Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

Ste Marie, Mère de Dieu, solennité - jeudi 01 janvier 2015

31 Décembre 2014, 07:00am

Publié par Véronique


Sainte Marie Mère de Dieu

 

Huit jours après la Nativité du Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, nous célébrons sa Mère, celle qui lui a donné son être humain, corps et âme par l'Esprit-Saint qui vient sur elle la plaçant dans l'orbite de la paternité divine.

C'est pourquoi le concile d'Éphèse, en 431, la proclama la Theotokos (en grec Θεοτόκος; en latin Deipara ou Dei genetrix), la Mère de Dieu, puisque son fils est Dieu, ce qui ne préjuge pas de la différence entre Marie créature humaine et Jésus Fils éternel de Dieu.

La solennité de Ste Marie Mère de Dieu est la première fête mariale apparue dans l’Église occidentale.

 

Extrait de l’Homélie du pape Benoît XVI

(Mardi 1er janvier 2008)

Chers frères et sœurs !

Nous commençons aujourd'hui une nouvelle année et l'espérance chrétienne nous prend par la main ; nous la commençons en invoquant sur elle la bénédiction divine et en implorant, par l'intercession de Marie, Mère de Dieu, le don de la paix : pour nos familles, pour nos villes, pour le monde entier. [...]

 

Dans la première Lecture, tirée du Livre des Nombres, nous avons écouté l’invocation : « Que le Seigneur t'apporte la paix » (6, 26) ; que le Seigneur accorde la paix à chacun de vous, à vos familles, au monde entier. Nous aspirons tous à vivre dans la paix, mais la paix véritable, celle annoncée par les anges la nuit de Noël, n'est pas une simple conquête de l'homme ou le fruit d'accords politiques ; elle est tout d'abord un don divin qu'il faut implorer constamment et, dans le même temps, un engagement à conduire avec patience, en demeurant toujours dociles aux commandements du Seigneur. [...]

 

Notre pensée se tourne à présent naturellement vers la Vierge, que nous invoquons aujourd'hui comme Mère de Dieu. Ce fut le Pape Paul VI qui transféra au premier janvier la fête de la Divine Maternité de Marie, qui était autrefois célébrée le 11 octobre. En effet, avant la réforme liturgique qui a suivi le Concile Vatican II, le premier jour de l'année était célébrée la mémoire de la circoncision de Jésus au huitième jour après sa naissance - comme signe de la soumission à la loi, de son insertion officielle au sein du peuple élu - et le dimanche suivant était célébrée la fête du Nom de Jésus. Nous retrouvons encore quelques traces de ces célébrations dans la page évangélique qui vient d'être proclamée, dans laquelle saint Luc rapporte que, huit jours après sa naissance, l'Enfant fut circoncis et qu'il lui fut donné le nom de Jésus, « nom indiqué par l'ange avant sa conception » (Lc 2, 21). La fête d'aujourd'hui, par conséquent, est non seulement une fête mariale extrêmement significative, mais elle conserve également un puissant contenu christologique, parce que, pourrions-nous dire, avant la Mère, elle concerne précisément le Fils, Jésus vrai Dieu et vrai Homme.

 

L'apôtre Paul fait référence au mystère de la maternité divine de Marie, la Theotokos, dans la Lettre aux Galates. « Mais quand vint la plénitude du temps - écrit-il - Dieu envoya son Fils né d'une femme, né sujet de la Loi » (Ga 4, 4). En peu de mots, nous trouvons synthétisé le mystère de l'Incarnation du Verbe éternel et la divine maternité de Marie : le grand privilège de la Vierge réside précisément dans le fait d'être la Mère du Fils qui est Dieu. A huit jours de Noël, cette fête mariale trouve donc sa place la plus logique et la plus juste. En effet, dans la nuit de Bethléem, lorsqu'elle « enfanta son fils premier-né » (Lc 2, 7), s'accomplirent les prophéties concernant le Messie. « Voici, la jeune femme est enceinte, elle va enfanter un fils », avait annoncé le prophète Isaïe (7, 14); « voici que tu concevras dans ton sein et tu enfanteras un fils », dit à Marie l'ange Gabriel (Lc 1, 31); et un autre ange du Seigneur - raconte l'évangéliste Matthieu -, apparaissant en songe à Joseph, le rassura en lui disant: « ne crains pas de prendre chez toi Marie ta femme: car ce qui a été engendré en elle vient de l'Esprit Saint; elle enfantera un fils » (Mt 1, 20-21).

 

Le titre de Mère de Dieu est le fondement de tous les autres titres sous lesquels la Vierge a été vénérée et continue d'être invoquée de génération en génération, en Orient et en Occident. Beaucoup d'hymnes et de prières de la tradition chrétienne font référence au mystère de sa divine maternité, comme par exemple une antienne mariale du temps de Noël, l'Alma Redemptoris mater, dans laquelle nous prions ainsi: « Tu quae genuisiti, natura mirante, tuum sanctum Genitorem, Virgo prius ac posterius - Toi, dans l'émerveillement de toute la création, tu as engendré le Créateur, Mère toujours vierge ».

 

Chers frères et sœurs, nous contemplons aujourd'hui Marie, mère toujours vierge du Fils unique du Père; nous apprenons d'elle à accueillir l'Enfant qui pour nous est né à Bethléem. Si dans l'Enfant né d'Elle nous reconnaissons le Fils éternel de Dieu et nous l'accueillons comme notre unique Sauveur, nous pouvons être appelés fils de Dieu : fils dans le Fils. L’Apôtre écrit : « Dieu envoya son Fils, né d'une femme, né sujet de la Loi, afin de racheter les sujets de la Loi, afin de nous conférer l'adoption filiale » (Ga 4, 5).

L'évangéliste Luc répète plusieurs fois que la Vierge méditait en silence sur ces événements extraordinaires auxquels Dieu lui avait fait prendre part. Nous l'avons également écouté dans le bref passage évangélique que la liturgie nous repropose aujourd’hui : « Quant à Marie, elle conservait avec soin toutes ces choses, les méditant dans son cœur » (Lc 2, 19). [...]

 

Chers frères et sœurs, ce n'est qu'en conservant dans le cœur, c'est-à-dire en mettant ensemble et en trouvant une unité à tout ce que nous vivons, que nous pouvons entrer, à la suite de Marie, dans le mystère d'un Dieu qui par amour s'est fait homme et qui nous appelle à le suivre sur le chemin de l'amour; un amour à traduire chaque jour en un généreux service pour nos frères. Puisse la nouvelle année, que nous commençons aujourd'hui avec confiance, être un temps au cours duquel progresser dans cette connaissance du cœur, qui est la sagesse des saints. Prions pour que, comme nous l'avons entendu dans la première Lecture, le Seigneur « fasse rayonner son visage » sur nous, nous « soit propice » (cf. Nb 6, 24-27), et nous bénisse. Nous pouvons en être certains : si nous ne nous lassons pas de rechercher son visage, si nous ne cédons pas à la tentation du découragement et du doute, si malgré toutes les difficultés que nous rencontrons nous demeurons toujours ancrés à Lui, nous ferons l'expérience de la puissance de son amour et de sa miséricorde. Puisse le fragile Enfant que la Vierge montre aujourd'hui au monde, faire de nous des artisans de paix, ses témoins, témoins du Prince de la Paix. Amen !

© Copyright 2008 - Libreria Editrice Vaticana

 

Prières à Marie : http://www.spiritualite-chretienne.com/marie/priere_2.html

 

Voir les commentaires

Ste Catherine Labouré, fille de la charité (1806-1876) - mercredi 31 décembre 2014

31 Décembre 2014, 07:00am

Publié par Véronique


Sainte Catherine Zoé Labouré
Vierge, religieuse des Filles de la Charité
(1806-1876)

 

Fête liturgique : le 28 novembre pour la famille vincentienne ;

le 31 décembre (dies natalis) pour l’Église universelle.

 

Catherine Zoé Labouré, neuvième enfant d'une famille de dix-sept, vint au monde le 2 mai 1806, à Fain-les-Moutiers, petit village de la Côte-d'Or. Enfant, elle était surtout connue par son deuxième prénom, Zoé.

 

À neuf ans, elle perdit sa mère. On la vit alors monter sur une chaise, saisir la statue de Notre-Dame, l'embrasser longuement et la presser sur son cœur en disant : « Je n'ai plus de maman ; soyez vous-même ma maman, bonne Sainte Vierge ! »

À onze ans, la fillette dut remplir l'office de mère au foyer domestique. Prenant la direction intérieure de la ferme paternelle, elle devenait responsable des travaux domestiques. Malgré son peu d'instruction, Catherine s'occupa de former à la piété sa petite sœur et son petit frère. Après son travail, elle se rendait souvent à l'église et priait devant l'autel de la Vierge.

 

En 1830, après un séjour de deux ans chez deux de ses frères qui demeuraient près de Paris, Catherine Labouré fit trois mois de postulat à Châtillon-sur-Seine et entra au séminaire des Filles de la Charité, rue du Bac, toujours à Paris. Sœur Catherine fut favorisée de grâces exceptionnelles durant les six mois de son noviciat. Au moment de la messe, Notre-Seigneur se manifestait à sa petite servante. Dans sa ferveur, elle désirait voir la Très Sainte Vierge et demanda cette faveur par l'intermédiaire de son ange gardien.

 

Dans la nuit du 18 au 19 juillet 1830, veille de la fête de saint Vincent de Paul, le cœur de ce saint lui apparut dans la chapelle du couvent. La Sainte Vierge lui apparut et lui prédit des souffrances à venir tout en l'assurant du soutien de ses grâces maternelles.

 

Lors de la deuxième apparition de la Reine du ciel, Catherine Labouré reçoit la mission de répandre la médaille miraculeuse par le monde et de faire éclore sur des milliers de lèvres l'invocation : « Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous ! » La prière fut le premier moyen qu'employa la voyante pour remplir sa mission.

 

Sœur Catherine Labouré disait le chapelet avec tant d'onction et de grâce que les anciennes religieuses se faisaient un plaisir d'aller le réciter en sa compagnie. « Aimez bien votre Mère du ciel, avait-elle coutume de dire, prenez-la pour modèle ; c'est la plus sûre garantie du ciel. » Son deuxième moyen pour accomplir infailliblement sa mission de faire glorifier Marie et de sauver les âmes fut la pénitence qu'elle accomplit tout bonnement dans les emplois manuels les plus modestes dans lesquels elle se plaisait : service de la cuisine, soin de la basse-cour, garde de la porte.

 

Son carnet de retraite de 1839 nous révèle son désir de souffrir : « Ô Cœur Immaculé de Marie, sollicitez pour moi la foi et l'amour qui vous attacha au pied de la croix de Jésus. Ô doux objet de mes affections, Jésus et Marie, que je souffre pour vous, que je meure pour vous, que je sois toute à vous, que je ne sois plus à moi ! »

 

En janvier 1831, Catherine Labouré fut transférée à l'hospice d'Enghien, au Faubourg St-Antoine, à Paris. Employée d'abord à la cuisine, puis à la lingerie, elle demeura ensuite affectée pendant près de quarante ans à la salle des vieillards, ajoutant le soin de la basse-cour à cet office.

 

C'est dans cet obscur et généreux dévouement que la mort trouva cette fidèle servante de Dieu, le 31 décembre 1876. Elle trépassa à l'âge de soixante-dix ans. Cinquante-six ans après son décès, lors de l'ouverture de son tombeau, son corps fut trouvé dans un état de parfaite conservation.

 

Pour un approfondissement :

>>> Chapelle rue du Bac - Paris

Voir les commentaires

Te Deum Laudamus - Action de Grâce - mercredi 31 décembre 2014

30 Décembre 2014, 10:03am

Publié par Véronique


Célébration du « Te Deum » d'action de Grâce
Pour la fin de l’année

Extraits de l’homélie de Benoît XVI

31 décembre

 

Chers frères et sœurs !

 

L'année qui se termine et celle qui s'annonce à l'horizon sont placées toutes les deux sous le regard bénissant de la Très Sainte Mère de Dieu. [...]

 

Ce soir, tout nous invite donc à tourner le regard vers Celle qui « reçut le Verbe de Dieu à la fois dans son cœur et dans son corps, et présenta au monde la vie » et qui précisément pour cela - rappelle le Concile Vatican II - « est reconnue et honorée comme la véritable Mère de Dieu » (Const. Lumen gentium, n. 53). Le Noël du Christ, que nous commémorons en ces jours, est entièrement parcouru par la lumière de Marie et, alors que dans la crèche nous nous arrêtons pour contempler l'Enfant, le regard ne peut que se tourner avec reconnaissance également vers la Mère, qui par son oui a rendu possible le don de la Rédemption. Voilà pourquoi le temps de Noël contient en lui une profonde connotation mariale ; la naissance de Jésus, homme-Dieu et la maternité divine de Marie sont des réalités indissociables entre elles ; le mystère de Marie et le mystère du Fils unique de Dieu qui se fait homme, forment un unique mystère, l'un aidant à mieux comprendre l'autre. [...]

 

Ce soir, nous voulons placer entre les mains de la Mère céleste de Dieu notre hymne choral d'action de grâces au Seigneur pour les bienfaits qu'au cours des douze mois écoulés il nous a largement accordés. Le premier sentiment, qui naît ce soir spontanément dans notre cœur, est précisément de louange et d'action de grâces à Celui qui nous fait don du temps, précieuse opportunité pour accomplir le bien ; nous y joignons la requête de pardon pour ne pas l'avoir peut-être toujours employé utilement. Je suis content de partager cette action de grâces avec vous, chers frères et sœurs, qui représentez notre communauté diocésaine, à laquelle j'adresse mon salut cordial, en l'étendant à tous les habitants de Rome. J'adresse un salut particulier au cardinal-vicaire et au maire, qui ont tous le deux commencé leurs missions différentes cette année - l'une spirituelle et religieuse, l'autre civile et administrative - au service de notre ville. Mon salut s'étend aux évêques auxiliaires, aux prêtres, aux personnes consacrées et aux nombreux fidèles laïcs ici rassemblés, ainsi qu'aux autorités présentes. En venant au monde, le Verbe éternel du Père nous a révélé la proximité de Dieu et la vérité ultime sur l'homme et sur son destin éternel ; il est venu demeurer avec nous pour être notre soutien irremplaçable, en particulier dans les inévitables difficultés de chaque jour. Et ce soir la Vierge elle-même nous rappelle quel grand don Jésus nous a fait avec sa naissance, quel trésor précieux constitue pour nous son Incarnation. Dans son Noël, Jésus vient offrir sa Parole comme une lampe qui guide nos pas ; il vient s'offrir lui-même et nous devons savoir rendre raison de Lui, notre espérance certaine, dans notre existence quotidienne, conscients que « le mystère de l'homme ne s'éclaire vraiment que dans le mystère du Verbe incarné » (Gaudium et spes, n. 22).

 

Chers frères et sœurs, [...]

Même si apparaissent à l'horizon de nombreuses ombres sur notre avenir, nous ne devons pas avoir peur. Notre grande espérance de croyants est la vie éternelle dans la communion du Christ et de toute la famille de Dieu. Cette grande espérance nous donne la force d'affronter et de surmonter les difficultés de la vie dans ce monde. La présence maternelle de Marie nous assure ce soir que Dieu ne nous abandonne jamais, si nous nous confions à Lui et si nous suivons ses enseignements. Nous présentons donc à Marie, avec une affection et une confiance filiales, les attentes et les espérances, ainsi que les peurs et les difficultés qui habitent notre cœur, tandis que nous prenons congé de cette année et que nous nous apprêtons à accueillir la nouvelle année. Que la Vierge Marie nous offre l'enfant couché dans la crèche comme notre espérance certaine. Emplis de confiance, nous pourrons alors chanter en conclusion du >>> Te Deum : « In te, Domine, speravi : non confundar in aeternum - Tu es Seigneur mon espérance, jamais je ne serai déçu ! ». Oui Seigneur, en Toi nous plaçons notre espérance, aujourd'hui et à jamais ; Tu es notre espérance. Amen !

© Copyright 2008 - Libreria Editrice Vaticana

 

Pour approfondir lire l’homélie complète

>>> Vêpres et Te Deum

 

Traduction française du Te Deum

approuvée par le cardinal Ratzinger

(Imprimatur 10 novembre 1990, Rome).

 

Nous vous louons, ô Dieu !
Nous vous bénissons, Seigneur.
Toute la terre vous adore,
ô Père éternel !
 

Tous les Anges,
les Cieux et toutes les Puissances.
Les Chérubins et les Séraphins
s'écrient sans cesse devant vous :
 

Saint, Saint, Saint est le Seigneur,
le Dieu des armées.
Les cieux et la terre,
sont plein de la majesté de votre gloire.
 

L'illustre chœur des Apôtres,
La vénérable multitude des Prophètes,
L'éclatante armée des Martyrs,
célèbrent vos louanges.
 

L'Église sainte publie vos grandeurs,
dans toute l'étendue de l'univers,
Ô Père dont la majesté est infinie !
Elle adore également votre Fils unique et véritable ;
Et le Saint-Esprit consolateur.
 

Ô Christ ! Vous êtes le Roi de gloire.
Vous êtes le Fils éternel du Père.
Pour sauver les hommes et revêtir notre nature,
vous n'avez pas dédaigné le sein d'une Vierge.
 

Vous avez brisé l'aiguillon de la mort,
vous avez ouvert aux fidèles le royaume des cieux.
Vous êtes assis à la droite de Dieu
dans la gloire du Père.
 

Nous croyons que vous viendrez juger le monde.
Nous vous supplions donc de secourir vos serviteurs,
rachetés de votre Sang précieux.
Mettez-nous au nombre de vos Saints,
pour jouir avec eux de la gloire éternelle.
 

Sauvez votre peuple, Seigneur,
et versez vos bénédictions sur votre héritage.
Conduisez vos enfants
et élevez-les jusque dans l'éternité bienheureuse.
 

Chaque jour nous vous bénissons ;
Nous louons votre nom à jamais,
et nous le louerons dans les siècles des siècles.
 

Daignez, Seigneur, en ce jour,
nous préserver du péché.
Ayez pitié de nous, Seigneur,
ayez pitié de nous.
 

Que votre miséricorde, Seigneur, se répande sur nous,
selon l'espérance que nous avons mise en vous.
C'est en vous, Seigneur, que j'ai espéré,
je ne serai pas confondu à jamais.

 



Source principale : vatican.va (« Rév. x gpm »).

Voir les commentaires

Faire la volonté de Dieu : 10 commandements, évangéliser... - prédication du père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

28 Décembre 2014, 18:51pm

Publié par Véronique

Iere semaine de l'Avent

Giulio Romano (1499-1546)
Musée du Louvre, Paris

Afficher toutes les prédications de la semaine

Jeudi 3 décembre 2009 : Mt VII, 21.24-27

Comme les disciples s’étaient rassemblés autour de Jésus, sur la montagne, il leur disait : « Il ne suffit pas de me dire : 'Seigneur, Seigneur !', pour entrer dans le Royaume des cieux ; mais il faut faire la volonté de mon Père qui est aux cieux. Tout homme qui écoute ce que je vous dis là et le met en pratique est comparable à un homme prévoyant qui a bâti sa maison sur le roc. La pluie est tombée, les torrents ont dévalé, la tempête a soufflé et s'est abattue sur cette maison ; la maison ne s'est pas écroulée, car elle était fondée sur le roc. Et tout homme qui écoute ce que je vous dis là sans le mettre en pratique est comparable à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable. La pluie est tombée, les torrents ont dévalé, la tempête a soufflé, elle a secoué cette maison ; la maison s'est écroulée, et son écroulement a été complet. »

Télécharger la prédication

 

Source : http://www.delamoureneclats.fr/#!/ses-predications/2009-2010/2009-12-03/jour/

Voir les commentaires

Lettre ouverte de Jésus à ceux qu’il aime …

28 Décembre 2014, 17:16pm

Publié par Véronique

Lettre ouverte de Jésus à ceux qu’il aime …

Mes bien-aimés

Comme vous le savez tous, la date de mon anniversaire approche.

Comme chaque année, il y aura une grande célébration en mon honneur.

Pendant la période précédant le « jour J », tout le monde fait du shopping, achète des cadeaux et décore sa maison. C’est bon de savoir qu’au moins une fois par an, certaines personnes pensent à moi. Pourtant, si au début les gens semblaient reconnaissants pour tout ce que j’ai fait pour eux, plus le temps passe, et moins ils semblent se rappeler la raison de cette célébration. Les familles et les amis se rassemblent pour s’amuser, mais ne connaissent pas toujours le sens de la fête.

Je me souviens que l’année dernière, on avait organisé un grand banquet en mon honneur. La table de la salle à manger était garnie de mets délicieux et la décoration était superbe. Il y avait aussi plein de magnifiques cadeaux, mais vous savez quoi ? Je n’étais pas invité…
J’étais, en théorie, l’invité d’honneur, mais personne n’a pensé à m’envoyer une invitation. Pourtant j’aurais voulu être avec eux, et partager leur table ! En réalité, je n’étais pas surpris, car depuis déjà quelques années, toutes les portes se ferment devant moi. N’étant pas invité, j’ai décidé de me joindre discrètement à la fête sans me faire remarquer ; et de mon coin, j’ai observé…

La plupart d’entre eux buvaient et riaient pour des riens, certains étaient ivres et tous passaient un bon moment. Pour couronner le tout, ce gros bonhomme à la barbe blanche est arrivé en riant, vêtu d’une longue robe rouge. Il s’est assis, et tous les enfants se sont regroupés autour de lui en criant « père Noël, père Noël ! », comme si la fête était donnée en son honneur ! A minuit, tout le monde s’est embrassé en se distribuant des cadeaux. J’ai ouvert mes bras et j’ai attendu que quelqu’un vienne à moi et m’offre aussi un cadeau en m’embrassant. Mais non, quand tout a été déballé, il ne restait rien pour moi ! Qu’auriez-vous ressenti si le jour de votre anniversaire, tout le monde s’échangeait des cadeaux en s’embrassant et que personne ne vous prête la moindre attention ?

J’ai donc compris que je n’étais pas souhaité à cette soirée et je suis parti.Les gens se rappellent du menu et des cadeaux qu’ils ont reçus mais pas du pourquoi de la fête.

Je souhaite que pour le prochain Noël vous vous rappeliez que, voici plus de 2000 ans, je suis venu dans ce monde afin de donner ma vie pour vous sauver. Aujourd’hui, je souhaite seulement que vous croyiez à cela de tout votre cœur.
Comme nombreux sont ceux qui ne m’ont pas invité à leur fête l’an passé, je vais organiser ma propre fête et j’espère que vous serez nombreux à me rejoindre à Noël.

Je vous aime très fort !

Jésus votre Sauveur.

Voir les commentaires

L'Eucharistie soulève le monde

28 Décembre 2014, 16:46pm

Publié par Véronique

L'Eucharistie soulève le monde.

Imaginez un autel, le plus massif qui soit dans le matériau le plus lourd, l'Eucharistie le soulève comme une plume.

Jésus Eucharistie soulève le monde.

Véronique

Voir les commentaires

Sainte Famille - prédication du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

28 Décembre 2014, 16:41pm

Publié par Véronique

« La patience est une vertu majeure dont l'amour ne peut se passer. »

Dimanche 29 décembre 2013 - Octave de Noël - Sainte Famille

« La Sainte Famille »
Simone Cantarini (1612-1648)
Musée du Prado, Madrid

Procession d’entrée et encensement de l’autel
Interprète : Valery Imbernon

Évangile de notre Seigneur Jésus-Christ selon saint Mt II, 13-15.19-23

Après le départ des mages, l'ange du Seigneur apparaît en songe à Joseph et lui dit : « Lève-toi ; prends l'enfant et sa mère, et fuis en Égypte. Reste là-bas jusqu'à ce que je t'avertisse, car Hérode va rechercher l'enfant pour le faire périr. » Joseph se leva ; dans la nuit, il prit l'enfant et sa mère, et se retira en Égypte, où il resta jusqu'à la mort d'Hérode. Ainsi s'accomplit ce que le Seigneur avait dit par le prophète : D'Égypte, j'ai appelé mon fils. Après la mort d'Hérode, l'ange du Seigneur apparaît en songe à Joseph en Égypte et lui dit : « Lève-toi ; prends l'enfant et sa mère, et reviens au pays d'Israël, car ils sont morts, ceux qui en voulaient à la vie de l'enfant. » Joseph se leva, prit l'enfant et sa mère, et rentra au pays d'Israël. Mais, apprenant qu'Arkélaüs régnait sur la Judée à la place de son père Hérode, il eut peur de s'y rendre. Averti en songe, il se retira dans la région de Galilée et vint habiter dans une ville appelée Nazareth. Ainsi s'accomplit ce que le Seigneur avait dit par les prophètes : Il sera appelé Nazaréen.

La prédication du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

 

 

Télécharger la prédication

 

Source : http://www.delamoureneclats.fr/#!/ses-predications/2013-2014/2013-12-29/jour/

 

 

Voir les commentaires

Adeste Fideles (Chant)

26 Décembre 2014, 22:39pm

Publié par Véronique

Adeste fideles læti triumphantes,

Venite, venite in Bethlehem.

Natum videte Regem angelorum.

Venite adoremus (ter)

Dominum.

 

En grege relicto humiles ad cunas,

Vocati pastores approperant,

Et nos ovanti gradu festinemus.

Venite adoremus (ter)

Dominum.

 

Æterni Parentis splendorem æternum,

Velatum sub carne videbimus,

Deum infantem pannis involutum.

Venite adoremus (ter)

Dominum.

 

Pro nobis egenum et fœno cubantem

Piis foveamus amplexibus ;

Sic nos amantem quis non redamaret ?

Venite adoremus (ter)

Dominum.

 

 

Approchez [1] fidèles, joyeux, triomphants,

Venez, venez à Bethléem.

Voyez le nouveau-né, le Roi des anges.

Venez, adorons (pour que nous adorions)

Le Seigneur.

 

Abandonnant leurs troupeaux, les humbles bergers,

(Qui viennent d'être) appelés se hâtent vers le berceau.

Et nous en exultant dépêchons-nous.

Venez, adorons (pour que nous adorions)

Le Seigneur.

 

Nous verons éternellement la splendeur du Père Eternel,

Dissimulée sous (entourée par de) la chair,

Dieu enfant enveloppé de langes.

Venez, adorons (pour que nous adorions)

Le Seigneur.

 

Nous qui sommes pieux, réchauffons en l'entourant

Celui qui, pour nous, s'est fait nu (à qui il manque tout) et s'est couché sur du foin ;

Puisqu'il nous aime ainsi (litt. nous aimant ainsi), qui ne lui rendrait pas amour pour amour ?

Venez, adorons (pour que nous adorions)

Le Seigneur.

Voir les commentaires

Les Anges Dans Nos Campagnes (Chant)

26 Décembre 2014, 22:33pm

Publié par Véronique

Voir les commentaires

Il est né le Divin Enfant (chant)

26 Décembre 2014, 22:11pm

Publié par Véronique

(chant)

Voir les commentaires

1 2 3 > >>