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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

Appli Une année avec Ste Thérèse d’Avila

25 Février 2015, 18:28pm

Publié par Véronique

 

Appli STJ500

Pour profiter de cette année 2015 marquée par le 5° centenaire de la naissance de sainte Thérèse d’Avila, les Carmes Déchaux des Provinces d’Autriche et de Paris sont heureux de vous proposer :

Une appli gratuite

Une année avec Thérèse d’Avila

En la téléchargeant, vous pourrez lire chaque jour de l’année civile 2015 sur votre smartphone ou votre tablette :

  • l’Evangile du jour
  • un texte de sainte Thérèse d’Avila
  • une illustration pour vous aider à intérioriser ces lectures

Cette proposition est le fruit d’une collaboration avec nos frères Carmes Déchaux de la Province d’Autriche.

 

Source : pour télécharger l'Appli : http://www.carmes-paris.org/stj500-appli/

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Se préparer à Pâques avec sainte Thérèse d’Avila - Retraite en ligne…

25 Février 2015, 17:58pm

Publié par Véronique

Inscription Retr@ite Carême 2015

Bannière retraite carême 2015 - web

« Il ne s’agit pas de craindre mais de désirer » Pour le Carême 2015, nous vous proposons notre 8ème retraite en ligne en cette année du 5° centenaire de la naissance de sainte Thérèse d’Avila: « Quand l’Amour transforme… : petits pas pour une vie au large« On croit connaître sainte Thérèse d’Avila : c’est la sainte sublime avec ses extases. On l’admire, mais de loin, car on n’oserait l’imiter… Or on oublie ses 20 années de combat « entre Dieu et le monde », avant qu’elle ne cède à l’amour de Dieu à l’âge de 39 ans : désormais cet Amour n’aura de cesse de la transformer et de la porter. Doña Teresa de Ahumada devient Thérèse de Jésus et annonce au monde que l’Amour seul peut nous sauver ! Nous parcourrons ensemble les combats de Thérèse pour apprendre avec elle ce qu’est l’amour et faire de petits pas pour une vie aux larges dimensions !

 

Tract Retr@ite carême 2015 recto (web)

Nous suivrons 4 aspects de son combat avant de prendre le large avec elle et de vivre la semaine sainte : choisir de vivre ; aller à la source de l‘amour ; libérer sa capacité d’aimer ; devenir humble ; prendre le large ; se livrer à l’amour de Jésus.

La retraite a été préparée par le frère Yannick Bonhomme, frère du couvent de Lille et une équipe carmélitaine : le Carmel de la Fontaine-Olive, Dominique et Lise (membres laïcs du Carmel), Kevin Lampin (graphisme) et fr. Jean-Alexandre (couvent de Paris).

Equipe retraite carême 2015

Format et rythme de la retraite :
Après une introduction à la retraite envoyée le mercredi des cendres 18 février , vous recevrez chaque vendredi de carême un message électronique hebdomadaire pour télécharger le contenu de la semaine en format PDF (A4 ou colonne pour smartphone) :
1. une méditation spirituelle qui comprend :
– 4 pistes de méditation sur les combats de Thérèse
– un témoignage d’un laïc sur sa vie de prière
2. 6 pistes de méditation en images à partir de phrases de Thérèse et de versets bibliques pour prier chaque jour de la semaine
Vous trouverez aussi en plus dans ce message électronique :
3. une version audio résumée de ce contenu en 2-3 minutes
4. une piste d’approfondissement sur Internet (vidéo, montage, conférence, etc.)

Pour les personnes très « connectées », la phrase de méditation imagée sera diffusée chaque matin sur notre page Facebook « Carmes de Paris » et sur Twitter!

L’inscription est libre : une participation aux frais est proposée à la fin de la retraite sous forme de dons libres par chèque ou virement.

Ecoutez l’émission « Écoute dans la nuit » du 6 févier (22h-minuit) sur Radio Notre-Dame avec les frères Yannick et Jean-Alexandre :

 

Messages déjà envoyés :

20/02/2015 - Retr@ite Carême 2015 : Semaine 1 (Choisir de vivre)

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Le silence qui prépare l'action / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Mc 1, 12-15) Début du carême

25 Février 2015, 17:51pm

Publié par Véronique

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9 mois de prière pour la France - Méditation du Père Zanotti Sorkine

20 Février 2015, 07:00am

Publié par Véronique

      En cette journée de joie où l’Église travaille au bonheur de tous en suppliant chacun de laisser la poussière de la terre marquer son front, nous prions pour la France, altière et sûre d’elle-même, mais oui ! Fière de son histoire, de sa culture, de sa langue, de son savoir-vivre, de sa verve, il faudrait dire de son esprit, et bien sûr de sa cuisine.

Cependant, par je ne sais quelle culpabilité liée à la puissance de son être, de temps en temps et par à-coups, elle se prend à vouloir renverser sa grandeur, jurant ses grands dieux auxquels elle ne croit plus qu’elle est prête à bazarder sa bonne soupe aux orties pour boire d’un trait le potage clair et insipide servi par un mondialisme sans avenir. C’est ainsi. N’en soyons pas étonnés.

« Il y a de tout, disait Montherlant, en certaines âmes, et parfois au même moment. » Et l’âme de la France n’échappe pas à cette loi. Aussi, sans doute est-il plus juste et plus efficace de prier aujourd’hui non pour notre pays dont on ne sait plus ce qu’il est et sous quel vent il fait la girouette, mais pour ses habitants qui, fort heureusement – j’en suis convaincu -, vénèrent, malgré les apparences, l’usage de leur liberté en la faisant parfois crisser sous une pointe d’insolence venue de ses gènes. Pourvu que nous ne perdions jamais le Nord de notre beauté et que, demain, nous refusions catégoriquement de nous mettre en rang ! Je prie à ces deux intentions et vous les envoie en plein coeur.

À vous, frères français qui habitez l’hexagone ou qui arpentez d’autres terres, à vous qui placez la liberté au-dessus de toutes les valeurs – on ne se refait pas – écoutez encore ou pour la première fois la voix du Christ qui seule met entre les mains de l’Homme les rênes de la vie ! Depuis deux mille ans, sans user de menaces ni agiter le hochet des récompenses, la voix christique supplie le coeur humain de se réfugier dans le camp de l’Évangile où les idées les plus heureuses parce que les plus altruistes mènent la danse du bonheur ! Mais bon sang ! Quand allons-nous les approuver et les danser jusqu’à l’éreintement ?

Les temps sont durs, qu’on se le dise ! Durs, autant dire, peu aimants.

Lors des derniers événements qui ont troué des poitrines humaines – pourquoi se cacher la vérité puisqu’elle rend libre ? – il y eut parmi les va-t-en-guerre et les fervents de l’Enfer, des catholiques pas assez chrétiens qui se réjouirent de la mort de leurs frères jugés obscènes, et ils l’étaient en effet, mais pas uniquement, du moins si nous considérons que certains de nos actes ne disent pas tout ce que nous sommes, et d’autres qui souhaitèrent tout bonnement, la langue fourchue et les cornes en avant, que tous les musulmans dégagent de notre pays ou soient passés au fil de l’épée.

Ah ! Il est grand temps que le Carême arrive ! Qu’à cela ne tienne, dit le Ciel impatient ! Le voici maintenant qui surgit en ce premier jour à portée de volonté pour prendre notre haine et la jeter dans la marmite du diable, cette fournaise de bêtise et de méchanceté d’où elle est sortie. En vérité, en vérité, je vous le dis : pendant ces quarante jours qui nous séparent de Pâques, il sera inutile que nous multipliions les prières et les eucharisties, il sera inutile que nous jeûnions des meilleurs desserts, il sera inutile que nous dressions des chèques aux oeuvres sociales, il sera inutile que nous formions de pieuses résolutions, si notre coeur – allons-y, notre coeur français – ne se décide pas à déverser dès aujourd’hui un torrent d’indulgence et de miséricorde sur tout homme, fût-il monstrueux dans ses pensées et son agir, jusqu’à désirer ardemment son salut éternel ! Ça, c’est du christianisme à l’état pur ! Et c’est cette pureté vécue pleinement par Notre Seigneur Jésus-Christ que Dieu attend de vous et de moi. Certains crieront à l’injustice, et, pire encore, décrèteront que les coupables doivent payer cher dans l’éternité leurs mauvais choix, et que si Dieu pardonnait de grand coeur à des assassins et à des blasphémateurs, sa justice en serait entachée. Quel blasphème ! Et que nous sommes loin ici du Lac de Tibériade !

Prions donc plus que jamais pour que tous les Français se rendent à la sagesse de l’Évangile et que, parmi eux, les catholiques que nous prétendons être se tiennent résolument à la hauteur de notre Mère Marie qui, sur le Calvaire, au milieu des insultes et des crachats, répondit à la haine qui maculait le torse de son Fils par une étrange dignité et par la démesure illogique de son amour.

Source : http://www.laneuvaine.fr/meditation-du-pere-zanotti-sorkine/

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Début du carême - Le silence qui prépare l'action / père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

19 Février 2015, 15:11pm

Publié par Véronique

(Je manque de temps pour mettre cet enseignement par écrit, notamment pour les malentendants, je m'en excuse - Véronique)

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Messe des Cendres - 18 février 2015

19 Février 2015, 14:56pm

Publié par Véronique

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MESSAGE DU PAPE FRANÇOIS POUR LE CARÊME 2015

19 Février 2015, 14:43pm

Publié par Véronique

Tenez ferme (Jc 5, 8)

 

Chers frères et sœurs,

Le Carême est un temps de renouveau pour l’Église, pour les communautés et pour chaque fidèle. Mais c’est surtout un « temps de grâce » (2 Cor 6, 2). Dieu ne nous demande rien qu’il ne nous ait donné auparavant : « Nous aimons parce que Dieu lui-même nous a aimés le premier » (1 Jn 4, 19). Il n’est pas indifférent à nous. Il porte chacun de nous dans son cœur, il nous connaît par notre nom, il prend soin de nous et il nous cherche quand nous l’abandonnons. Chacun de nous l’intéresse ; son amour l’empêche d’être indifférent à ce qui nous arrive. Mais il arrive que, quand nous allons bien et nous sentons à l’aise, nous oublions sûrement de penser aux autres (ce que Dieu le Père ne fait jamais), nous ne nous intéressons plus à leurs problèmes, à leurs souffrances et aux injustices qu’ils subissent… alors notre cœur tombe dans l’indifférence : alors que je vais relativement bien et que je suis à l’aise, j’oublie ceux qui ne vont pas bien. Cette attitude égoïste, d’indifférence, a pris aujourd’hui une dimension mondiale, au point que nous pouvons parler d’une mondialisation de l’indifférence. Il s’agit d’un malaise que, comme chrétiens, nous devons affronter.

Quand le peuple de Dieu se convertit à son amour, il trouve les réponses à ces questions que l’histoire lui pose continuellement. Un des défis les plus urgents sur lesquels je veux m’arrêter dans ce message, est celui de la mondialisation de l’indifférence.

L’indifférence envers son prochain et envers Dieu est une tentation réelle même pour nous, chrétiens. C’est pour cela que nous avons besoin d’entendre, lors de chaque Carême, le cri des prophètes qui haussent la voix et qui nous réveillent.

Dieu n’est pas indifférent au monde, mais il l’aime jusqu’à donner son Fils pour le salut de tout homme. Dans l’incarnation, dans la vie terrestre, dans la mort et la résurrection du Fils de Dieu, la porte entre Dieu et l’homme, entre ciel et terre, s’ouvre définitivement. Et l’Église est comme la main qui maintient ouverte cette porte grâce à la proclamation de la Parole, à la célébration des sacrements, au témoignage de la foi qui devient efficace dans la charité (cf. Ga 5, 6). Toutefois, le monde tend à s’enfermer sur lui-même et à fermer cette porte par laquelle Dieu entre dans le monde et le monde en lui. Ainsi, la main, qui est l’Église, ne doit jamais être surprise si elle est repoussée, écrasée et blessée.

C’est pourquoi, le peuple de Dieu a besoin de renouveau, pour ne pas devenir indifférent et se renfermer sur lui-même. Je voudrais vous proposer trois pistes à méditer pour ce renouveau.

1. « Si un seul membre souffre, tous les membres partagent sa souffrance » (1Co 12, 26) – L’Église

La charité de Dieu qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence, nous est offerte par l’Église dans son enseignement et, surtout, dans son témoignage. Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant. Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde, de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes. La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien. Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus ne veut pas être seulement un exemple de la manière dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres. Ce service ne peut être rendu que par celui qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ. Seul celui-là a « part » avec lui (Jn 13, 8) et peut ainsi servir l’homme.

Le Carême est un temps propice pour nous laisser servir par le Christ et ainsi devenir comme lui. Cela advient quand nous écoutons la Parole de Dieu et quand nous recevons les sacrements, en particulier l’Eucharistie. Nous devenons en elle ce que nous recevons : le Corps du Christ. Dans ce corps, cette indifférence qui semble prendre si souvent le pouvoir sur nos cœurs, ne trouve pas de place. Puisque celui qui est du Christ appartient à un seul corps et en lui personne n’est indifférent à l’autre. « Si un seul membre souffre, tous les membres partagent sa souffrance ; si un membre est à l’honneur, tous partagent sa joie » (1 Co 12, 26).

L’Église est communio sanctorum parce que les saints y participent mais aussi parce qu’elle est communion de choses saintes : l’amour de Dieu révélé à nous dans le Christ et tous ses dons. Parmi eux, il y a aussi la réponse de tous ceux qui se laissent atteindre par un tel amour. Dans cette communion des saints et dans cette participation aux choses saintes personne n’a rien en propre, mais ce qu’il possède est pour tout le monde. Et puisque nous sommes liés en Dieu, nous pouvons faire quelque chose aussi pour ceux qui sont loin, pour ceux que nous ne pourrions jamais rejoindre par nos propres forces, parce que nous prions Dieu avec eux et pour eux afin que nous nous ouvrions tous à son œuvre de salut.

2. « Où est ton frère ? » (Gn 4, 9) – Les paroisses et les communautés

Il est nécessaire de traduire tout ce qui est dit par l’Église universelle dans la vie des paroisses et des communautés. Réussit-on dans ces réalités ecclésiales à faire l’expérience d’appartenir à un seul corps ? Un corps qui en même temps reçoit et partage tout ce que Dieu veut donner ? Un corps qui connaît et qui prend soin de ses membres les plus faibles, les plus pauvres et les plus petits ? Ou bien nous réfugions-nous dans un amour universel qui s’engage de loin dans le monde mais qui oublie le Lazare assis devant sa propre porte fermée ? (cf. Lc 16, 19-31).

Pour recevoir et faire fructifier pleinement ce que Dieu nous donne, il faut dépasser les frontières de l’Église visible dans deux directions.

En premier lieu, en nous unissant à l’Église du ciel dans la prière. Quand l’Église terrestre prie, s’instaure une communion de service réciproque et de bien qui parvient jusqu’en la présence de Dieu. Avec les saints qui ont trouvé leur plénitude en Dieu, nous faisons partie de cette communion dans laquelle l’indifférence est vaincue par l’amour. L’Église du ciel n’est pas triomphante parce qu’elle a tourné le dos aux souffrances du monde et se réjouit toute seule. Au contraire, les saints peuvent déjà contempler et jouir du fait que, avec la mort et la résurrection de Jésus, ils ont vaincu définitivement l’indifférence, la dureté du cœur et la haine. Tant que cette victoire de l’amour ne pénètre pas le monde entier, les saints marchent avec nous qui sommes encore pèlerins. Sainte Thérèse de Lisieux, docteur de l’Église, convaincue que la joie dans le ciel par la victoire de l’amour crucifié n’est pas complète tant qu’un seul homme sur la terre souffre et gémit, écrivait : « Je compte bien ne pas rester inactive au Ciel, mon désir est de travailler encore pour l'Église et les âmes » (Lettre 254, 14 juillet 1897).

Nous aussi, nous participons aux mérites et à la joie des saints et eux participent à notre lutte et à notre désir de paix et de réconciliation. Leur joie de la victoire du Christ ressuscité nous est un motif de force pour dépasser tant de formes d’indifférence et de dureté du cœur.

D’autre part, chaque communauté chrétienne est appelée à franchir le seuil qui la met en relation avec la société qui l’entoure, avec les pauvres et ceux qui sont loin. L’Église est, par nature, missionnaire, et elle n’est pas repliée sur elle-même, mais envoyée à tous les hommes.

Cette mission est le patient témoignage de celui qui veut porter au Père toute la réalité et chaque homme. La mission est ce que l’amour ne peut pas taire. L’Église suit Jésus Christ sur la route qui la conduit vers tout homme, jusqu’aux confins de la terre (cf. Ac 1,8). Nous pouvons ainsi voir dans notre prochain le frère et la sœur pour lesquels le Christ est mort et ressuscité. Tout ce que nous avons reçu, nous l’avons reçu aussi pour eux. Et pareillement, ce que ces frères possèdent est un don pour l’Église et pour l’humanité entière.

Chers frères et sœurs, je désire tant que les lieux où se manifeste l’Église, en particulier nos paroisses et nos communautés, deviennent des îles de miséricorde au milieu de la mer de l’indifférence !

3. « Tenez ferme » (Jc 5, 8) – Chaque fidèle

Même en tant qu’individu nous avons la tentation de l’indifférence. Nous sommes saturés de nouvelles et d’images bouleversantes qui nous racontent la souffrance humaine et nous sentons en même temps toute notre incapacité à intervenir. Que faire pour ne pas se laisser absorber par cette spirale de peur et d’impuissance ?

Tout d’abord, nous pouvons prier dans la communion de l’Église terrestre et céleste. Ne négligeons pas la force de la prière de tant de personnes ! L’initiative 24 heures pour le Seigneur, qui, j’espère, aura lieu dans toute l’Église, même au niveau diocésain, les 13 et 14 mars, veut montrer cette nécessité de la prière.

Ensuite, nous pouvons aider par des gestes de charité, rejoignant aussi bien ceux qui sont proches que ceux qui sont loin, grâce aux nombreux organismes de charité de l’Église. Le Carême est un temps propice pour montrer cet intérêt envers l’autre par un signe, même petit, mais concret, de notre participation à notre humanité commune.

Enfin, la souffrance de l’autre constitue un appel à la conversion parce que le besoin du frère me rappelle la fragilité de ma vie, ma dépendance envers Dieu et mes frères. Si nous demandons humblement la grâce de Dieu et que nous acceptons les limites de nos possibilités, alors nous aurons confiance dans les possibilités infinies que l’amour de Dieu a en réserve. Et nous pourrons résister à la tentation diabolique qui nous fait croire que nous pouvons nous sauver et sauver le monde tout seuls.

Pour dépasser l’indifférence et nos prétentions de toute-puissance, je voudrais demander à tous de vivre ce temps de Carême comme un parcours de formation du cœur, comme l’a dit Benoît XVI (cf. Lett. Enc. Deus caritas est, n. 31). Avoir un cœur miséricordieux ne veut pas dire avoir un cœur faible. Celui qui veut être miséricordieux a besoin d’un cœur fort, solide, fermé au tentateur, mais ouvert à Dieu. Un cœur qui se laisse pénétrer par l’Esprit et porter sur les voies de l’amour qui conduisent à nos frères et à nos sœurs. Au fond, un cœur pauvre, qui connaisse en fait ses propres pauvretés et qui se dépense pour l’autre.

Pour cela, chers frères et sœurs, je désire prier avec vous le Christ en ce Carême : « Fac cor nostrum secundum cor tuum » : « Rends notre cœur semblable au tien » (Litanies du Sacré Cœur de Jésus). Alors nous aurons un cœur fort et miséricordieux, vigilant et généreux, qui ne se laisse pas enfermer en lui-même et qui ne tombe pas dans le vertige de la mondialisation de l’indifférence.

Avec ce souhait, je vous assure de ma prière afin que chaque croyant et chaque communauté ecclésiale parcourt avec fruit le chemin du Carême, et je vous demande de prier pour moi. Que le Seigneur vous bénisse et que la Vierge Marie vous garde.

Du Vatican, le 4 octobre 2014

Fête de saint François d’Assise

François

Source : http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/messages/lent/documents/papa-francesco_20141004_messaggio-quaresima2015.html

 

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La couleur noire de l'état islamique : la couleur de Satan - But purement psychologique

16 Février 2015, 21:15pm

Publié par Véronique

La couleur dominante de l'état islamique est le noir.

L'islam radical se reconnait par cette couleur de leurs vêtements, drapeaux...

Cela a un but, purement psychologique, celui de déstabiliser, de dominer, de propager la peur et la mort, le néant : nous faire broyer du noir, en deux mots : nous faire déprimer. Evidence basique et simple.

Les femmes voilées sont également en noir, alors que l'être humain est si grand et si beau. Rien que cela ne leur pose pas question ?

La couleur noire est la couleur de Satan, l'être infame, le diviseur, le mauvais, l'ennemi, l'assassin.

Il veut nous faire peur... recouvrir le monde de sa noirceur.

Mais, il y a Jésus, la lumière du monde : "Je suis la lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie". (Jn 8, 12)

Alors, ne laissons pas les ténèbres gagner, remplissons-nous le plus possible de la lumière du monde qu'est Jésus, notamment par les sacrements de l'Eucharistie et de la confession, mais aussi par la prière, la louange, l'adoration, l'oraison...

Rester ferme et fort dans la foi !

Véronique

 

 

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21 Coptes assassinés - Union de prière

16 Février 2015, 18:23pm

Publié par Véronique

En union de prière avec Le Salon Beige où j'ai pris ces informations, et avec tous les blogs, sites, notamment Facebook, pour une chaîne de prière mondiale, et en soutien bien sûr avec toutes les victimes du non-amour.
Les noms des 21 Coptes assassinés

Puisque les médias ont l'air de prendre leur assassinat pour une non-information, voici les noms des 21 coptes assassinés par l'Etat islamique pour donner un signe fort à la "nation de la Croix", afin que nous puissions les porter dans nos prières :

B96xIECIIAA0QN4

Source : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/02/les-noms-des-21-coptes-assassin%C3%A9s.html

 

Mgr Pontier : "que partout dans le monde, des mesures soient prises pour protéger les chrétiens"

Message de Mgr Georges Pontier à Sa Sainteté Tawadros II, patriarche copte-orthodoxe d'Alexandrie :

"Sainteté, La nouvelle de l’assassinat de plus de vingt fidèles coptes en Libye nous consterne et nous terrifie. Avec les Évêques et les catholiques de France, je veux assurer les familles de notre prière intense et de notre proximité dans cette terrible épreuve. Puisse notre commune prière jointe à la vôtre, Sainteté, apaiser un peu leurs douleurs. Comme le Pape François l’a dit ce matin, « Ces frères sont morts pour le seul fait de confesser le Christ ». Cet « œcuménisme du sang » nous rapproche. Nous condamnons avec force ces lâches assassinats. Nous souhaitons que partout dans le monde, des mesures soient prises pour protéger les chrétiens. Nous voulons aussi encourager le dialogue, la connaissance et l’estime, seuls moyens de promouvoir la paix. Une messe sera célébrée à la cathédrale Notre Dame de Paris demain soir mardi 17 février à 18h15 pour les défunts et le bourdon de la cathédrale retentira à cette occasion. Nous serons ainsi unis dans la prière.

Soyez assuré, Sainteté, de mes sentiments fraternels.

+ Georges Pontier Archevêque de Marseille Président de la Conférence des évêques de France"

Source : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/02/mgr-pontier-que-partout-dans-le-monde-des-mesures-soient-prises-pour-prot%C3%A9ger-les-chr%C3%A9tiens.html

 

Les martyrs coptes ont invoqué "Ya Rab Yeshua, le Seigneur Jésus" avant de mourir

L'Observatoire de la christianophobie, d'après certains lecteurs qui ont pu traduire, écrit qu'on entend clairement plusieurs martyrs coptes sur la vidéo invoquer "Ya Rab Yeshua , le Seigneur Jésus" tandis qu'un de leurs bourreaux tend son couteau recouvert de leur sang et déclare en anglais : "Nous conquerrons Rome avec la permission d’Allah !"

Le patriarche copte catholique d'Egypte a qualifié de "martyrs" les victimes du massacre et a présenté ses condoléances à toutes les familles des martyrs qui ont donné leur vie à cause de leur foi.

Source : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/02/les-martyrs-coptes-ont-invoqu%C3%A9-ya-rab-yeshua-le-seigneur-j%C3%A9sus-avant-de-mourir.html

Je préfère mettre la vidéo ci-dessous, que les images des déguisements noirs foncés de ceux qui terrorisent le monde, enfin qui essayent de nous faire peur, car ce noir est la couleur préférée de Satan (ceux qui l'ont déjà vu de près comprendront).

Aussi, cette vidéo date de 2011, je l'avais mise sur ce blog: http://le.blog.de.lala.over-blog.com/article-l-extraordinaire-foi-en-jesus-christ-des-coptes-egyptiens-pendant-plus-de-dix-minutes-ils-scandent-93441683.html

Des coptes égyptiens en train de louer Jésus et de scander son nom pendant plusieurs minutes.

L'extraordinaire foi en Jésus-Christ de Coptes Egyptiens !

En union de prière fraternelle pour tous les chrétiens assassinés, notamment ces 21 Coptes égyptiens, pour leurs familles, ceux qui sont persécutés,

sans oublier de prier au quotidien et avec force pour la conversion de leurs bourreaux.

En union de prière fraternelle.

Véronique

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"Répandre la miséricorde de Dieu sur toutes les personnes qui le demandent d'un coeur sincère..." - Pape François

15 Février 2015, 17:18pm

Publié par Véronique

MESSE AVEC LES NOUVEAUX CARDINAUX

HOMÉLIE DU PAPE FRANÇOIS

Basilique vaticane
Dimanche 15 février 2015

[Multimédia]


 

“Seigneur, si tu le veux, tu peux me purifier”… Jésus, saisi de compassion, étendit la main, le toucha et lui dit : “ Je le veux, sois purifié !” (cf. Mc 1, 40-41). La compassion de Jésus ! Ce “pâtir avec” qui le rapprochait de toute personne souffrante ! Jésus, ne se ménage pas, au contraire il se laisse impliquer dans la douleur et dans le besoin des gens… simplement, parce qu’il sait et veut “pâtir avec”, parce qu’il a un cœur qui n’a pas honte d’avoir “compassion”.

« Il ne pouvait plus entrer ouvertement dans une ville, mais restait à l’écart, dans des endroits déserts » (Mc 1, 45). Cela signifie que, en plus de guérir le lépreux, Jésus a pris aussi sur lui la marginalisation que la loi de Moïse imposait (cf. Lv 13, 1-2. 45-46). Jésus n’a pas peur du risque d’assumer la souffrance de l’autre, mais il en paie le prix jusqu’au bout (cf. Is 53, 4).

La compassion porte Jésus à agir concrètement : à réintégrer celui qui est exclu ! Et ce sont les trois concepts-clé que l’Église nous propose aujourd’hui dans la liturgie de la parole : la compassion de Jésus face à l’exclusion et sa volonté d’intégration.

Exclusion : Moïse, traitant juridiquement la question des lépreux, demande qu’ils soient éloignés et exclus de la communauté, tant que dure leur mal, et il les déclare « impurs » (cf. Lv 13, 1-2. 45-46).

Imaginez combien de souffrance et combien de honte devait éprouver un lépreux : physiquement , socialement, psychologiquement et spirituellement ! Il n’est pas seulement victime de la maladie, mais il éprouve en être aussi le coupable, puni pour ses péchés ! C’est un mort-vivant, “comme quelqu’un à qui son père a craché au visage” ( cf. Nb 12, 14).

En outre, le lépreux inspire la peur, le dédain, le dégoût et pour cela il est abandonné de sa propre famille, évité par les autres personnes, exclu de la société, ou plutôt la société elle-même l’expulse et le contraint à vivre dans des lieux éloignés des gens bien-portants, l’exclut. Et cela au point que si un individu bien-portant s’était approché d’un lépreux il aurait été sévèrement puni et souvent traité, à son tour, de lépreux.

C’est vrai, le but de cette règlementation était de “sauver les bien-portants”, “protéger les justes” et pour les sauvegarder de tout risque, exclure “le danger”, traitant sans pitié celui qui est contaminé. Ainsi, en effet, s’exclama le grand-prêtre Caïphe : « Il vaut mieux qu’un seul homme meure pour le peuple, et que l’ensemble de la nation ne périsse pas » (Jn 11, 50).

Intégration : Jésus révolutionne et secoue avec force cette mentalité enfermée dans la peur et autolimitée par les préjugés. Toutefois, il n’abolit pas la Loi de Moïse mais il la porte à son accomplissement (cf. Mt 5, 17), déclarant, par exemple, l’inefficacité contre-productive de la loi du talion ; déclarant que Dieu n’apprécie pas l’observance du Sabbat qui méprise l’homme et le condamne ; ou quand, face à la pécheresse, il ne la condamne pas mais au contraire la sauve du zèle aveugle de ceux qui étaient déjà prêts à la lapider sans pitié, estimant appliquer la Loi de Moïse. Jésus révolutionne aussi les consciences dans le Discours sur la montagne (cf. Mt 5), ouvrant de nouveaux horizons pour l’humanité et révélant pleinement la logique de Dieu. La logique de l’amour qui ne se fonde pas sur la peur mais sur la liberté, sur la charité, sur le zèle sain et sur le désir salvifique de Dieu : « Dieu notre Sauveur veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la pleine connaissance de la vérité » (1 Tm 2, 3-4). « Je veux la miséricorde, non le sacrifice » (Mt 12, 7 ; Os 6, 6).

Jésus, nouveau Moïse, a voulu guérir le lépreux, il a voulu le toucher, il a voulu le réintégrer dans la communauté, sans “s’autolimiter” dans les préjugés ; sans s’adapter à la mentalité dominante des gens ; sans se préoccuper du tout de la contagion. Jésus répond à la supplication du lépreux sans hésitation et sans les habituels renvois pour étudier la situation et toutes les éventuelles conséquences ! Pour Jésus ce qui compte, avant tout, c’est de rejoindre et de sauver ceux qui sont loin, soigner les blessures des malades, réintégrer tous les hommes dans la famille de Dieu ! Et cela scandalise certains !

Et Jésus n’a pas peur de ce type de scandale ! Il ne pense pas aux personnes fermées qui se scandalisent même pour une guérison, qui se scandalisent face à n’importe quelle ouverture, à n’importe quel pas qui n’entre pas dans leurs schémas mentaux et spirituels, à n’importe quelle caresse ou tendresse qui ne correspond pas à leurs habitudes de pensée et à leur pureté rituelle. Il a voulu intégrer les exclus, sauver ceux qui sont en dehors du campement (cf. Jn 10).

Il y a deux logiques de pensée et de foi : la peur de perdre ceux qui sont sauvés et le désir de sauver ceux qui sont perdus. Aujourd’hui aussi il arrive, parfois, de nous trouver au croisement de ces deux logiques : celle des docteurs de la loi, c’est-à-dire marginaliser le danger en éloignant la personne contaminée, et la logique de Dieu qui, avec sa miséricorde, serre dans ses bras et accueille en réintégrant et en transfigurant le mal en bien, la condamnation en salut et l’exclusion en annonce.

Ces deux logiques parcourent toute l’histoire de l’Église : exclure et réintégrer. Saint Paul, mettant en œuvre le commandement du Seigneur de porter l’annonce de l’Évangile jusqu’aux extrêmes limites de la terre (cf. Mt 28, 19), scandalisa et rencontra une forte résistance et une grande hostilité surtout de ceux qui exigeaient aussi une observance inconditionnelle de la Loi mosaïque de la part des païens convertis. Même saint Pierre fut durement critiqué par la communauté quand il entra dans la maison du Centurion païen Corneille (cf. Ac 10).

La route de l’Église, depuis le Concile de Jérusalem, est toujours celle de Jésus : celle de la miséricorde et de l’intégration. Cela ne veut pas dire sous-évaluer les dangers ou faire entrer les loups dans le troupeau, mais accueillir le fils prodigue repenti ; guérir avec détermination et courage les blessures du péché ; se retrousser les manches et ne pas rester regarder passivement la souffrance du monde. La route de l’Église est celle de ne condamner personne éternellement ; de répandre la miséricorde de Dieu sur toutes les personnes qui la demandent d’un cœur sincère ; la route de l’Église c’est justement de sortir de son enceinte pour aller chercher ceux qui sont loin dans les « périphéries » essentielles de l’existence ; celle d’adopter intégralement la logique de Dieu ; de suivre le Maître qui dit : « Ce ne sont pas les gens en bonne santé qui ont besoin du médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler les justes mais les pécheurs » (Lc 5, 31-32).

En guérissant le lépreux, Jésus ne porte aucun dommage à qui est bien-portant, au contraire, il le libère de la peur ; il ne lui apporte pas un danger mais il lui donne un frère ; il ne méprise pas la Loi mais il apprécie l’homme, pour qui Dieu a inspiré la Loi. En effet, Jésus libère les bien-portants de la tentation du “frère-ainé” (cf. Lc 15, 11-32) et du poids de l’envie et des murmures des ouvriers qui ont « enduré le poids du jour et la chaleur » (Mt 20, 1-16).

En conséquence : la charité ne peut être neutre, aseptisée, indifférente, tiède ou impartiale ! La charité contamine, passionne, risque et implique ! Parce que la charité véritable est toujours imméritée, inconditionnelle et gratuite ! (cf. 1 Co 13). La charité est créative pour trouver le langage juste afin de communiquer avec tous ceux qui sont considérés comme inguérissables et donc intouchables. Trouver le langage juste… Le contact est le vrai langage communicatif, le même langage affectif qui a transmis la guérison au lépreux. Que de guérisons nous pouvons accomplir et transmettre en apprenant ce langage du contact ! C’était un lépreux et il est devenu annonciateur de l’amour de Dieu. L’Évangile dit : « Un fois parti, cet homme se mit à proclamer et à répandre la nouvelle » (Mc 1, 45).

Chers nouveaux Cardinaux, ceci est la logique de Dieu, ceci est la route de l’Église : non seulement accueillir et intégrer, avec un courage évangélique, ceux qui frappent à notre porte, mais sortir, aller chercher, sans préjugés et sans peur, ceux qui sont loin en leur manifestant gratuitement ce que nous avons reçu gratuitement. « Celui qui déclare demeurer dans le Christ doit, lui aussi, marcher comme Jésus lui-même a marché » (1 Jn 2, 6). La totale disponibilité pour servir les autres est notre signe distinctif, est notre unique titre d’honneur !

Et pensez bien, en ces jours où vous avez reçu le titre cardinalice, invoquons l’intercession de Marie, Mère de l’Église, qui a souffert elle-même l’exclusion à cause des calomnies (cf. Jn 8, 41) et de l’exil (cf. Mt 2, 13-23), afin qu’elle nous obtienne d’être des serviteurs fidèles à Dieu. Qu’elle nous enseigne – elle qui est la Mère – à ne pas avoir peur d’accueillir avec tendresse les exclus ; à ne pas avoir peur de la tendresse. Que de fois nous avons peur de la tendresse ! Qu’elle nous enseigne à ne pas avoir peur de la tendresse et de la compassion ; qu’elle nous revête de patience pour les accompagner sur leur chemin, sans chercher les résultats d’un succès mondain ; qu’elle nous montre Jésus et nous fasse marcher comme lui.

Chers frères nouveaux Cardinaux, regardant vers Jésus et vers notre Mère, je vous exhorte à servir l’Église, de façon que les chrétiens – édifiés par notre témoignage – ne soient pas tentés d’être avec Jésus sans vouloir être avec les exclus, s’isolant dans une caste qui n’a rien d’authentiquement ecclésial. Je vous exhorte à servir Jésus crucifié en toute personne exclue, pour quelque motif que ce soit ; à voir le Seigneur en toute personne exclue qui a faim, qui a soif, qui est nue : le Seigneur qui est présent aussi en ceux qui ont perdu la foi, ou qui se sont éloignés de leur propre foi ou qui se déclarent athées; le Seigneur qui est en prison, qui est malade, qui n’a pas de travail, qui est persécuté ; le Seigneur qui est dans le lépreux – en son corps ou en son âme –, qui est discriminé ! Nous ne découvrons pas le Seigneur, si nous n’accueillons pas l’exclu de façon authentique ! Rappelons-nous toujours l’image de saint François qui n’a pas eu peur d’embrasser le lépreux et d’accueillir ceux qui souffrent toutes sortes de marginalisation. En réalité, chers frères, sur l’évangile des exclus, se joue, se découvre et se révèle notre crédibilité !

 

Source : http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/homilies/2015/documents/papa-francesco_20150215_omelia-nuovi-cardinali.html

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