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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

Travail le dimanche

20 Février 2008, 14:28pm

Publié par lala

On propose à Christine Boutin le travail du dimanche

Robert Rochefort, directeur du Credoc, doit présenter aujourd'hui 34 mesures à Christine Boutin, ministre de la Ville. Le sociologue propose que tous les magasins de centre-ville, sans exception, puissent ouvrir le dimanche matin. Mais il ne dit rien sur les magasins de périphérie. Autre idée : l'instauration d'une nocturne par semaine, «de préférence le vendredi», pour tous types de commerce et dans toutes les communes.

Michel Janva

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Acceptes-tu ?

20 Février 2008, 14:23pm

Publié par lala

Samedi 16 février 2008

Paroles et musique : Cécile Brasseur - Communauté des Béatitudes

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Saint Bernadette Soubirous : Lourdes

20 Février 2008, 14:16pm

Publié par lala

Prière de Sainte Bernadette

 

Que mon âme était heureuse,
Ô Bonne Mère
Quand j'avais le bonheur de vous contempler !
Que j'aime à me rappeler
Ces doux moments passés sous vos yeux
Pleins de bonté et de Miséricorde pour nous.
Oui, tendre Mère,
Vous vous êtes abaissée jusqu'à terre,
Pour apparaître à une faible enfant.
Vous la Reine du Ciel et de la Terre,
Vous avez bien voulu vous servir
De ce qu'il y avait de plus humble selon le monde.

 

 

 

 

Sainte Bernadette

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Se confesser : comment ?

20 Février 2008, 13:50pm

Publié par lala

Nous venons de voir pourquoi se confesser, maintenant il est nécessaire de savoir comment le faire.

Une internaute m'a parlé de sa crainte d'aller se confesser, et, surtout, d'avoir peur de sortir les mots pour que sa confession soit bien faite.
Le Seigneur a insisté à me laisser ce sujet en tête, alors, je dois vous en parler.


Nous savons tous que nous sommes pécheurs, c'est à dire que nous faisons du mal.
Nous sommes loin, oui très loin d'être saints, nous savons donc que le péché fait partie de notre vie.

Ce n'est pas pour cela qu'il faut pécher, non, bien au contraire, il faut tout faire pour s'en éloigner.
Lorsqu'un homme a le regard attiré vers une femme, alors qu'il est marié, il faut qu'il tourne tout de suite son regard de la tentation.
Lorsqu'une femme mariée est attirée par un homme, il faut qu'elle refuse tout de suite cette tentation.
Lorsque la tentation se présente, il faut tout de suite la fuir.

Cela s'apprend, car, la prière devenant quotidienne (tous les jours), Dieu nous apprend à nous éloigner du mal, du péché.

Nous avons péché, donc, et nous nous faisons du mal, nous nous faisons souffrir, mais nous faisons également du mal à Dieu, Lui qui nous veut tout amour, Lui qui est amour.

Dieu, qui connaît tout de nous, dans les moindres détails, sait tout ce que nous faisons, tout ce que nous disons, et tout ce que nous pensons.
Oui, tout.

Il connaît tout le mal qui est en nous.

Pour faire sortir ce mal qui est en nous, nous devons aller nous confesser. Il faut le faire correctement, simplement, sincèrement.

Cette internaute me disait donc, qu'elle avait du mal à dire ses péchés au prêtre. Elle avait honte, elle était gênée de dire à voix haute ses péchés.

Il faut savoir que lorsqu'on va se confesser, nous n'allons pas nous confesser au prêtre, mais à Jésus.

Si les mots ne sortent pas de notre
bouche, le mal reste en nous. On aura beau se dire que l'on a prié Dieu pour Lui avouer nos fautes, cela ne suffira pas, il faut évacuer ce mal qui est en nous.

Nos péchés nous font souffrir. 
Nos péchés nous coupent des liens d'amour avec Dieu. 
Nos péchés nous coupent des grâces que Dieu veut nous donner.

Nous devons donc aller nous confesser, à un prêtre, et ce prêtre nous donne les conseils pour ne pas recommencer à commettre les mêmes péchés qui viennent d'être confessés.

Chaque personne est différente, nous ne commettons pas les mêmes péchés
il est donc très important d'aller se confesser individuellement à un prêtre.

Les confessions en assemblée, pendant une messe ne répondent pas à une vie spirituelle, parce que nous ne pouvons recevoir de conseils appropriés par le prêtre à notre propre personnalité.

Nous sommes tous uniques, comme le dit Dieu notre Père : "Abba".

Pour bien se confesser voici quelques petits conseils :

- si vous êtes hésitants, c'est Satan qui vient vous empêcher d'aller vous confesser

- si vous pensez que ça n'est pas la peine de vous confesser, c'est Satan qui veut vous empêcher d'y aller

- si vous voulez repousser à plus tard votre confession, c'est Satan qui vous suggère cela
ne l'écoutez pas !

- prier l'Esprit Saint; Lui demander de vous aider à bien préparer votre confession

- regarder la liste des Dix Commandements, un par un, et voir si vous n'avez pas commis un péché contre l'un d'eux

- se mettre à l'aise, car la confession n'est pas la pendaison, bien au contraire, c'est une grâce qui vient du Ciel, et cela nous libère

- après avoir fait sa confession, remercier le Ciel de cette grâce

- après avoir s'être confessé, regarder devant soi et non derrière, car les péchés étant remis à Dieu, Dieu les a oubliés

 
Seigneur, j'ai péché,
Seigneur, Tu connais mes péchés,
Seigneur, aides-moi à aller me confesser,
Seigneur je T'aime et je Te demande pardon,
aide-moi Seigneur pour ma confession.
Saint Esprit, je Te fais confiance,
Saint Esprit de Dieu, Esprit d'amour et de feu, aides-moi à me confesser,
Saint Esprit dis moi ce que je dois confesser.
Dieu Tout-Puissant, Père, Abba, je T'aime,
Père je regrette mes péchés, aides-moi à Te les remettre,
créé en moi un coeur nouveau, un coeur pur.

Quelques soient nos péchés,
si on a volé, 
si on a menti, 
si on a jugé une personne, 
si on a provoqué un avortement, 
si on a tué, 
si on a fait souffrir une personne, 
si on a manqué de respect à Dieu, à la Vierge Marie, à Jésus, 
si on a manqué de respect dans une église, devant une Croix ...
 
Jésus veut que nous allions Lui remettre nos péchés,
Il veut nous libérer de nos fautes,
les péchés confessés sont oubliés par Jésus
parce qu'Il les a tous pris par Sa Croix.
Tous, oui tous les péchés, sans exception.

Jésus, Lui, connaît nos péchés,
Il sait ce que nous souffrons,
Il veut notre délivrance,
cette délivrance obtenue par la confession de nos fautes.

Il faut ouvrir son coeur,
il faut être confiant,
il ne faut pas avoir peur d'aller se confesser,
Jésus et doux et humble de coeur.
Il n'est que douceur, et cette douceur est si douce, que, lorsqu'on la sent on veut qu'elle reste en nous pour l'éternité.

Cette douceur, c'est l'amour que Jésus a pour nous. 
Il nous aime tellement.
Il souffre de voir Ses enfants (nous) dans le péché.
Il souffre parce qu'on L'a oublié.
Il a tant d'amour à nous donner, mais nous, on ne pense pas à Lui.

Alors, la confession est là, elle nous attend, elle nous réconcilie avec Jésus,
elle nous est offerte par Jésus,
c'est une grande grâce.
C'est une preuve d'amour qui vient du Ciel.

Alors, n'hésitez jamais pour aller vous confesser,
laissez-vous guider par Jésus, Lui est le chemin de l'amour et de la douceur.

Quelques soient nos fautes, Il nous attend à la confession
parce qu'Il nous aime
et qu'Il a beaucoup, oui beaucoup d'amour à donner.

Allez vers le prêtre vous confesser et il vous bénira.

Véronique J.

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Se confesser : pourquoi ?

19 Février 2008, 19:39pm

Publié par lala


Le péché nous coupe du lien d'amour avec Dieu.
Le péché nous empêche d'avancer sur le chemin spirituel.
Le péché met une barrière à la sainteté.
Le péché ouvre une porte au mal.
Le mal étant entré, il ne veut qu'y rester, et se développer.

Le péché doit être confessé.
Le mal doit sortir de nous.
Si le péché n'est pas confessé, il laisse la place à d'autres péchés.

Si nous avons commis des péchés graves (mortels), et, qu'ils ne sont pas conféssés, nous ne pouvons pas prendre l'Eucharistie, car c'est un sacrilège devant Dieu.
C'est pour cela qu'il est important de bien connaître les dix commandements de Dieu.


Pourquoi se confesser, donc ?

Par la confession notre être se nettoie de toutes les ténèbres qu'elle a fait entré en elle à cause de ces péchés, qu'elle a commis et accepté.

Par la confession l'âme devient de plus en plus pure.

Véronique

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L'Eglise doit parler du démon - Cardinal Cottier, O.P Théologien émérite de la Maison Pontificale

16 Février 2008, 17:30pm

Publié par lala

Le démon n'est pas une créature mythique. Il existe bel et bien et son existence personnelle ne peut-être ramenée à l'imaginaire ou à l'inconscient collectif. C'est pourquoi l'attitude d'un vrai disciple du Christ envers Satan et ses anges doit se caractériser par la vigilance, non par l'indifférence. L'Homme, « pour conserver sa liberté constamment menacée, doit absolument rester toujours armé et prêt à lutter » (Emmanuel Kant, 1793, in "La Religion dans les limites de la simple raison") car aujourd'hui, « la plus grande ruse du démon consiste à faire douter de son existence » (Charles Beaudelaire). Redisons-le, en soulignant l'existence de la réalité démonologique, l'Eglise n'entend ni nous reconduire aux hérésies dualistes et manichéennes d'autrefois, ni en proposer un succédané rationnellement acceptable. Elle veut seulement rester fidèle à l'Evangile et à ses exigences, et ainsi nous faire prendre conscience de l'adversité (Ephésiens VI) dans laquelle se trouvent aujourd'hui les âmes. Il est clair qu'elle n'a jamais permis à l'Homme d'évacuer sa responsabilité en attribuant ses fautes aux démons. Devant pareil échappatoire, l'Eglise n'hésite pas à s'élever en disant avec Saint Jean Chrysostome : « Ce n'est pas le diable, mais l'incurie propre des Hommes qui cause toutes leurs chutes et tous les malheurs dont ils se plaignent ». Il reste assurément que la réalité démonologique, attestée concrètement par ce que nous appelons le « Mystère du Mal », reste une énigme qui enveloppe la vie des hommes et femmes de notre temps. Quelle terrible, mystérieuse et redoutable réalité ! Saint Augustin le savait bien : « Je cherchais avec angoisse d'où venait le Mal et je ne trouvais pas d'explication » dira-t-il dans ses admirables Confessions.  La foi catholique nous apprend que la réalité du Mal peut-être écrasée et combattue par une âme, un corps et un cœur constamment tournés et configurés au Souverain Bien : Le Christ. La Sainte Vierge L'accueillant en son sein nous le prouve, et c’est pour cela qu’Elle nous invite encore une fois aujourd’hui, à faire partie de Sa légion de combat pour pouvoir comme Elle, écraser la tête du serpent infernal qui ne cesse de détruire notre liberté humaine :





L’Eglise doit parler du démon. En péchant, l’ange déchu n’a pas perdu tous les pouvoirs qu’il possédait, selon le plan de Dieu, pour gouverner le monde. Il utilise désormais ce pouvoir pour le mal. L’Evangile de Saint Jean l’appelle « le prince de ce monde » (Jean 12, 31) et dans la première Epître de Saint Jean on peut lire : « Le monde entier gît au pouvoir du Mauvais » (Jean 5, 19). Saint Paul parle de notre combat contre les puissances spirituelles (Ephésiens 6, 10-17). Nous pouvons également renvoyer à l’Apocalypse.
Nous devons combattre les forces du mal non seulement humaines mais surhumaines, dans leur origine et inspiration : il suffit de penser à Auschwitz, aux massacres de peuples entiers, à tous les crimes horribles qui sont commis, aux scandales dont sont victimes les petits et les innocents, au succès des idéologies de mort, etc.
Il convient de rappeler quelques principes. Le mal du péché est fait par une volonté libre. Dieu seul peut pénétrer au plus profond du cœur de la personne, le démon n’a pas le pouvoir d’entrer dans ce sanctuaire. Il n’agit qu’à l’extérieur, sur l’imagination et sur les sentiments à racines sensibles. Son action est par ailleurs limitée par la permission de Dieu tout-puissant. Le diable opère généralement à travers la tentation et la tromperie, c’est un menteur (cf. Jean 8, 44). Il peut tromper, induire en erreur, leurrer, et probablement, plus que susciter, il peut favoriser les vices (+) (+) et les germes de vices qui sont en nous. Dans les Evangiles synoptiques, la première apparition du démon est la tentation dans le désert, lorsqu’il soumet Jésus à plusieurs attaques soudaines (cf. Matthieu 4, 11 et Luc 4, 1-13). Ce fait est d’une grande importance. Jésus guérissait les maladies et les pathologies. Elles font dans leur ensemble référence au démon car tous les désordres qui affligent l’humanité peuvent être réduits au péché, fomenté par le démon. Parmi les miracles de Jésus figurent des libérations de possessions diaboliques, au sens précis du terme. Nous voyons en particulier dans Saint Luc que Jésus commande aux démons qui le reconnaissent comme le Messie. Le démon est beaucoup plus dangereux comme tentateur qu’à travers des signes extraordinaires ou des manifestations extérieures extraordinaires, car le mal le plus grave, c’est le péché. Ce n’est pas un hasard si dans la prière du Seigneur, nous demandons : « Ne nous laissez pas succomber à la tentation ». Le chrétien peut lutter victorieusement contre le péché par la prière, la prudence, dans l’humilité, connaissant la fragilité de la liberté humaine, le recours au sacrements, avant tout de la Réconciliation et de l’Eucharistie. Il doit aussi demander le don du discernement à l’Esprit Saint, sachant que l’on reçoit les dons de l’Esprit Saint avec la grâce du Baptême. Saint Thomas et Saint Jean de la Croix affirment que nous avons trois tentateurs : le démon, le monde (nous le reconnaissons certainement dans notre société) et nous-mêmes, c’est-à-dire l’amour propre. Saint Jean de la Croix affirme que nous sommes nous-mêmes le tentateur le plus dangereux car nous nous leurrons tout seuls. Face au leurre, il faut souhaiter chez les fidèles catholiques une connaissance toujours plus profonde de la doctrine chrétienne. Il faut promouvoir l’apostolat pour le Compendium du Catéchisme de l’Eglise catholique, qui est d’une utilité extraordinaire pour combattre l’ignorance. Le démon est peut-être un partisan de cette ignorance : distraire l’homme de Dieu est une grande perte contre laquelle on peut lutter en encourageant un apostolat approprié dans les moyens de communication sociale, en particulier la télévision, considérant le temps que passent de nombreuses personnes à suivre les émissions de télévision, aux contenus souvent inconsistants ou immoraux. 

L’action du diable se déchaîne aussi contre les hommes d’Eglise : en 1972, le Souverain Pontife Paul VI a déclaré que la « fumée de Satan (était) entrée dans le temple de Dieu », faisant allusion aux péchés des chrétiens, à l’avilissement de la moralité des coutumes et à la décadence (pensons à l’histoire des Ordres et des Congrégations religieuses dans lesquels on a toujours ressenti l’exigence des réformes pour réagir à la décadence), au fait de céder aux tentations dans la recherche de la carrière, de l’argent et de la richesse, sous le coup desquels les membres du clergé lui-même peuvent tomber, en commettant des péchés qui provoquent des scandales.
L’exorciste peut être un Bon Samaritain mais il n’est pas "LE" Bon Samaritain, car le péché est une réalité plus grave. Un pécheur qui reste attaché à son péché est plus misérable qu’une personne possédée. La conversion du cœur est la plus belle victoire sur l’influence de Satan, contre laquelle le sacrement de la réconciliation a une importance absolument fondamentale car dans le mystère de la Rédemption, Dieu nous a libérés du péché et nous donne, lorsque nous sommes tombés, de retrouver son amitié. Les sacrements ont en réalité une priorité par rapport aux sacramentaux, catégorie dans laquelle figurent les exorcismes, qui sont demandés par l’Eglise mais non pas de manière prioritaire. Si l’on ne respecte pas cette hiérarchie, le risque de troubler les fidèles persiste. On ne peut pas considérer l’exorcisme comme l’unique défense contre l’action du démon, mais un moyen spirituel nécessaire, là où l’on a constaté l’existence de cas spécifiques de possession diabolique.
 
 
Inspiré d'une préface du cardinal Georges Cottier (d'un ouvrage de l'exorciste Amorth)
Illustration : Diable de l'église Sainte Marie-Madeleine, Rennes-le-Château





RAPPELS DOGMATIQUES SUR LA NATURE DE SATAN ET SES ANGES

« La vraie foi catholique enseigne que la substance de toutes les créatures spirituelles ou corporelles est bonne, et qu'il n'existait dans le principe aucune nature du mal parce que Dieu, qui est le créateur de l'univers, n'a rien fait que de bon. De ce fait, le diable lui-même serait donc bon s'il était resté dans l'état où il a été créé. Malheureusement, ayant mal usé de son excellence naturelle et « n'étant pas demeuré dans la Vérité »
(Jean 8, 44), il n'est pas passé à une substance contraire mais il s'est séparé du Souverain Bien auquel il devait rester uni » (Denziger N°286 - Lettre "Quam laudabiliter" à Turribius d'Astorga, le 21 juillet 447, par Saint Léon le Grand).

« Si quelqu'un professe que dans la nature où il a été fait l'ange apostat n'est pas l'œuvre de Dieu, mais qu'il existe de lui-même, allant jusqu'à lui attribuer de trouver en soi son principe, qu'il soit anathème. Si quelqu'un professe que l'ange apostat a été fait par Dieu avec une nature mauvaise, et ne dit point qu'il a conçu le mal de lui-même par son vouloir propre, qu'il soit anathème. Si quelqu'un professe que l'ange de Satan a fait le monde - loin de nous cette croyance - et n'a pas déclaré que tout péché a été inventé par lui, qu'il soit anathème. » (De Trinitate IV, 1-3 - Eusèbe de Verceil).

« Nous croyons fermement et confessons avec simplicité qu'il y a un seul et unique vrai Dieu, éternel et immense, tout-puissant, immuable, qui ne peut être ni saisi ni dit, Père et Fils et Saint-Esprit, trois personnes, mais une seule essence, substance ou nature absolument simple. Le Père ne vient de personne, le Fils vient du seul Père et le Saint-Esprit également de l'un et de l'autre, toujours, sans commencement et sans fin. Le Père engendrant, le Fils naissant et le Saint-Esprit procédant, consubstantiels et semblablement égaux, également tout-puissants, également éternels. Unique principe de toutes choses, créateur de toutes les choses visibles et invisibles, spirituelles et corporelles, qui, par sa force toute-puissante, a tout ensemble créé de rien dès le commencement du temps l'une et l'autre créature, la spirituelle et la corporelle, c'est-à- dire les anges et le monde, puis la créature humaine faite à la fois d'esprit et de corps. En effet le diable et les autres démons ont été créés par Dieu bons par nature ; mais ce sont eux qui se sont rendus eux-mêmes mauvais. Quant à l'homme, c'est à l'instigation du démon qu'il a péché. Cette sainte Trinité, indivise selon son essence commune et distincte selon les propriétés des personnes, a donné au genre humain la doctrine du salut par Moïse, par les saints prophètes et par ses autres serviteurs, selon une disposition des temps parfaitement ordonnée ».
(12ème Concile Œcuménique de Latran IV, novembre 1215 - Denziger N°800). 

SOURCE

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Lourdes

16 Février 2008, 16:54pm

Publié par lala

11 février 2008
150è anniversaire
des apparitions de Lourdes




Liens :
Site officiel du 150è anniversaire + Les grandes dates de Lourdes Le message de Lourdes + Les guérisons de Lourdes reconnues miraculeuses par l'Eglise + Sainte Bernadette à Nevers






 

Saint Bernadette
est décédée le 16 avril 1879,
mercredi de Pâques
son corps est resté intact.


Sainte Bernadette : la grandeur de l'humilité de Dieu
Véronique J.


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Appels du Ciel

15 Février 2008, 18:06pm

Publié par lala

Lorsqu'une pensée nous traverse l'esprit, ou lorsqu'une personne nous donne une parole concernant : 

Dieu
Jésus
La Vierge Marie
l'Esprit Saint
la prière
un ange
un Saint ou une Sainte
le Ciel
une église

c'est un appel du Ciel.
Dieu vous appelle,
Il vient vous chercher,
Il vient vous demander si vous voulez bien Le suivre.


Jamais Il ne vous obligera, car Il vous aime, et vous respecte.
Il attend votre réponse,
oui ou non.

Si c'est oui 
Il vous comblera de Ses grâces
le chemin de la confession se prépare,
ainsi Dieu nous donne le souvenir de nos péchés,
un à un,
et le chemin de la confession deviendra le fruit de notre prière quotidienne.

Si c'est non, 
Il se retirera dans le silence et le respect
Il reviendra vous chercher une autre fois de la même façon
avec beaucoup d'amour parce qu'Il n'abandonne jamais Ses enfants.
Même si nous sommes pécheurs, 
Il vient, doucement, avec Sa Miséricorde,
parce qu'Il nous aime et vient nous appeler à la Sainteté.

Ces appels proviennent de l'Esprit de Dieu, Saint et Divin, qui nous connait mieux que nous-mêmes.

Véronique J.

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Que faisons-nous de nos âmes ?

13 Février 2008, 13:20pm

Publié par lala

Dieu est transcendant, unique, doux, humble, lent à la colère.
Ne sentez-vous pas qu'Il vous appelle ?
La foi catholique est trop souvent considérée pour un foi sévère, rigide, contraignante. Elle est tout le contraire.
Il n'y a pas plus grande liberté que de vivre comme Dieu nous invite à le faire. 
Il n'y a pas de plus grand amour que cette liberté.
 
Lorsque nous savons cela, lorsque nous vivons cela, nous ne pouvons vivre que par les commandements de Dieu.
Commandements de vie, commandements d'amour.
Nous avons la toute puissance de Dieu en nous, car nous sommes à son image et ressemblance,
et pour nous sauver de nos péchés et de la mort, Il nous a donné son Fils unique.
Jésus s'est offert tout entier pour nous. Tout entier.
Pas un centimètre de sa chair n'a été épargnée à cause de nos péchés.
Et nous, sommes-nous dans l'amour ?
Que faisons-nous de nos âmes ?
Nous ne pouvons donc être qu'à genoux devant notre Seigneur Jésus-Christ.

Véronique J.

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"Hostie dans la main, moins de respect et risque d'abus"

11 Février 2008, 13:16pm

Publié par Véronique

Voici les mots de Mgr Ranjith

L’archevêque Albert Malcolm Ranjith, secrétaire de la Congrégation pour le Culte Divin, trouve que le moment est arrivé de « bien évaluer », « revoir » et « si nécessaire abandonner » la pratique qui consiste à recevoir l’hostie consacrée dans la main et non sur la langue. Il l’affirme dans la préface du livre consacré à l’Eucharistie par Monseigneur Athanasius Schneider et publié par la Librairie Editeur Vaticane…
 

 
 
 
Selon Mgr Ranjith, une telle pratique a été « introduite abusivement et à toute vitesse dans certains milieux de l‘Eglise tout de suite après le Concile » devenant ensuite « ordinaire dans toute l’Eglise ». Cette pratique « a contribué à favoriser un affaiblissement graduel et croissant de l’attitude de révérence envers les saintes espèces eucharistiques », particulièrement évident, selon lui, parmi les enfants et les adolescents. De surcroît, la possibilité de recevoir l’hostie dans la main, dénonce Mgr Ranjith, est à l’origine de « graves abus » que n'a jamais voulu la constitution conciliaire "Sacrosanctum Concilium" ! Il y a « ceux qui emportent les sacrées espèces pour les garder en souvenir », « ceux qui les vendent » et même « ceux qui les emportent pour les profaner lors de rites sataniques ». 

Pour le secrétaire du Culte Divin, le manque de recueillement et le grand esprit d'insouciance posent un problème alarmant. Des communiants revenir à leur place comme si rien d'extraordinaire ne s'était passé est inacceptable. Rappelons qu’il faut fermement croire que dans le Très Saint Sacrement de l’Eucharistie sont « contenus vraiment, réellement et substantiellement le Corps et le Sang conjointement avec l’âme et la divinité de Notre Seigneur Jésus-Christ, et, par conséquent, le Christ tout entier » (Saint Concile de Trente)

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