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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

eglise ( l' )

Dix ans aux Réformés !...

21 Février 2016, 18:18pm

Publié par Véronique

Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

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Communauté Saint Jean

4 Août 2013, 22:25pm

Publié par Véronique

Leur site officiel : http://www.stjean.com/

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Eglise : ma mère. (Léandre Lachance)

19 Septembre 2012, 20:29pm

Publié par Véronique

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Assise 2011.

28 Octobre 2011, 15:31pm

Publié par Véronique

 

- Rencontre des délégations : ici.

Convoquée à Assise par Benoît XVI le 27 octobre 2011, la 3ème rencontre interreligieuse de prière et de dialogue pour la paix rassemble quelques 300 délégués des différentes religions et 4 non-croyants.

 

- Engagement pour la paix : ici.

Au pied de la célèbre basilique de Saint-François, les participants, dont de nombreux jeunes, arrivent en procession depuis la vallée en prenant le chemin qui serpente vers la basilique. Cette marche se fait en silence et entend symboliser "le chemin de chaque être humain dans la recherche assidue de la vérité et dans la construction active de la justice et de la paix". Le pape et les leaders religieux doivent "symboliquement" s'associer à cette procession. Benoît XVI prend la parole après que différents responsables religieux ont prononcé "un engagement commun pour la paix".

 

- Rencontres d'Assise : ici.

"Le désir de Benoît XVI de revivre le 25e anniversaire de la rencontre historique d'Assise en 1986 ne répond pas seulement à un motif de célébration et encore moins à l'intention de trouver une religion globale", c'est ce qu'a affirmé le président du Conseil pontifical Justice et paix, le cardinal Peter Turkson. Il est vrai qu'en convoquant une journée de prière pour la paix dans la ville de Saint-François le 27 octobre, 25 ans après l'initiative de Jean-Paul II, Benoît XVI tente de clarifier les choses : pas de syncrétisme religieux, mais une volonté de convier les religieux et les hommes de bonne volonté à "s'engager unanimement pour la paix". Car la nouveauté de cette rencontre est l'invitation faite aux non-croyants, dans l'esprit du Parvis des Gentils. Dès lors, qu'attendre de cette rencontre ? Dans son encyclique sociale, Benoît XVI rappelle que "la paix est le fruit d'un engagement soutenu par un amour plein de vérité". Faut-il donc s'attendre à des points d'accroche entre les dignitaires religieux présents ? En quoi cette rencontre se distingue-t-elle des précédentes? Régis Burnet reçoit Jean-Pierre Denis, directeur de la rédaction de la Vie et Christophe Geffroy, directeur de la rédaction de la Nef, pour débattre sur les Rencontres d'Assise.

 

 

- Emission spéciale à l'issue de la rencontre d'Assise : ici.

Le 27 octobre 2011, le Pape Benoit XVI avec 300 représentants de traditions religieuses du monde entier et de non-croyants se sont faits " pèlerins de la vérité, pèlerins de la paix ". Ce pèlerinage se déroule 25 ans après la première rencontre historique d'Assise, mais dans un contexte différent. Quelle est l'impulsion nouvelle ? Quels ont été le message et les gestes décisifs pour l'humanité ? Décryptage avec Mgr Michel Dubost, évêque d'Evry-Corbeil-Essonnes et Gérard Leclerc, journaliste et éditorialiste à France Catholique. Emission présentée par Etienne Loraillère.

 

 

 

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21 prêtres français s’adressent à Rome : « Donnez-nous des évêques selon le cœur du Pape ! »

27 Mai 2011, 12:59pm

Publié par Véronique

 

Dans le contexte du sacre de Mgr Fonlupt et des interrogations de fidèles dont nous nous sommes faits l’écho, nous avons reçu le texte d’une supplique qu’un groupe de 21 prêtres français adressent ces jours-ci au cardinal Ouellet, préfet de la congrégation pour les évêques.
D’après ce que je sais de la situation du catholicisme français, ces 21 auraient aussi bien pu être plusieurs dizaines, mais l’animateur du groupe s’est volontairement limité pour envoyer rapidement – et, en l’occurrence, avant le sacre de Mgr Fonlupt – cette supplique à Rome.
Qui sont ces prêtres? De parfaits représentants des « forces vives » du catholicisme français: ils sont 4 religieux, 2 membres d’instituts Ecclesia Dei, et 15 prêtres diocésains. Certains ont été tout récemment ordonnés; d’autres sont prêtres depuis plus de 20 ans. Presque tous ont moins de 50 ans. En un mot, ils sont représentatifs de la génération de la nouvelle évangélisation. Ils ont vu le champ immense de la mission en France même et ne parviennent pas à comprendre que les bureaux et les officines continuent à s’arc-bouter sur des choix idéologiques d’un autre âge. Ils sont résolument favorables à la fin de la guerre liturgique et à la « réforme de la réforme » et aussi hostiles que possible aux interprétations néo-modernistes de Vatican II. L’animateur de ce groupe – qui en est aussi le doyen – a délibérément choisi de représenter cette « diversité » parmi les signataires.
Pour ma part, en recevant cette supplique, j’ai instantanément songé à la supplique des séminaristes de Milan en février dernier. Nous avions suivi cette affaire sans en parler pour éviter de jeter de l’huile sur le feu, mais, à présent qu’elle est derrière nous, je peux bien vous dire de quoi il s’agissait: quelques séminaristes du diocèse de Milan ont écrit une supplique au Pape demandant la possibilité de se former à la célébration du rite ambrosien. L’affaire engendra beaucoup de remue-ménage, à la curie, au diocèse et au séminaire, à tel point que les « fautifs » furent convoqués par le supérieur du séminaire et manquèrent de peu le renvoi.
C’est la raison pour laquelle j’ai moi-même conseillé à l’animateur de ces 21 prêtres de ne pas solliciter de séminaristes (car, en France, on ne se contenterait pas de la menace et il serait trop bête de perdre des prêtres avant même leur ordination…). Et c’est aussi la raison pour laquelle j’ai supprimé les signatures des 21 prêtres. Nous, laïcs, pouvons librement prendre la parole; il n’en va pas toujours de même pour les clercs.

 

A Son Éminence le Cardinal Ouellet,
Préfet de la Congrégation pour les Évêques

Éminence,

Nous voudrions vous faire part de l’incompréhension d’une large part des prêtres et des catholiques de France concernant les nominations épiscopales actuelles.
Dans notre pays, depuis trois ou quatre décennies, le catholicisme s’est réduit et continue de se réduire dramatiquement (effondrement constant de la pratique dominicale, du nombre des prêtres, des religieux, des catéchisés, des vocations, etc.) Il n’est pas impossible que le Saint-Siège soit bientôt contraint de transformer certains diocèses français en administrations apostoliques, compte tenu du nombre dérisoire de leurs prêtres en activité.
Or ce catholicisme malade n’est pas mort. Transformé par la terrible épreuve de la sécularisation, il a encore – pour combien de temps ? – la capacité de se revitaliser en son état de minorité : scoutisme, écoles vraiment catholiques, mouvements, pèlerinages, communautés nouvelles multiples, communautés traditionnelles jeunes et vivantes, nouvelles générations de prêtres réellement missionnaires, séminaristes diocésains et nombreuses vocations potentielles de type « génération Benoît XVI », possibilités liturgiques et vocationnelles offertes par le Motu Proprio Summorum Pontificum, jeunes familles chrétiennes nombreuses, groupements très actifs de soutien à la vie. Ce catholicisme-là veut tourner une page mortifère : abus liturgiques, prédication désastreuse concernant la morale du mariage, complexe anti-romain latent, pratiques sacramentelles déviantes (bénédictions de « remariages » des divorcés remariés, absolutions collectives), catéchèse douteusement catholique sur l’eucharistie, etc.
Dans ce contexte, les nominations épiscopales nous paraissent inintelligibles. Bien des évêques de France sont en décalage croissant avec ce nouveau catholicisme. Et c’est une immense déception de voir qu’une partie de ceux nommés aujourd’hui même, sous le pape Benoît XVI, comme s’ils se reproduisaient par cooptation, ont encore un esprit « génération 68 » plus ou moins recentré, et que l’autre partie est choisie, pour les besoins d’un consensus introuvable, parmi des hommes d’une timidité réformatrice extrême.
Les prêtres, les religieux, les clercs que nous représentons désirent que soit faite à l’adresse d’une société de plus en plus indifférente une annonce claire de l’Évangile. Ils sont en outre animés d’un vrai désir de réconciliation et de paix entre tous les catholiques de France, qui se savent désormais largement minoritaires. Mais pour mettre en œuvre une nouvelle pastorale, il faut choisir de nouveaux pasteurs. Il se trouve que les prêtres de 50 à 60 ans qui ont un profil pastoral, psychologique et intellectuel solide, répondant parfaitement aux besoins vitaux du nouveau catholicisme français, sont désormais nombreux.
Éminence, le salut du catholicisme français dépend de la nomination d’évêques qui répondront à ses besoins réels et à ses vraies attentes.
Nous exprimons à Votre Éminence notre profond et religieux respect, et La prions de transmettre à notre Saint-Père le Pape l’expression de l’affection dévouée et respectueuse de ses enfants fidèles, prêtres de Jésus-Christ.

 

SOURCE

 

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"L'Eglise est notre Mère"

20 Juillet 2010, 15:44pm

Publié par Véronique J.

REPORTAGE
Pèlerinage de Chrétienté

Diffusé le 30/06/2010 / Durée 13 mn

<< ici >>

Reportage sur le Pèlerinage de Chrétienté, de Paris à Chartres, du 22 au 24 mai 2010. Thème de ce 28ème Pèlerinage de Pentecôte : l'Eglise est notre Mère.

 

 

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KIRCHENTAG: EGLISE, LIEU D'ESPERANCE

21 Mai 2010, 15:03pm

Publié par Véronique J.

CITE DU VATICAN, 15 MAI 2010 (VIS).

Aujourd'hui a été publié le message de Benoît XVI au deuxième Kirchentag œcuménique allemand, qui s'est tenu à Munich (Allemagne) du 12 au 16 mai, et auquel ont participé des chrétiens de différentes confessions, mais aussi des croyants d'autres religions. Rappelant le thème de la rencontre, "Afin que vous ayez l'espérance", le Saint-Père a souligné que "ces derniers mois, nous avons été régulièrement confrontés à des nouvelles qui ont cherché à retirer toute joie de l'Eglise et qui ont assombri ce lieu d'espérance".

 

  "En étant aujourd'hui un peu attentifs, nous ne percevons pas seulement l'obscurité mais aussi ce qui est clair et bon à notre époque. Nous voyons comme la foi rend les hommes purs et généreux et les éduque à l'amour. La zizanie existe aussi au sein de l'Eglise et entre ceux que le Seigneur a appelé à son service en particulier. Mais la lumière de Dieu n'est pas éteinte, le bon grain n'a pas été étouffé par les germes du mal". Après s'être demandé si "l'Eglise est encore un lieu d'espérance ?", il a répondu : "Oui, car d'elle nous arrive toujours et de nouveau la Parole de Dieu qui nous purifie et nous montre le chemin de la foi. Elle l'est car, en elle, le Seigneur continue de se donner lui-même, dans la grâce des sacrements, dans la parole de la réconciliation et dans les multiples dons de sa consolation. Rien ne peut assombrir ou détruire tout cela. C'est de cela dont nous devrions être heureux au milieu de toutes ces tribulations".

 

  "Quand nous parlons de l'Eglise comme d'un lieu d'espérance qui vient de Dieu -écrit ensuite le Pape- un examen de conscience s'avère alors nécessaire : Que fais-je, moi, de l'espérance que le Seigneur nous a donnée? Est-ce que je me laisse vraiment façonner par sa Parole? Changer et guérir par lui? Combien de zizanie, en réalité, grandit en moi? Suis-je disposé à l'éradiquer? Suis-je reconnaissant du don du pardon et disposé à pardonner et à guérir à mon tour plutôt qu'à condamner?". Il ajoute que "nous ne pouvons pas faire les choses les plus grandes, celles qui relèvent seulement du don : l'amitié, l'amour, la joie et le bonheur... Cependant aujourd'hui presque personne ne parle encore de la vie éternelle qui, par le passé, était la vraie raison de l'espérance. Comme l'on n'ose pas croire en elle, nous espérons tout dans la vie présente. La mise à l'écart de l'espérance en la vie éternelle porte à l'avidité pour une vie, ici et maintenant, qui devient presque inévitablement égoïste et, à la fin, reste irréalisable. C'est en voulant entrer en possession de la vie comme d'une sorte de bien qu'elle nous échappe".

 

  "Dieu est vivant. Dieu nous aime. Il est devenu l'un d'entre nous en Jésus-Christ. Je peux me tourner vers lui et lui m'écoute. Ainsi, comme Pierre, dans l'agitation de notre époque qui nous pousse à croire à tant d'autres choses, nous lui disons : Seigneur, à qui irons-nous? Tu as les paroles de la vie éternelle. Nous, nous croyons et nous avons reconnu que tu es le Saint de Dieu". A la fin du message, le Saint-Père a souhaité que tous fassent "à nouveau l'expérience de la joie de connaître Dieu, de connaître le Christ et que Lui nous connaisse. Voilà notre espérance et notre joie au milieu de l'agitation d'aujourd'hui".

 

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Les carmélites du Chili.

16 Mars 2010, 09:46am

Publié par Véronique J.

DOCUMENTAIRE
Les carmélites du Chili
Diffusé le 12/03/2010 / Durée 11 mn
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ici >> 

Les premiers croyants sont apparus au Chili au XVIème siècle mais les pays évangélisés par les espagnols n'étaient pas autorisés à instaurer des ordres contemplatifs. Les ordres des carmélites, bénédictins ou des clarisses datent seulement du XIXème siècle, après l'indépendance. La nécessité d'établir des couvents contemplatifs dans cette région continue d'être une préoccupation pour l'Eglise du Chili.

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Chili, une foi débordante de vie.

16 Mars 2010, 09:37am

Publié par Véronique J.

DOCUMENTAIRE
Chili, une foi débordante de vie
Diffusé le 12/03/2010 / Durée 45 mn
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Le Chili est un pays chargé de contrastes, bordé par une côte interminable et des déserts arides où se côtoient richesse et pauvreté. Le Chili est un pays de couleur, de danse et de musique. C'est aussi un pays de foi où l'Eglise doit faire face à de nombreux problèmes mais qui déborde de vie.



J'ai été très touchée par une parole de ce reportage :
"Le secret c'est le chapelet... si vous priez le chapelet dans l'église, si vous célébrez la messe Sainte tous les jours et travaillez avec les pauvres, l'église sera remplie de fidèles."

Véronique J.

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Jésus n'a fait qu'une Eglise (Enseignement)

14 Décembre 2009, 10:49am

Publié par Véronique J.

Enseignement de l'Abbé Pages




Celui a reconnu l'existence de Dieu ne peut plus ne pas être religieux. Mais ily a tant de religions ! Laquelle choisir ? Ni Bouddha, ni Allah, ni Ali Baba n'ont donné leur vie pour nous. Jésus seul l'a fait. IL mérite donc d'être plus que quiconque d'être notre Maître. Or Jésus n'a fait qu'une Eglise afin de rassembler la multitude des enfants de Dieu dispéersés. Et cette Eglise, il est facile, parmi la multitude qui chaque jour se créée, de la reconnaître : elle est la seule à pouvoir apporter la preuve historique de sa fondation par Jésus Lui-même...

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