On nous parle des anges
SUITE (cliquer)
Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)
Que les élites spirituelles ouvrent leur bouche et évangélisent. Véronique 03/07/2015 - "Homme de loi, devient un homme de foi" Jésus 24/06/2018 (Ne tenez compte d'aucune publicité sur le blog)
Enfants de Dieu, reveillez-vous !
Satan redouble d'efforts pour perdre les âmes :
avortements,
euthanasie,
mères porteuses,
recherches embryonnaires,
clonages d'embryons,
mariage homosexuel,
droit à l'adoption des homosexuels,
attentats,
guerres, violences,
injustices,
haîne,
prise d'otages,
travail le dimanche,
chaos dans l'Eglise,
profanations et sacrilèges dans les
églises
(vols, concerts, expositions, transformation en logement, démolition, messes spectacle, bavardages, ...),
divorces,
séparation des familles,
parents n'ayant plus d'autorité sur leurs enfants,
refus des dix commandements de Dieu,
refus de Dieu dans nos vies,
refus de Dieu dans nos sociétés,
refus de l'amour,
refus de la prière,
refus de la confession,
refus de la pénitence,
paresse,
triple concupiscence, orgueil, pauvreté .......
Nous enfants de Dieu, aimant Dieu, nous serons jugés sur nos actes, et, devant le Grand Tribunal, aucun avocat ne sera là
pour nous défendre, et, si nous sommes en état de péché mortel, nous irons pour l'éternité en enfer.
Reveillons-nous et prions, prions,
prions pour notre âme, et le salut des autres qui ont besoin de la Lumière Divine pour être sauvées.
Tout ce que Jésus
a fait pour nous, L'a t-il fait pour rien ?
Prions au pied de la Croix de Jésus s'étant offert tout entier pour nous
sauver.
Dieu premier servi. (Sainte Jeanne d'Arc)
Vous pouvez lire l'entretien donné ce soir par Pierre-Olivier Arduin au Forum catholique :
MJ
sourceEn vue de la révision de la loi de bioéthique en 2009, la maternité de substitution (rappel sur ce qu'en dit l'Eglise) pourrait être légalisée en France :
SOURCE"Le tourisme procréatif est en effet en plein essor avec le but plus ou moins avoué de forcer le droit français. C’est d’ailleurs le fond de commerce d’un nouveau lobby, l’association Maïa, qui milite bruyamment en faveur de la légalisation de la gestation pour autrui. Sa présidente, Laure Camborieux, ne cache pas vouloir faire avancer définitivement le débat à l’occasion de la révision de la loi de bioéthique. [...]
Que cache exactement cette nouvelle dérive ? Pas moins qu’un trafic d’êtres humains. Soit la mère porteuse «loue» son utérus pour que l’embryon issu des gamètes des parents biologiques et conçu par fécondation in vitro y soit implanté : dans ce cas, elle n’est pas la mère génétique de l’enfant. Soit elle est inséminée artificiellement par les spermatozoïdes du père en fournissant un de ses ovocytes. Dans cette formule, la mère porteuse est tout à la fois la mère gestatrice et la mère biologique, se substituant totalement à la mère demandeuse qui ne deviendra la mère légale qu’après abandon de l’enfant à la naissance. Or, à ce jour, porter en son sein un enfant et lui donner naissance rend effectif juridiquement la filiation maternelle. Aller contre cette justice multiséculaire serait tenir pour rien la relation materno-fœtale au moment même où celle-ci est de plus en plus documentée dans sa contribution à construire la personnalité de l’enfant.
L’instrumentalisation des personnes dépasse ici l’entendement. La mère porteuse, moyennant rétribution, met à disposition des requérants ses fonctions reproductrices, entraînant une confusion entre procréation, reproduction et simple production d’une marchandise, l’enfant, au moyen de son instrument de travail, l’utérus. Du côté de l’enfant, on aboutit à une chosification sans précédent car la mère porteuse s’engage à céder l’enfant qu’elle aura porté en posant par anticipation un acte de disposition relatif à une personne. Il s’ensuit une réification majeure de l’enfant qui n’est plus traité comme un sujet de droit, mais comme un objet de créance ou comme une chose due en vertu du contrat."
Rappelons-nous les faits.
Jeudi Saint : Jésus institue l'Eucharistie, lors du dernier repas avec ses apôtres : la Cène.
Pendant ce repas, Jésus ordonne ses apôtres prêtres par le sacrement (sacerdoce des prêtres : ordination).
Puis ils vont au jardin des oliviers, à Gethsémani. (Matthieu 26, 36-46 / Marc 14, 32-42 / Luc 22, 39-46 )
Jésus dit à ses disciples de rester ici pendant qu'Il ira prier là-bas.
Emmenant Pierre et les deux fils de Zébédée, Jésus commence à ressentir tristesse et angoisse.
Il leur dit alors : "Mon âme est triste à en mourir, demeurez ici et veillez avec moi."
Jésus, allant un peu plus loin et tombant la face contre terre, il priait, disant : "Mon Père, s'il est possible, que cette coupe passe loin de moi ! Cependant, que ce ne soit pas ma volonté, mais la tienne qui se fasse ! (non pas comme je veux, mais comme tu
veux.)"
Là, aimant toutes les âmes sans exception, Jésus s'abandonnait par amour pour nous à la volonté de Dieu son Père. C'est une très grande preuve d'amour pour nous.
Voilà ce que Jésus voyait dans cette coupe (le Calice pendant la messe) :
- toute la souffrance qu'Il va connaître (crachas, insultes, outrages, flagellation, croix, clous...)
- le péché du monde dans sa globalité depuis Adam et Eve, et de tous les hommes jusqu'à la fin du monde, et Il connait le nombre des personnes qui ne vont pas accepter ce qu'Il va souffrir.
- Il voit toute cette masse de pécheurs et péchés, et voit aussi ceux qui ne voudront pas du Salut.
A Gethsémani, au jardin des oliviers, Jésus a donc transpiré du sang (Luc 22, 44). Cela Lui faisait tellement mal de voir tout cela dans le Calice.
Mais un ange est apparu et le réconfortait (Luc 22, 43)
Nous pouvons donc réaliser la misère de nos âmes, de nos péchés, nous qui sommes pécheurs et orgueilleux.
Nous ne voulons que le pouvoir et l'argent, les plaisirs du corps et de l'esprit.
Jésus, Lui, s'est donné tout entier pour chacun de nous. Il a plus souffert en regardant ce Calice que des souffrances de Son corps.
Il n'a rien calculé, Il a tout donné, tout.
Pendant la messe, voilà ce qui se passe dans le Calice, sur l'Autel.
Voilà ce que le prêtre voit dans le Calice, et qu'il doit respecter, honorer, prier, méditer, vivre, aimer...
Et pendant ce temps là, les messes spectacles fleurissent, mais ils n'ont pas connaissance de leur péché grave au non respect du Calice, sans parler du Corps du Christ, de la Croix...
Et pourtant, Jésus est là, encore et encore, plein de bonté et de Miséricorde, et nous laisse vivre malgré nos péchés.
Que de grâces nous devons Lui témoigner.
Que de misères sont nos âmes, nous qui croyons être sans péché, c'est justement en être rempli, et l'aveuglement nous fait vivre dans le péché et nous fait souffrir, mais offense aussi le
Seigneur.
Le Seigneur nous attend à la confession, plein d'amour, parce qu'Il nous aime, et veut notre Salut à tous, sans exception.
Maintenant, au lieu de commettre des péchés, avant d'aller se confesser, avant de prier, pendant la messe...pensons au Calice de Jésus, les péchés qu'Il y a vu, les pécheurs qu'Il y a vu, ceux
qui Lui disent oui, ceux qui L'offensent depuis Adam et Eve et jusqu'au dernier homme de la fin du monde.
Par notre confession, Jésus ne nous demande rien en échange, tout est gratuit, puisqu'Il a pris sur Lui tous nos péchés, depuis Adam et Eve et jusqu'à la fin des temps.
Nous venons Lui confesser nos péchés, et Lui est là, à tendre Ses bras pour nous blotir contre Son Coeur qui nous aime tant.
Tout est gratuit, et, après la confession, la joie nous envahi, car, nos péchés confessés sont oubliés par Dieu et par nous-mêmes, ainsi, les yeux fixés vers le Ciel nous entendons Jésus nous
dire Je t'aime.
Amen.
Véronique J