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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

saints-bienheureux--mystiques

8 mai - Date de naissance de Saint Charbel

8 Mai 2024, 18:34pm

Publié par Véronique

 

 

Youssef Antoun Makhlouf naquit le 8 mai 1828 à Béqaa Kafra (nord du Liban) de parents maronites.Entrant, dans l' Ordre Libanais Maronite (o.l.m) sous le nom de Charbel, il fit ses vœux religieux au couvent Saint Maron de Annaya le 1er novembre 1853. Après 16 années exemplaires passées dans ce couvent, le Père Charbel rejoint définitivement un ermitage rattaché à au couvent où il allait consacrer son temps au silence, à la prière, au culte et au travail des champs. Il s'éteignit le 24 décembre 1898. Immense saint au Liban, auteur de nombreux miracles dès son vivant et après sa mort, quel est l'héritage de ce saint ermite ? Comment comprendre sa vie ? Quel rôle joue-t-il dans l'identité des maronites ? Pour en parler : Mgr Maroun Nasser Gemayel, évêque de l'éparchie maronite en France et le Père Abboud Chahwan, curé de la paroisse Saint-Charbel à Suresnes.

La Foi prise au Mot du 05/01/2014.

 

La Vie de Saint CHARBEL (Film HD français-arabe)

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Ce qu'a vu Sainte Anne-Catherine Emmerich - Saint Michel Archange

7 Mai 2024, 12:00pm

Publié par Véronique

29 septembre 1820

"J'ai eu plusieurs visions merveilleuses touchant les apparitions et les fêtes de l'Archange Saint Michel. J'ai été en plusieurs endroits du monde : j'ai vu, en France, son église sur un rocher au milieu de la mer et je l'ai vu comme patron de la France.

J'ai vu comment il aida à remporter la victoire un pieux roi, du nom de Louis, qui, sur une révélation de la Mère de Dieu, s'était adressé à saint Michel et portait son image sur un étendard. Le roi fonda un ordre de chevalerie en l'honneur du saint Archange.

Je l'ai vu maintenant retirer le tabernacle de cette église qui lui est dédiée en ce lieu et l'emporter.

Je vis aussi une apparition de lui à Constantinople et beaucoup d'autres que je ne me rappelle plus.

Je vis aussi toute l'histoire miraculeuse de l'église Saint-Michel sur le mont Gargano et je vis là une grande fête où se rendaient beaucoup de pèlerins étrangers avec leurs vêtements relevés et des pommes à leurs bâtons. Ici l'Ange servait l'autel avec d'autres. Elle raconta le miracle du mont Gargano à peu près comme il est rapporté ailleurs : seulement elle dit que le lieu où l'église fut bâtie avait été désigné par une figure tracée sur le rocher et portant un calice à la main.

 

J'allais ensuite avec lui à Rome où on a aussi construit une église en mémoire d'une de ses apparitions : je crois que c'est sous le Pape Boniface et sur une révélation de la Mère de Dieu. Je suivais l'Ange partout : il volait au-dessus de moi, grand et magnifique. Il tenait une épée à la main et portait une ceinture qui semblait composée de plusieurs rangs de cordons..."

Vie de la célèbre mystique, T. 3, P. 19-20 - Éditions Téqui

 

Saint Michel - Éditions Bénédictines

 

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Qui est sainte Mariam ?

3 Mai 2024, 11:28am

Publié par Véronique

Sainte Marie de Jésus Crucifié (1846-1878) : Mariam Baouardy la petite arabe palestinienne 1/4. Galiléenne et montée au ciel à 33 ans comme Jésus, Mariam Baouardy, sœur Marie de Jésus Crucifié en religion et surnommée la « petite arabe », a été canonisée par le pape François en 2015.

 

Une source d'informations sur le site du Carmel (Lien)

Son message : Grande voyageuse à travers le monde, Mariam a très vite compris que le plus beau voyage est le chemin de la sainteté sur les pas du Christ Crucifié-ressuscité avec la Vierge Marie . Sa foi est grande et toute simple. Elle est à la portée de tous : « Cherchez Dieu seul sans vous arrêter à rien de créé…Dieu seul est tout » .

Comme le chantent les psaumes , Mariam fonde sa foi sur le Créateur et non sur les créatures. Son espérance repose sur sa foi en Jésus et cette Espérance est à toute épreuve : « Croyez-vous que si la poule voyait venir l’ennemi elle ne cacherait pas ses poussins sous ses ailes pour les défendre ? Croyez-vous que Jésus ne peut pas faire comme la poule ? Qu’il ne peut pas cacher les petits et les défendre contre les grands ? Alors pourquoi craignez-vous ? »

L’amour du Christ l’habite constamment et la fait déborder de charité pour ses sœurs. Elle se fait l’écho du Cantique des Cantiques : « Qui a consolé mon cœur ? C’est vous mon Bien aimé. Qui l’ a rafraîchi ? C’est vous mon Amour… » Pour Mariam, le signe le plus fort de la présence de l’Esprit Saint est l’humilité. C’est ce chemin privilégié que choisit Mariam : « Une âme qui a l’humilité, Dieu lui pardonne toute faute ». Dieu peut déployer toute sa force de Créateur dans un cœur humble.

 

Mariam de Bethléem - Carmel Séculier OCDS Paris

 

La prière qui a vaincu Satan, avec Sainte Maryam de Jésus crucifié, apôtre de l'Esprit Saint

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Vie de Sainte Gemma Galgani

2 Mai 2024, 14:59pm

Publié par Véronique

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29 avril - Fête de sainte Catherine de Sienne, vierge, docteur de l'Eglise, copatronne de l'Europe

29 Avril 2024, 13:44pm

Publié par Véronique

 

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22 avril – Découverte du Traité de la Vraie Dévotion de saint Louis-Marie Grignion de Montfort en 1842 « dans un coffre », comme prophétisé

23 Avril 2024, 13:21pm

Publié par Véronique

« Une œuvre d’une extraordinaire efficacité »

 

Il y a 160 ans, était rendue publique une œuvre destinée à devenir un classique de la spiritualité mariale. Saint Louis-Marie Grignion de Montfort a composé le Traité de la vraie dévotion à la sainte Vierge au début des années 1700, mais le manuscrit est resté pratiquement inconnu pendant plus d’un siècle.

Lorsque, finalement, presque par hasard, il fut découvert en 1842, et publié en 1843, il eut un succès immédiat, et se révéla être une œuvre d’une extraordinaire efficacité pour diffuser la "vraie dévotion" à la Très sainte Vierge.

Dans ma jeunesse, j’ai été moi-même très aidé par la lecture de ce livre, dans lequel j’ai trouvé la réponse à mes perplexités dues à la peur que le culte de Marie, développé excessivement, finisse par compromettre la suprématie du culte dû au Christ.

Sous la sage conduite de saint Louis-Marie, j’ai compris que, si l’on vit le mystère de Marie dans le Christ, un tel risque ne subsiste plus. La pensée mariologique du saint en effet s’enracine dans le Mystère trinitaire et dans la vérité de l’Incarnation du Verbe de Dieu.

 

Pape saint Jean Paul II

Extrait de sa Lettre aux religieux et religieuses des familles Montfortaines, 8 décembre 2003

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Phénomène de lévitation - Bienheureuse Mariam de Jésus Crucifié Baouardy (1846-1878)

17 Avril 2024, 10:40am

Publié par Véronique

PHÉNOMÈNE DE LÉVITATION (36)
 
Bienheureuse Mariam de Jésus Crucifié Baouardy (1846-1878)
 
On connaît de cette atta­chante carmélite palestinienne, qui vécut plusieurs années en France, huit lévitations dûment attestées ; toutes se produisirent au carmel de Pau, entre le 22 juin 1873 et le 5 juillet 1874. Sans vouloir minimiser le moins du monde sa phénoménologie mystique, il convient de parler plutôt de semi- lévitations, dans la mesure où le soulèvement au-dessus du sol s'effectuait toujours à partir d'un appui, si ténu et dérisoire ce dernier eût-il été :
Mariam lévitait pour aller, tel un oiseau, se poser au sommet des arbres. Le processus en a été très bien observé :
Elle avait saisi l'extrémité d'une petite branche qu'un oiseau aurait fait plier ; et, de là, en un instant, elle avait été enlevée en haut*.
Plus explicite, le père Buzy, premier biographe de la bienheureuse, décrit avec précision le prodige :
Soeur Marie s'élevait au sommet des arbres par l'extrémité des branches : elle mettait son scapulaire dans une main, saisissait de l'autre l'extrémité d'une petite branche, du côté des feuilles, et, en un clin d'oeil, glissait par l'extérieur de l'arbre jusqu 'au sommet. Une fois montée, elle se tenait sur des branches trop faibles pour soutenir normalement une personne de son poids (...) au sommet d'un tilleul, assise à l'extrémité de la plus haute branche qui, normalement, n'aurait pas dû la soutenir. Sa figure était resplendissante. Je l'ai vue redescendre de l'arbre comme un oiseau, de branche en branche, avec beaucoup de légèreté et de modestie**.
Dans ce cas précis, il semble que se soient associées une soudaine et extraordinaire légèreté objective du corps de l'extatique - pour que des rameaux en supportent le poids, celui-ci devait avoir été modifié - et une non moins étonnante vélocité et agilité. De toute façon, les deux phénomènes sont du même ordre que la lévitation stricto sensu.
Dès qu'elle avait repris conscience, Mariam ne se rappelait plus rien - elle se demanda un jour ce que faisait une de ses sandales au faîte d'un arbre, où elle était restée accrochée -, et elle eût été fort en peine de donner de l'événement une autre explication que celle qu'elle énonçait en extase : « L'Agneau m'a tendu les mains ».
 
*Amédée Brunot, Mariam, la petite Arabe - Soeur Marie de Jésus-Crucifié, Mulhouse, Ed. Salvator, 1981, p. 43.
** Ibid., pp. 43-44
 
Lire aussi : Le combat spirituel dans la vie de Marie de Jésus crucifié (Étude du père Jean-Claude SAGNE) (Lien)

 

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Une prophétie de saint Benoît-Joseph Labre (1748-1783)

16 Avril 2024, 21:31pm

Publié par Véronique

Une prophétie de saint Benoît-Joseph Labre (1748-1783)

A la fin de 1772, une frêle silhouette parvient au hameau des Bellon, près d’Artigues (France, Hautes-Pyrénées). Sale, vêtu de guenilles, l'homme a l'air affamé.

S'enfonçant dans une neige profonde qui tombe à gros flocons, il frappe aux portes pour qu'on lui offre un peu de pain. Personne ne semble y consentir.

Soudain, un chien de berger accourt vers lui, lui lèche la main, repart vers une maison proche et gratte à la porte. Un homme ouvre et aperçoit le pauvre hère. Il le reçoit.

Le propriétaire du chien s'appelle Estienne Bellon. Il offre au vagabond un souper et la chaleur d'un feu de cheminée, puis propose à son invité de passer la nuit au chaud dans sa petite maison.

Au matin, avant de repartir dans un froid glacial, le saint veut remercier Estienne. Celui-ci lui répond immédiatement de ne pas s'en faire et de prier pour lui et les siens.

Benoît le fixe alors intensément et lui dit : « Oui, ce sera fait, et dès aujourd'hui Dieu te confères le don de guérir. Ce don passera à l’aîné de tes descendants mâles jusqu’à la septième génération. »

Depuis lors, les Bellon ont fait des merveilles de père en fils, sans demander un sou aux malades venant à eux.

Cette aventure a pris fin en 1959, lorsque Etienne Bellon, septième descendant, est mort sans héritier !

Le pape Pie IX a béatifié Benoît-Joseph Labre en 1860. Son successeur, Léon XIII, l'a inscrit au catalogue des saints en 1881.

S. Solassol, Un Mendiant au siècle de Voltaire, saint Benoît Labre, Cocharaux, 1867 ; Yves-Marie Hilaire, Benoît Labre, errance et sainteté. Histoire d'un culte, 1783-1983, Paris, Le Cerf, 1984.

SOURCE

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16 avril - Anniversaire du décès de Sainte Bernadette Soubirous

16 Avril 2024, 10:09am

Publié par Véronique

MARIE-BERNARDE SOUBIROUS, connue aussi comme SAINTE BERNADETTE (en religion sœur Marie-Bernard), née le 7 janvier 1844 à Lourdes et MORTE le 16 AVRIL 1879 à Nevers, est une jeune fille française qui affirma avoir été témoin de dix-huit apparitions mariales (l'apparition s'y serait présentée comme l'Immaculée Conception, confirmant le dogme défini en 1854 mais que Bernadette ignorait) à la grotte de Massabielle entre le 11 février et le 16 juillet 1858. Devenue religieuse, elle est canonisée en 1933.

Bernadette restait prudente pour désigner l'objet de sa vision, employant surtout, dans sa langue qui était le gascon de Bigorre, les pronoms démonstratifs « aquerò » prononcé [akeˈrɔ] (c'est-à-dire « cela ») ou « aquèra » prononcé [aˈkɛra] (c'est-à-dire « celle-ci »). Elle ne dira pas avoir vu la Vierge avant d'affirmer l'avoir entendue dire « Que soy era Immaculada Councepciou », c'est-à-dire « Je suis l'Immaculée Conception ». Au cours d’une de ses apparitions, Bernadette a creusé le sol pour y prendre de l’eau. L’eau de cette source est rapidement réputée miraculeuse et il commence à être question de guérisons. S'en tenant à ce qu'elle avait vu et entendu, Bernadette niera avoir été témoin de guérisons ou y avoir contribué : « On m'a dit qu'il y avait eu des miracles, mais à ma connaissance, non », déclare-t-elle en septembre 1858.

Dans un contexte post-révolutionnaire de vives polémiques sur les questions religieuses, et quelques années après les apparitions mariales de la rue du Bac et de La Salette, celles de Lourdes suscitent un engouement populaire important et croissant. La presse nationale commence à s'y intéresser, durant l'été 1858, notamment avec la publication, par Louis Veuillot, d'un article très remarqué dans L’Univers du samedi 28 août 1858. Le préfet des Hautes-Pyrénées, suivant les consignes du ministère des Cultes, maintient une interdiction d'accès à la grotte jusqu'en octobre 1858, tandis qu'une commission d’enquête, mise en place par l'évêque de Tarbes, en juillet 1858, se prononce en faveur de ces apparitions en 1862. L’aménagement de la grotte et la construction d’une basilique sur le rocher qui la surplombe commencent alors.

En l'espace de quelques mois, Bernadette Soubirous, alors âgée de 14 ans, est devenue une célébrité internationale, tandis que la vie dans cette bourgade des Pyrénées commence à être transformée par l'affluence de pèlerins, de curieux et de journalistes. Entre 1858 et 1866, Bernadette continue de vivre à Lourdes, où sa situation devient, cependant, de moins en moins tenable. Sans cesse sollicitée, tout en refusant de percevoir quoi que ce soit en rapport avec les apparitions ou sa célébrité, elle se pose la question d’une vie religieuse. En 1864, suivant la recommandation de l'évêque de Nevers, elle se décide à entrer chez les sœurs de la Charité. Deux ans plus tard, alors que la construction de la basilique est en cours, Bernadette a 22 ans et quitte Lourdes pour entrer au couvent Saint-Gildard, à Nevers. Elle y mène treize années d'une vie de « religieuse ordinaire », ayant néanmoins la particularité de recevoir la visite de nombreux évêques, parmi ceux qui souhaitent se faire une opinion sur elle et sur les apparitions. Souvent malade et de santé fragile, elle est employée à l'infirmerie quand elle n'y est pas soignée. Elle fait ses vœux perpétuels en 1878, puis meurt d'une pneumonie le 16 avril 1879, à l'âge de 35 ans.

En 1868, paraît le livre de Henri Lasserre, intitulé Notre-Dame de Lourdes, qui connaît un grand succès et est traduit en 80 langues. En 1869, le pape Pie IX écrit une lettre à l'auteur pour l'en féliciter, reconnaissant ainsi implicitement ces apparitions. À la fin du xixe siècle, la foule qui afflue à Lourdes attire l'attention de plusieurs intellectuels. Parmi eux, Émile Zola (Lourdes), Joris-Karl Huysmans (Les Foules de Lourdes), François Mauriac (Les Pèlerins de Lourdes) ou encore Paul Claudel. L'ensemble des archives et des témoignages sur Bernadette Soubirous fait l'objet d'un travail de recensement et d'édition critique par le père René Laurentin, dans les années 1960-1970.

Bernadette Soubirous est béatifiée le 14 juin 1925, puis canonisée le 8 décembre 1933 en la fête de l'Immaculée Conception par le pape Pie XI. Sa fête est commémorée le 18 février (jour de la 3e apparition, une semaine après Notre-Dame de Lourdes), et le 16 avril selon le Martyrologe romain[9].

Le sanctuaire de Lourdes accueille environ six millions de personnes chaque année.

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« L'important n'est pas de faire beaucoup, mais de bien faire »

16 Avril 2024, 09:48am

Publié par Véronique

Dans le petit carnet intime de Bernadette de Lourdes, on retrouve des notes, telle celle-ci à la Vierge Marie : « Ô ma Mère, prenez mon cœur et enfoncez-le dans le cœur de mon Jésus ».

Elle écrit encore dans son carnet : « L'important n'est pas de faire beaucoup, mais de bien faire ». Tous ses actes en seront le témoignage. Trente ans avant Thérèse de l'Enfant Jésus, cette pratique de l'amour dans les occupations les plus quotidiennes, si elle est depuis toujours recommandée à la vie chrétienne, n'est pas le canon le plus reconnu de la sainteté, et le comportement de Bernadette a souvent dérouté ceux qui la rencontraient, parfois même jusqu'à ses supérieures.

Pour l'une d'elles qui, agacée par la simplicité un peu fruste, l’ absence de mysticisme et l’espièglerie peu dévote de Bernadette, refuse de croire que la Mère de Dieu ait pu la choisir et lui demande une preuve, Bernadette  soulève un pan de sa robe/son habit ?, révélant la plaie de son genou [tuberculose cutané malgré laquelle elle travaille] et répond : « Ceci, peut-être ». Son interlocutrice en sera bouleversée.

L'année 1879, la dernière de sa vie terrestre, sera très dure. À la souffrance physique s'ajoute celle de la nuit de la foi. Comme quelques années plus tard la carmélite de Lisieux, Bernadette va connaître les affres du doute intérieur. De cette épreuve d'amour pur, elle triomphera avec toute la force de sa volonté tendue dans une foi aveugle, s'enfermant dans le sein de Marie, se reposant coûte que coûte sur le cœur de Jésus, demandant sa grâce pour rester fidèle.

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