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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

Minuit Chrétien (Chant)

26 Décembre 2014, 22:08pm

Publié par Véronique

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MEDJUGORJE - Messages du mois de décembre 2014 délivrés par la Vierge-Marie

26 Décembre 2014, 21:54pm

Publié par Véronique

Message du 2 décembre 2014

« Chers enfants ! Retenez-le - car je vous le dis, l’amour vaincra. Je sais que beaucoup d’entre vous sont en train de perdre l’espérance parce qu'ils voient autour d'eux souffrance, douleur, jalousie et envie… Mais, je suis votre Mère. Je suis dans le Royaume mais je suis aussi ici avec vous. Mon Fils m’envoie à nouveau vous aider. C’est pourquoi, ne perdez pas espoir. Suivez-moi plutôt - car la victoire de mon Cœur est dans le Nom de Dieu. Mon Fils bien-aimé pense à vous comme il a toujours pensé à vous. Croyez-Le et vivez-Le ! Il est la Vie du monde. Mes enfants, vivre mon Fils signifie vivre l’Evangile. Cela n’est pas facile. Cela signifie amour, pardon et sacrifice. Cela purifie et ouvre le Royaume. La prière sincère, qui ne consiste pas seulement en des mots mais en une prière dite par le coeur, vous aidera, ainsi que le jeûne, car il est aussi amour, pardon et sacrifice. C’est pourquoi, ne perdez pas espoir mais suivez-moi. Je vous prie à nouveau de prier pour vos bergers, afin qu’ils regardent toujours vers mon Fils qui était le premier Berger du monde et dont la famille était le monde entier. Je vous remercie. »

 

Message du 25 décembre 2014

"Chers enfants, aujourd‘hui encore, dans mes bras, je vous porte mon Fils Jésus et je lui demande la paix pour vous et la paix entre vous. Priez et adorez mon Fils afin qu’en vos cœurs entrent sa paix et sa joie. Je prie pour vous afin que vous soyez toujours plus ouverts à la prière. Merci d’avoir répondu à mon appel. »

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MESSAGE URBI ET ORBI

26 Décembre 2014, 21:32pm

Publié par Véronique

MESSAGE URBI ET ORBI
DU PAPE FRANÇOIS

NOËL 2014

Jeudi 25 décembre 2014

[Multimédia]


Chers frères et sœurs, joyeux Noël !

Jésus, le Fils de Dieu, le Sauveur du monde, est né pour nous. Il est né à Bethléem d’une vierge, réalisant les antiques prophéties. La vierge s’appelle Marie, son époux Joseph.

Ce sont les personnes humbles, pleines d’espérance dans la bonté de Dieu, qui accueillent Jésus et le reconnaissent. Ainsi, l’Esprit Saint a éclairé les bergers de Bethléem, qui ont accouru à la grotte et ont adoré l’Enfant. L’Esprit Saint a ensuite guidé les vieillards, Siméon et Anne, des humbles, dans le Temple de Jérusalem, et ils ont reconnu en Jésus le Messie. « Mes yeux ont vu le salut » ‑ s’exclame Siméon – « le salut  que [Dieu] préparait à la face des peuples » (Lc 2, 30).

Oui, frères, Jésus est le salut pour chaque personne et pour chaque peuple !

À lui, Sauveur du monde, je demande aujourd’hui qu’il regarde nos frères et sœurs d’Irak et de Syrie qui, depuis trop de temps, souffrent des effets du conflit en cours et, avec ceux qui appartiennent à d’autres groupes ethniques et religieux, subissent une persécution brutale. Que Noël leur apporte de l’espérance, comme aux nombreuses personnes dispersées, déplacées et réfugiées, enfants, adultes et personnes âgées, de la région et du monde entier ; que l’indifférence se change en proximité et le refus en accueil, pour que tous ceux qui à présent sont dans l’épreuve puissent recevoir les aides humanitaires nécessaires pour survivre à la rigueur de l’hiver, revenir dans leurs pays et vivre avec dignité. Puisse le Seigneur ouvrir les cœurs à la confiance et donner sa paix à tout le Moyen-Orient, depuis la Terre bénie de sa naissance, en soutenant les efforts de ceux qui s’engagent efficacement pour le dialogue entre Israéliens et Palestiniens.

Jésus, Sauveur du monde, regarde tous ceux qui souffrent en Ukraine et donne à cette terre aimée de surmonter les tensions, de vaincre la haine et la violence et d’entreprendre un nouveau chemin de fraternité et de réconciliation.

Christ Sauveur, donne la paix au Nigeria, où à nouveau du sang est versé et trop de personnes sont injustement soustraites à l’affection de leurs proches et tenues en otage ou massacrées. J’invoque aussi la paix pour d’autres parties du continent africain. Je pense particulièrement à la Libye, au Sud Soudan, à la République Centrafricaine et à différentes régions de la République Démocratique du Congo ; et je demande à tous ceux qui ont des responsabilités politiques de s’engager par le dialogue à surmonter les oppositions et à construire une cohabitation fraternelle durable.

Que Jésus sauve les trop nombreux enfants victimes de violence, faits objet de trafic et de traite des personnes, ou contraints à devenir soldats ; des enfants, tant d’enfants abusés. Qu’il donne réconfort aux familles des enfants tués au Pakistan la semaine dernière. Qu’il soit proche de tous ceux qui souffrent de maladies, en particulier les victimes de l’épidémie d’Ébola, surtout au Liberia, en Sierra Leone et en Guinée. Tandis qu’avec cœur beaucoup mettent tout en œuvre courageusement pour assister les malades et leurs proches, je renouvelle une invitation pressante à assurer l’assistance et les thérapies nécessaires.

Enfant-Jésus. Ma pensée va à tous les enfants aujourd’hui tués et maltraités, ceux qui le sont avant de voir la lumière, privés de l’amour généreux de leurs parents et enterrés dans l’égoïsme d’une culture qui n’aime pas la vie ; ceux qui sont déplacés à cause des guerres et des persécutions, abusés et exploités sous nos yeux et notre silence complice ; et aux enfants massacrés sous les bombardements, même là où le Fils de Dieu est né. Aujourd’hui encore leur silence impuissant crie sous l’épée de nombreux Hérodes. Au-dessus de leur sang se détache aujourd’hui l’ombre des Hérodes actuels. Vraiment, il y a tant de larmes en ce Noël, avec les larmes de l’Enfant-Jésus !

Chers frères et sœurs, que l’Esprit Saint éclaire aujourd’hui nos cœurs, pour que nous puissions reconnaître dans l’Enfant-Jésus, né à Bethléem de la Vierge Marie, le salut donné par Dieu à chacun de nous, à chaque homme et à tous les peuples de la terre. Que le pouvoir du Christ, qui est libération et service, se fasse sentir dans beaucoup de cœurs qui souffrent des guerres, des persécutions, de l’esclavage. Qu’avec sa mansuétude, ce pouvoir divin touche la dureté des cœurs de tant d’hommes et de femmes immergés dans la mondanité et dans l’indifférence, dans la mondialisation de l’indifférence. Que sa force rédemptrice transforme les armes en charrues, la destruction en créativité, la haine en amour et en tendresse. Ainsi nous pourrons dire avec joie : « Nos yeux ont vu ton salut ».

Avec ces pensées, joyeux Noël à tous !

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Messe de la Nuit de Noël à Rome

26 Décembre 2014, 21:07pm

Publié par Véronique

Célébrée par le pape François, en la basilique Saint-Pierre de Rome, la messe de la nuit de Noël invite à fêter la naissance du Christ et à être en communion avec l'Église universelle.

SOLENNITÉ DE LA NATIVITÉ DU SEIGNEUR

HOMÉLIE DU PAPE FRANÇOIS

Basilique vaticane

Mercredi 24 décembre 2014

« Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu se lever une grande lumière ; et sur les habitants du pays de l’ombre, une lumière a resplendi » (Is 9, 1). « L’ange du Seigneur se présenta devant eux [les pasteurs] et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa lumière » (Lc 2, 9). C’est ainsi que la liturgie de cette sainte nuit de Noël nous présente la naissance du Sauveur : comme une lumière qui pénètre et dissout l’obscurité la plus dense. La présence du Seigneur au milieu de son peuple efface le poids de la défaite et la tristesse de l’esclavage, et instaure la joie et l’allégresse.

Nous aussi, en cette nuit sainte, nous sommes venus dans la maison de Dieu en traversant les ténèbres qui enveloppent la terre, mais guidés par la flamme de la foi qui éclaire nos pas et animés par l’espérance de trouver la ‘‘grande lumière’’. En ouvrant notre cœur, nous avons, nous aussi, la possibilité de contempler le miracle de cet enfant-soleil qui éclaircit l’horizon en surgissant d’en-haut.

L’origine des ténèbres qui enveloppent le monde se perd dans la nuit des temps. Repensons au moment obscur où a été commis le premier crime de l’humanité, quand la main de Caïn, aveuglé par la jalousie, a frappé à mort son frère Abel (cf. Gn 4, 8). Ainsi, le cours des siècles a été marqué par des violences, des guerres, la haine et des abus. Mais Dieu, qui avait placé ses propres attentes en l’homme fait à son image et à sa ressemblance, attendait. Dieu attendait. Il a attendu tellement longtemps que peut-être à un certain moment il aurait dû renoncer. Mais il ne pouvait renoncer, il ne pouvait pas se renier lui-même (cf. 2 Tm 2, 13). C’est pourquoi, il a continué à attendre avec patience face à la corruption des hommes et des peuples. La patience de Dieu, Comme il est difficile de comprendre cela : la patience de Dieu envers nous !

Au long du chemin de l’histoire, la lumière qui perce l’obscurité nous révèle que Dieu est Père et que sa patiente fidélité est plus forte que les ténèbres et la corruption. C’est en cela que consiste l’annonce de la nuit de Noël. Dieu ne connaît pas d’accès de colère et l’impatience ; il est toujours là, comme le père de la parabole du fils prodigue, dans l’attente d’entrevoir de loin le retour du fils perdu ; et chaque jour, avec patience. La patience de Dieu.

La prophétie d’Isaïe annonce l’apparition d’une immense lumière qui perce l’obscurité. Elle naît à Bethléem et elle est accueillie par les tendres mains de Marie, par l’affection de Joseph, par l’étonnement des bergers. Quand les anges ont annoncé aux bergers la naissance du Rédempteur, ils l’ont fait avec ces paroles : ‘‘Et voici le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire » (Lc 2, 12). Le ‘‘signe’’ c’est justement l’humilité de Dieu, l’humilité de Dieu portée à l’extrême ; c’est l’amour avec lequel, cette nuit, il a assumé notre fragilité, notre souffrance, nos angoisses, nos désirs et nos limites. Le message que tous attendaient, le message que tous cherchaient dans la profondeur de leur âme, n’était autre que la tendresse de Dieu : Dieu qui nous regarde avec des yeux pleins d’affection, qui accepte notre misère, Dieu amoureux de notre petitesse.

En cette sainte nuit, tandis que nous contemplons l’Enfant Jésus qui vient de naître et d’être déposé dans une mangeoire, nous sommes invités à réfléchir. Comment accueillons-nous la tendresse de Dieu ? Est-ce que je me laisse rejoindre par lui, est-ce que je me laisse embrasser, ou bien est-ce que je l’empêche de s’approcher ? ‘‘Mais je cherche le Seigneur’’ – pourrions-nous rétorquer. Toutefois, la chose la plus importante n’est pas de le chercher, mais plutôt de faire en sorte que ce soit lui qui me cherche, qui me trouve et qui me caresse avec amour. Voici la question que nous pose l’Enfant par sa seule présence : est-ce que je permets à Dieu de m’aimer ?

Et encore : avons-nous le courage d’accueillir avec tendresse les situations difficiles et les problèmes de celui qui est à côté de nous, ou bien préférons-nous les solutions impersonnelles, peut-être efficaces mais dépourvues de la chaleur de l’Évangile ? Combien le monde a besoin de tendresse aujourd’hui ! Patience de Dieu, proximité de Dieu, tendresse de Dieu.

La réponse du chrétien ne peut être différente de celle que Dieu donne à notre petitesse. La vie doit être affrontée avec bonté, avec mansuétude. Quand nous nous rendons compte que Dieu est amoureux de notre petitesse, que lui-même se fait petit pour mieux nous rencontrer, nous ne pouvons pas ne pas lui ouvrir notre cœur et le supplier : ‘‘Seigneur, aide-moi à être comme toi, donne-moi la grâce de la tendresse dans les circonstances les plus dures de la vie, donne-moi la grâce de la proximité face à toute nécessité, de la douceur dans n’importe quel conflit’’.

Chers frères et sœurs, en cette nuit sainte, contemplons la crèche : là, ‘‘le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu se lever une grande lumière’’ (Is 9, 1). Les gens simples, les gens disposés à accueillir le don de Dieu, l’ont vue. Au contraire, les arrogants, les orgueilleux, ceux qui établissent les lois selon leurs propres critères personnels, ceux qui assument des attitudes de fermeture, ne l’ont pas vue. Regardons la crèche et prions, en demandant à la Vierge Mère : ‘‘ Ô Marie, montre-nous Jésus’’.

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Les chrétiens d'Irak vous souhaitent un Joyeux Noël !

26 Décembre 2014, 21:04pm

Publié par Véronique

Qu'ils soient bénis au nom de Jésus.

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La Neuvaine - Méditation du Père Daniel-Ange

26 Décembre 2014, 20:50pm

Publié par Véronique

France rebelle, reçois ton enfance nouvelle Père Daniel Ange

Voici juste 1516 ans, à Reims, Clovis et ses 3000 Francs sont immergés dans les eaux du baptême par les mains de Saint Rémi. Quel jour exactement ? Noël !

Et Claudel dans son chef-d’œuvre, si profondément, théolLa Neuvaineogique – l’Annonce faite à Marie- situe le sacre de Charles VII, grâce à la Pucelle de Domrémy, à Reims encore, encore la nuit même de Noël.

Mais voici que notre peuple ainsi marqué au fer rouge, jusque dans ses gênes par ce mystère adorable entre tous, régresse de plus de 2000 ans dans le paganisme celte ou greco-romain, devenant ainsi anachronique : essayant de vivre comme si le Sauveur n’était encore jamais venu. Voici qu’une innocente crèche soulève un tolé, qu’un bébé en plastique fait trembler la République.

Pour quel crime ? Elle représente – ô horreur !- une famille ! Et voilà que cette famille – déjà expatriée – est à nouveau extradée, visa refusé. Et quand on ne sait plus qui est ce Bébé, on ne sait plus ce qu’est un enfant (sinon un objet commercialisable), ni ce qu’est un homme ou une femme (sinon des sortes de clones interchangeables), ni ce qu’est une famille (sinon une relation à géométrie variable). Bref, qui n’accueille pas l’Enfant de Noël, se rebelle contre le réel.

Alors, nous, en cette nuit sainte entre toutes, pour essuyer les pleurs de la Mère de Dieu devant son enfant éjecté par un Etat reniant ses sources, laissons-nous éblouir et attendrir par la pure splendeur du plus beau des enfants jamais né d’une femme. Soyons ce ravi des santons de Provence, avec les enfants aux yeux extasiés devant nos merveilleuses crèches aux mille facettes.

Accueillons l’Enfant en qui chaque enfant se reconnaît, par qui est guérie ma gestation, transfigurée ma naissance, et grâce à qui m’est donné mon enfance nouvelle, éternelle, car divine : la sienne !

Je veux recevoir de ses petites mains son Père et me laisser engendrer par Lui. Je lui ai donné une maman : il me donne son Papa.

Car uniquement parce que Dieu a pu dire en toute vérité maman à une jeune fille, qu’aujourd’hui je puis dire en toute certitude : papa à Dieu.

Admirable échange ! Je lui donne mon humanité : il m’offre sa divinité. Je lui donne ma misère, il m’offre sa lumière. Il épouse mes souffrances : il me fait épouser la petite fille Espérance. Je lui refile ma mort : il me communique sa vie1. Oui, il épouse toute de mon existence, de l’état de zygote à celui de cadavre, pour m’ouvrir le Ciel et me rendre im-mortel. Dis-moi quel Dieu a jamais été jusque-là dans l’amour ?

Il se glisse, se faufile, s’insinue chez nous, passager d’abord clandestin, puis incognito, peur de me faire peur. Qui donc tremble devant un nourrisson ? Ce bébé ne révèle-t-il l’éternelle enfance -innocence de Dieu- (ce fut le coup de foudre du jeune paumé qu’était un certain Paul Claudel, à Notre Dame de Paris, aux premières Vêpres de Noël près du second pilier.

Dans le profond silence de cette nuit, les Anges sidérés se taisent, en écoutant résonner le cri primordial de la Parole faite enfant.

Et ces premiers vagissements déjà murmurent : « qui ne devient comme moi n’entrera pas dans le Royaume ». Et encore : « Tout ce que tu fais à un seul de mes frères de chair, c’est à Moi que tu le fais ». Et encore : « Tu me vois, tu vois ton Père » . Dans nos épaisses ténèbres, à travers la fente de ses petits yeux qui s’entrouvrent déjà filtrent, la flamme qu’aucune tempête ne pourra jamais souffler, les premiers rayons de cette clarté d’éternité qu’aucune nuit ne pourra jamais ensevelir. Lumière qui ne cessera d’irradier le monde jusqu’au Soleil éternellement levant de sa Venue en Gloire.

En cette nuit, reçois donc des mains de Marie, cet Enfant qu’Elle te confie, cet Enfant qui dans tes bras s’abandonne à toi, pour qu’avec lui, tu t’abandonnes dans les bras de son Père et de sa Mère. Le voilà livré à moi, totalement dépendant de mon cœur. Ah ! Mon Créateur à qui j’ose dire comme une maman : « mon Petit ! » Ce Dieu que je puis adopter, caresser, réjouir, consoler ! Mais à une condition : le protéger, comme Joseph protégeant la Vie-faite-chair contre ces Hérodes qui ne sont pas encore morts. Ils se déchaînent, ils en veulent toujours à l’Enfant. Leur fureur sur nos enfants violent leur conscience, souillent leur innocence, pervertit leur bon sens, falsifie leur intelligence.

Qu’il me donne son courage pour prendre sa défense en chaque tout petit. Jean-Paul II s’écrie en pleine nuit de Noël : « En chaque petit, il y a certainement Jésus ! »

Mendions le regard ébloui de sa Maman, pour que je reconnaisse, accueille protège son Enfant, au-dedans de chaque Enfant encore à naître, à peine né, ou la personne « retombée en enfance ». Car « sur le visage de chacun resplendit le visage de Jésus » (Pape François aux gynécologues). Mais « n’ayons pas peur, l’Enfant Jésus est avec nous. » (dernier mot griffonné par Edith Stein).

Alors, ce sera Noël. Et quand tous les Français tomberont à genoux devant cet Enfant-Roi, alors ce sera le Nouveau Noël de notre peuple. L’aube d’un nouvel avenir irradiant le monde de la Vérité qui est Lumière.

 

1 Cet Enfant est « un tabernacle de Gloire où le divin et l’humain se rencontrent dans une étreinte qui ne pourra jamais être brisée. Il verse la divinité dans le cœur malade de l’humanité et en lui insufflant l’Esprit du Père la rend capable de devenir Dieu par la grâce. » Jean-Paul II, Orientale Lumen, 15

 

Source : http://www.laneuvaine.fr/meditations/

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Avec tous les chrétiens du monde.

24 Décembre 2014, 21:21pm

Publié par Véronique

En union avec tous les chrétiens du monde pour vivre dans un même coeur et fêter la naissance du Christ.

Je m'unis aussi avec les chrétiens persécutés notamment par le terrorisme, et qui ont dû quitter leur proches, leurs maison, leur pays...

Sans oublier à tous les chrétiens tués, décapités, hommes, femmes et enfants.

Que Dieu  nous guide et nous fasse soulever des montagnes pour anéantir la mort qui veut gagner les coeurs.

Jésus, le Roi des rois, si nous l'avons choisi comme le Roi de notre vie, de quoi aurions-nous peur ?

Saint Noël à tous.

Véronique

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Les Petits Chanteurs à La Croix de Bois - Douce Nuit

24 Décembre 2014, 18:40pm

Publié par Véronique

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Pas assez d'Hosties consacrées pendant la messe. Que faire ?

22 Décembre 2014, 19:47pm

Publié par Véronique

Pas assez d'Hosties consacrées pendant la messe. Que faire ?

Hier, dernier dimanche avant la grande et joyeuse fête de Noël, pour fêter la venue de Jésus-Christ sur la terre pour nous sauver et nous offrir la vie éternelle à ses côtés... je suis allée à la messe, avec un coeur disposé du mieux que je pouvais malgré toutes mes faiblesses et toutes mes imperfections, à vivre une heure toute proche de Jésus et enfin Le recevoir.

Le plus grand moment de la semaine pour moi : recevoir Jésus dans l'Hostie consacrée.

Problème : pas assez d'Hosties consacrées pour distribuer aux fidèles que nous étions.

De suite, je me suis mise en prière auprès de Jésus en Lui demandant de ne pas juger les prêtres et le diacre présents.

Cette situation était peut-être voulue de Dieu. Cela Lui appartient.

Que faire alors ?

Personnellement une grande, immense, et douloureuse tristesse m'a envahi et les larmes sont sorties sans que je puisse les retenir. C'était trop fort. Je ne pouvais pas recevoir Jésus. Cette tristesse étaient aussi pour mes frères et soeurs qui étaient dans le même cas.

J'ai donc pleuré jusqu'à ce que Jésus m'apaise.

J'ai pensé aller au monastère qui se trouve dans ma commune pour aller chercher Jésus auprès du prêtre, mais j'étais invitée à déjeuner en famille chez des amis. Je ne pouvais pas perturber cette invitation fraternelle.

J'attends avec beaucoup d'importance la bénédiction finale, car elle est grande et forte, puis, en allant à ma voiture, j'étais en conversation avec Jésus, comme cela m'arrive souvent, et Il me fait penser à la messe selon la forme extraordinaire (messe en latin), qui était en train de se dérouler dans une autre église de ma paroisse , pour s'unir à Lui.

Je m'y rends donc, avec hâte, et j'arrive juste au moment de l'élévation du Corps de Jésus.

J'ai pu communier, j'ai pu m'unir physiquement avec Jésus. Alors qu'Il m'a fait la grâce de vivre la communion du désir avec une grande intensité et son amour qui m'a pénétré comme jamais, cela ne me suffisait pas. Jésus Hostie est plus grand et plus important que tout.

Alors, si cela vous arrive, de ne pas pouvoir communier alors que cela n'est pas votre faute, ne jugez pas surtout, restez et demeurez dans l'amour et dans la miséricorde, cherchez Jésus dans votre coeur, à côté de vous, ne Le quittez pas, et demandez Lui une solution pour Le recevoir et s'unir à vous.

Croyez-moi, Il trouvera une solution.

S'il n'y en a pas, pour différentes raisons, acceptez ce que Dieu vous fait vivre, et apprenez à vous abandonner davantage à Lui. C'est Dieu qui nous appelle  dans ce cas là à un plus grand abandon.

Mais surtout, restez unis à Lui, ne Le quittez pas pour rester tout près de Lui, pour qu'Il vous aide à vivre ce moment qui peut être très dur pour vous, parce qu'en Lui demandant de vous aider à supporter votre peine qui peut être grande à ne pas L'avoir reçu, vous êtes sûrs de vivre cette souffrance dans la paix et en union d'amour avec Dieu.

En tout cas, par cette épreuve, Jésus nous fait sentir son désir d'union d'amour avec nous, qui peut être d'une hauteur mystique donc très forte, et nous, nous sommes invités à Lui répondre par un oui véritable à Lui, à son amour. On peut dire que Jésus se sert de nos sentiments envers Lui, pour nous faire prendre conscience à quel niveau nous L'aimons et si celui-ci n'est pas assez haut Il nous invite à L'aimer davantage et Il sait bien y faire, et tout dans la douceur, sa douceur qui lui est propre et fidèle.

Chrès frères et soeurs dans le Christ, gardez toujours Jésus auprès de vous, Il vous aime.

Véronique

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Piétons renversés à Dijon: des témoins disent avoir entendu crier "Allahu Akbar"

21 Décembre 2014, 22:42pm

Publié par Véronique

Source : http://www.bfmtv.com/societe/dijon-un-automobiliste-fonce-deliberemment-sur-des-passants-853875.html

 

Apparement, ce dimanche 21 décembre 2014, neuf personnes bléssées dont deux grièvement.

En union de prière fraternelle.

Véronique

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