettez des sandales, ne prenez pas de tunique de rechange. » Il leur disait encore : « Quand vous avez trouvé l'hospitalité dans une maison, restez-y jusqu'à votre départ. Si, dans une localité, on refuse de vous accueillir et de vous écouter, partez en secouant la poussière de vos pieds : ce sera pour eux un témoignage. » Ils partirent, et proclamèrent qu'il fallait se convertir. Ils chassaient beaucoup de démons, faisaient des onctions d'huile à de nombreux malades, et les guérissaient.

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Prédication

Vendredi 7 février 2014 : Mc VI, 14-29

Comme le nom de Jésus devenait célèbre, le roi Hérode en entendit parler. On disait : « C'est Jean le Baptiste qui est ressuscité d'entre les morts, et voilà pourquoi il a le pouvoir de faire des miracles. » Certains disaient : « C'est le prophète Élie. » D'autres disaient encore : « C'est un prophète comme ceux de jadis. » Hérode entendait ces propos et disait : « Celui que j'ai fait décapiter, Jean, le voilà ressuscité ! » Car c'était lui, Hérode, qui avait fait arrêter Jean et l'avait mis en prison. En effet, il avait épousé Hérodiade, la femme de son frère Philippe, et Jean lui disait : « Tu n'as pas le droit de prendre la femme de ton frère. » Hérodiade en voulait donc à Jean, et elle cherchait à le faire mettre à mort. Mais elle n'y arrivait pas parce que Hérode avait peur de Jean : il savait que c'était un homme juste et saint, et il le protégeait ; quand il l'avait entendu, il était très embarrassé, et pourtant, il aimait l'entendre. Cependant, une occasion favorable se présenta lorsque Hérode, pour son anniversaire, donna un banquet à ses dignitaires, aux chefs de l'armée et aux notables de la Galilée. La fille d'Hérodiade fit son entrée et dansa. Elle plut à Hérode et à ses convives. Le roi dit à la jeune fille : « Demande-moi tout ce que tu veux, je te le donnerai. » Et il lui fit ce serment : « Tout ce que tu me demanderas, je te le donnerai, même si c'est la moitié de mon royaume. » Elle sortit alors pour dire à sa mère : « Qu'est-ce que je vais demander ? » Hérodiade répondit : « La tête de Jean le Baptiste. » Aussitôt la jeune fille s'empressa de retourner auprès du roi, et lui fit cette demande : « Je veux que tout de suite tu me donnes sur un plat la tête de Jean Baptiste. » Le roi fut vivement contrarié ; mais à cause du serment fait devant les convives, il ne voulut pas lui opposer un refus. Aussitôt il envoya un garde avec l'ordre d'apporter la tête de Jean. Le garde s'en alla, et le décapita dans la prison. Il apporta 1a tête sur un plat, la donna à la jeune fille, et la jeune fille la donna à sa mère. Lorsque les disciples de Jean apprirent cela, ils vinrent prendre son corps et le déposèrent dans un tombeau.

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Prédication

Source : http://www.delamoureneclats.fr/#!/ses-predications/2013-2014/2014-02-03/semaine/

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Ce que le pape François dit aux Fiancés : est-il possible de s’aimer « pour toujours » ?

16 Février 2014, 15:23pm

Publié par Véronique

Au cours de la rencontre, organisée par le Conseil pontifical pour la famille, le pape a dialogué avec trois couples de fiancés.

Voici notre traduction intégrale de ce dialogue :

Dialogue entre le pape et les fiancés

 

Première question : La peur de ce « pour toujours »

[Q. Sainteté, nombreux sont ceux qui pensent, aujourd’hui, que se promettre fidélité pour toute la vie est une entreprise trop difficile ; beaucoup pensent que vivre ensemble est un beau défi, fascinant, mais trop exigeant, presque impossible. Nous vous demandons une parole pour nous éclairer sur ce point.]

Pape François - Je vous remercie pour votre témoignage et pour cette question. Je vais vous expliquer : ils m’ont envoyé leurs questions à l’avance… C’est compréhensible… Et comme cela, j’ai pu réfléchir et penser à une réponse un peu plus solide.

C’est important de se demander s’il est possible de s’aimer « pour toujours ». C’est une question qu’il faut se poser : est-il possible de s’aimer « pour toujours » ? Aujourd’hui, beaucoup de personnes ont peur de faire des choix définitifs. Un garçon disait à son évêque : « Je veux être prêtre, mais seulement pour dix ans ». Il avait peur de faire un choix définitif. Mais c’est une peur généralisée, propre à notre culture. Faire des choix pour toute la vie semble impossible. Aujourd’hui, tout change rapidement, rien ne dure longtemps… Et cette mentalité pousse beaucoup de ceux qui se préparent au mariage à dire : « On reste ensemble tant que dure l’amour », et ensuite ? Salut et à bientôt… Et le mariage se termine comme cela. Mais qu’est-ce que nous entendons par « amour » ? Seulement un sentiment, un état psycho-physique ? Bien sûr, si c’est cela, on ne peut pas se construire sur quelque chose de solide. Mais si, en fait, l’amour est une relation, alors c’est une réalité qui grandit, et nous pouvons dire, par analogie, qu’elle se construit comme une maison. Et on construit la maison ensemble, pas tout seul ! Construire, ici, signifie favoriser et aider la croissance.

Chers fiancés, vous êtes en train de vous préparer à grandir ensemble, à construire cette maison, pour vivre ensemble pour toujours. Vous ne voulez pas la fonder sur le sable des sentiments qui vont et viennent, mais sur le roc de l’amour vrai, l’amour qui vient de Dieu. La famille naît de ce projet d’amour qui veut grandir comme on construit une maison pour qu’elle soit un lieu d’affection, d’aide, d’espérance, de soutien. De même que l’amour de Dieu est stable et pour toujours, ainsi nous voulons aussi que l’amour qui fonde la famille soit stable et pour toujours. S’il vous plaît, nous ne devons pas nous laisser vaincre par « la culture du provisoire » ! Cette culture qui, aujourd’hui, nous envahit tous, cette culture du provisoire. Ce n’est pas possible !

Alors, comment peut-on soigner cette peur du « pour toujours » ? On la soigne jour après jour, en se confiant au Seigneur Jésus dans une vie qui devient un chemin spirituel quotidien, fait de pas – des petits pas, des pas de croissance commune –, fait d’engagement à devenir des femmes et des hommes murs dans la foi. Parce que, chers fiancés, ce « pour toujours » n’est pas simplement une question de durée ! Un mariage n’est pas réussi seulement s’il dure, mais c’est sa qualité qui est importante. Le défi des époux chrétiens est d’être ensemble et de savoir s’aimer pour toujours. Il me vient à l’esprit le miracle de la multiplication des pains ; pour vous aussi, le Seigneur peut multiplier votre amour et vous le rendre frais et bon chaque jour. Il en a une réserve infinie ! C’est lui qui vous donne l’amour qui est le fondement de votre union et il le renouvelle, il le fortifie chaque jour. Et il le rend encore plus grand lorsque la famille s’agrandit avec les enfants. Sur ce chemin, la prière est importante, elle est nécessaire, toujours. Lui pour elle, elle pour lui et tous les deux ensemble. Demandez à Jésus de multiplier votre amour. Dans la prière du Notre Père, nous disons : « Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour ». Les époux peuvent apprendre aussi à prier ainsi : « Seigneur, donne-nous aujourd’hui notre amour de ce jour », parce que l’amour quotidien des époux est le pain, le vrai pain de l’âme, celui qui les soutient pour qu’ils puissent avancer. Et la prière : pouvons-nous faire un essai pour voir si nous la savons ? « Seigneur, donne-nous aujourd’hui notre amour de ce jour ». Tous ensemble ! [les fiancés : Seigneur, donne-nous aujourd’hui notre amour de ce jour]. Encore une fois ! [les fiancés : Seigneur, donne-nous aujourd’hui notre amour de ce jour]. Voilà la prière des fiancés et des époux. Apprends-nous à nous aimer, à nous aimer vraiment ! Plus vous vous confierez en Lui, plus votre amour sera « pour toujours », capable de se renouveler, et il vaincra toute difficulté. Voilà ce que je voulais vous dire, en réponse à votre question. Merci !

 

Deuxième question : Vivre ensemble : le mariage, un « style de vie »

[Q – Sainteté, c’est beau de vivre ensemble tous les jours, cela donne de la joie, c’est un soutien. Mais c’est un défi à relever. Nous croyons qu’aimer s’apprend. Il y a un « style de vie » du couple, une spiritualité du quotidien, que nous voulons apprendre. Saint-Père, pouvez-vous nous y aider ?]

Pape François - Vivre ensemble est un art, un cheminement patient, beau et fascinant. Cela ne se termine pas une fois que vous vous êtes conquis l’un l’autre… Au contraire, c’est justement à ce moment que ça commence ! Ce cheminement de chaque jour a des règles que l’on peut résumer dans ces trois mots que tu as dits, des mots que j’ai répétés souvent aux familles : « S'il te plaît / tu permets ? » - ou « je peux ? », comme tu as dit, « merci », et « pardon ».

« Je peux ? – Tu permets ? ». C’est une façon gentille de demander d’entrer dans la vie de quelqu’un d’autre, avec respect et attention. Il faut apprendre à demander : je peux faire cela ? Tu aimes bien que nous fassions cela ? que nous prenions cette initiative, que nous éduquions nos enfants comme cela ? Tu veux que nous sortions ce soir ?... En somme, demander la permission signifie savoir entrer avec courtoisie dans la vie des autres. Mais écoutez bien : savoir entrer avec courtoisie dans la vie des autres. Et ce n’est pas facile, ce n’est pas facile. Parfois, au contraire, on a des manières un peu lourdes, comme avec des chaussures de montagne ! L’amour vrai ne s’impose pas par la dureté et l’agressivité. Dans les Fioretti de saint François, on trouve cette expression : « Sache que la courtoisie est une des propriétés de Dieu… et la courtoisie est la sœur de la charité, qui éteint la haine et conserve l’amour » (Chap. 37). Oui, la courtoisie conserve l’amour. Et aujourd’hui, dans nos familles, dans notre monde, souvent violent et arrogant, il faut beaucoup plus de courtoisie. Et cela peut commencer à la maison.

« Merci ». Il semble que ce soit facile de prononcer ce mot, mais nous savons que ce n’est pas le cas… Pourtant, c’est important ! Nous l’enseignons aux enfants, mais ensuite, nous l’oublions ! La gratitude est un sentiment important ! Une fois, à Buenos Aires, une personne âgée m’a dit : « La gratitude est une fleur qui pousse sur une terre noble ». La noblesse d’âme est nécessaire pour que pousse cette fleur. Vous vous souvenez de l’Évangile de Luc ? Jésus guérit dix malades de la lèpre, et ensuite un seul revient dire merci à Jésus. Et le Seigneur dit : « et les neuf autres, où sont-ils ? Cela vaut pour nous aussi : savons-nous remercier ? Dans votre relation, et demain dans la vie de mariage, il est important de garder une conscience vive que l’autre personne est un don de Dieu et on dit merci pour les cadeaux de Dieu ! Se dire merci, réciproquement, pour tout, dans cette attitude intérieure. Ce n’est pas un mot gentil qu’on utilise avec les étrangers, pour être bien-élevé. Il faut savoir se dire merci, pour avancer ensemble dans la vie matrimoniale.

Le troisième : « Pardon ». Dans la vie, nous nous trompons souvent, nous faisons tant d’erreurs. Nous en faisons tous. Mais peut-être qu’ici, il y a des personnes qui n’ont jamais fait d’erreur ? S’il y a quelqu’un, ici, qu’il lève la main ! Il y a quelqu’un qui n’a jamais fait d’erreur ? Nous en faisons tous, tous. Il n’y a peut-être pas une journée sans que nous ne fassions des erreurs. La Bible dit que le plus juste pèche sept fois par jour. Et donc nous faisons des erreurs… D’où la nécessité d’utiliser ce mot simple : « pardon ». En général, chacun de nous est prêt à accuser l’autre et à se justifier. Cela a commencé avec notre père Adam, quand Dieu lui a demandé : « Adam, tu as mangé de ce fruit ? ». « Moi ? non ! C’est celle que tu m’as donnée ! ». Accuser l’autre pour ne pas dire « pardon », « excuse-moi ». C’est une vieille histoire ! C’est un instinct qui est à la source de tant de désastres. Apprenons à reconnaître nos erreurs et à demander pardon. « Pardon si, aujourd’hui, j’ai haussé le ton », « pardon si je suis passé sans te saluer », « pardon si je suis rentré tard », « si cette semaine, j’ai été si silencieux », « si j’ai trop parlé sans jamais écouter », « pardon, j’ai oublié », « pardon, j’étais en colère et je m’en suis pris à toi »… Tous ces « pardons », nous pouvons les dire tous les jours.

C’est aussi de cette façon que grandit une famille chrétienne. Nous savons tous que la famille parfaite n’existe pas, ni le mari parfait, ni la femme parfaite. Sans parler de la belle-mère parfaite ! Nous existons et nous sommes pécheurs. Jésus, qui nous connaît bien, nous enseigne un secret : ne jamais terminer la journée sans se demander pardon, sans que la paix ne soit revenue dans votre maison, dans votre famille. C’est normal de se disputer entre époux, il y a toujours quelque chose, on s’est disputé… Peut-être que vous vous êtes mis en colère, peut-être qu’une assiette a volé, mais s’il vous plaît, rappelez-vous ceci : ne jamais finir la journée sans faire la paix ! Jamais, jamais, jamais ! C’est un secret, un secret pour conserver l’amour et pour faire la paix. Ce n’est pas nécessaire de faire de grands discours… Parfois, un simple geste et… la paix est faite. Ne jamais terminer… parce que si tu termines la journée sans faire la paix, ce que tu as au fond de toi, le lendemain, c’est froid et dur et c’est plus difficile de faire la paix. Souvenez-vous bien de cela : ne jamais finir la journée sans faire la paix ! Si nous apprenons à nous demander pardon et à nous pardonner mutuellement, le mariage durera, il avancera. Lorsque des couples mariés depuis longtemps viennent aux audiences, ou à la messe ici à Sainte-Marthe, des couples qui fêtent leur cinquantième anniversaire, je leur demande : « Qui a supporté qui ? ». C’est beau ! Ils se regardent tous, ils me regardent et ils me disent « Tous les deux ! ». Et ça, c’est beau ! C’est un beau témoignage.

 

Question 3 : Le style de la célébration du mariage

[Q – Sainteté, ces mois-ci, nous sommes dans tous les préparatifs de notre mariage. Pouvez-vous nous donner quelques conseils pour bien célébrer notre mariage ?]

Faites en sorte que ce soit une véritable fête – parce que le mariage est une fête – une fête chrétienne, pas une fête mondaine ! La raison la plus profonde de la joie de ce jour nous est donnée par l’Évangile de Jean : vous vous souvenez du miracle des noces de Cana ? À un moment, le vin vient à manquer et la fête semble gâchée. Vous imaginez de finir la fête en buvant du thé ? Non, ce n’est pas possible ! Sans vin, ce n’est pas une fête ! Sur la suggestion de Marie, à ce moment-là, Jésus se révèle pour la première fois et il donne un signe : il transforme l’eau en vin et, en faisant cela, il sauve la fête des noces. Ce qui s’est passé à Cana il y a deux mille ans se reproduit en réalité à chaque mariage : ce qui rendra votre mariage plein et profondément vrai sera la présence du Seigneur qui se révèle et qui donne sa grâce. C’est sa présence qui offre le « bon vin », c’est lui le secret de la joie pleine, celle qui réchauffe vraiment le cœur. C’est la présence de Jésus à cette fête. Que ce soit une belle fête, mais avec Jésus ! Pas dans l’esprit du monde, non ! On le sent, quand le Seigneur est là.

Mais en même temps, c’est bien que votre mariage soit sobre et mette en relief ce qui est vraiment important. Certaines personnes se préoccupent davantage des signes extérieurs, du banquet, des photos, des vêtements et des fleurs… Ce sont des choses importantes dans une fête, mais seulement si elles sont capables d’indiquer le véritable motif de votre joie : la bénédiction de votre amour par le Seigneur. Faites en sorte que, comme le vin de Cana, les signes extérieurs de votre fête révèlent la présence du Seigneur et rappellent à vous-mêmes et à tous la source et le motif de votre joie.

Mais tu as dit quelque chose que je veux saisir au vol, parce que je ne veux pas le laisser passer. Le mariage est aussi un travail de tous les jours, je pourrais dire un travail artisanal, un travail de joaillerie, parce le mari a la tâche de rendre son épouse plus femme et la femme a celle de rendre son mari plus homme. Grandir aussi en humanité, comme homme et comme femme. Et c’est entre vous que cela se fait. C’est ce qui s’appelle grandir ensemble. Cela ne tombe pas du ciel ! Le Seigneur le bénit, mais cela vient de nos mains, de vos comportements, de votre mode de vie, de votre manière de vous aimer. Nous faire grandir ! Faire toujours en sorte que l’autre grandisse. Travailler à cela. Et comme cela, je ne sais pas, je pense à toi : un jour tu seras dans ton pays, dans la rue et les gens diront : « Regarde, quelle belle femme, comme elle est forte !... Avec le mari qu’elle a, c’est compréhensible ! » Et aussi, à toi : « Regarde celui-là, comment il est !... Avec la femme qu’il a, c’est compréhensible ! ». C’est cela, parvenir à cela : nous faire grandir ensemble, l’un l’autre. Et vos enfants hériteront de cela, d’avoir eu un papa et une maman qui ont grandi ensemble, se rendant mutuellement davantage homme et femme !

 

Source : http://www.yannikbonnet.com/Ce-que-le-pape-Francois-dit-aux-Fiances-est-il-possible-de-s-aimer-pour-toujours_a262.html?TOKEN_RETURN

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Une statue de la Vierge Marie pleure en Israël.

16 Février 2014, 14:57pm

Publié par Véronique

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Amis évêques : invitation à la prière pour les intempéries et les sinistrés.

14 Février 2014, 21:10pm

Publié par Véronique

J'invite tous ceux et toutes celles qui voudront prier pour les intempéries afin qu'elles cessent, sans oublier les sinistrés pour que Dieu les aide intérieurement et également au niveau matériel.

Chacun peu prier selon l'élan de son coeur, comme dans la louange ou la prière du chapelet, ou pendant la messe.

Des messes pourraient aussi être célébrées spécialement à ces intentions.

Dieu se laisse toucher, Dieu nous écoute toujours, Dieu veut le bien de ses enfants et n'est pas insensible à leurs demandes.

En union de prière fraternelle

Véronique

 

Une partie de ma famille est en Bretagne. Elle prend peur à cause de la violence des vents par laquelle les arbres se couchent, et aussi des pluies incessantes... J'ai des amis anglais, qui en Angleterre sont eux aussi touchés par les intempéries.

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A tous les jeunes de 18 à 35 ans, le Ciel envoie cette invitation, avec les encouragements de la Sainte Vierge !

8 Février 2014, 21:49pm

Publié par Véronique

À tous les jeunes de 18 à 35 ans,

le Ciel envoie cette invitation

avec les encouragements de la Sainte Vierge !

 

Venez vivre le Triduum Pascal

à la Paroisse Saint Vincent de Paul « Les Réformés »

du Jeudi 17 avril 12h au Dimanche 20 avril 19h.

 

Grand-Messe de la Cène du Seigneur,

Adoration au Reposoir,

Chemin de Croix,

Rosaire,

Offices,

Veillée Pascale,

Echanges,

partages et enseignement du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine,

mais aussi Détente, ballade dans les Calanques,

Pèlerinage à Notre-Dame de la garde,

Découverte de Marseille...

4 jours pour reprendre force et joie près de Jésus et de notre mère Marie !

Logés, nourris par la paroisse,

il vous revient seulement de trouver un moyen pour arriver jusqu'à nous !

On vous attend !

 

Pour toute question, une adresse : triduum2014@gmail.com https://www.facebook.com/profile.php?id=100007677965462

Pour s'inscrire : http://www.inscription-facile.com/form/To6vIutBoJwWhvs63nP7

Attention, places limitées !!!

Participation financière libre sur place.

Possibilité de participer au programme à la carte.

Pas de logements ni de repas prévus avant jeudi 17/04 12h et après le dimanche 20/04 19h.

Pour visualiser les photos de l’année précédente : http://delamoureneclats.fr/#!/notre-paroisse/nos-photos/

 

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Respecter celui qui est face à nous.

8 Février 2014, 21:14pm

Publié par Véronique

J'ai eu un cancer. Les médecins disent que je suis une miraculée. J'ai donc vu la mort de près.

Les traitements nécessaires à ma guérison m'ont mise dans un état d'extrême faiblesse et de fatigue, jusqu'à me rendre incapable de marcher (j'ai été obligée de réapprendre à marcher), en imaginant le reste des gestes quotidiens, notamment ne pas pouvoir me laver.

Je me suis rendu compte que je ne pouvais pas contrôler ma vie, car c'est elle qui domine, et en tant que catholique, je sais que Dieu la tient dans sa main (Job 12, 10).

J'étais donc suspendue à elle, sans savoir ce qu'elle allait faire de moi.

Je repense à cela en ces jours, et ça m'amène à prendre conscience du respect que nous devons à celui ou à celle qui est face à nous, notre prochain simplement.

La vie est précieuse, elle peut aussi être fragilisée, et, repensant aux moments très difficiles durant ma maladie, je me dis qu'il est important de prendre soin de chacun.

De quel droit je ferai du mal, même par la pensée, voir par la parole ou encore par gestes, à celui qui est face à moi ?

Lorsque nous frôlons la mort de près (cela a été mon cas durant mes traitements), nous prenons conscience de l'importance de la vie.

De quel droit devrais-je mettre un obstacle à cette vérité ? De quel droit devrais-je faire du mal, par quel moyen que ce soit, à mon prochain ?

Nous n'avons aucun droit sur la vie de celui qui est en face de nous, si ce n'est son bien-être, en prenant soin de lui à chaque instant.

Chaque souffle de notre vie doit être vécu dans l'amour.

Véronique

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