Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

En Belgique, la chaîne flamande VTM va diffuser le 18 octobre prochain une émission intitulée “Ik wil een kind” (“Je veux un enfant“). Le concept : « la “co-parentalité consciente”, ou co-parentalité programmée ».

15 Octobre 2021, 18:29pm

Publié par Véronique

Il est temps de dire STOP !
Oui il faut des règles, oui il faut des limites
Car sinon, voilà le résultat. Non, merci !

⬇️

« Je veux un enfant » :
le nouveau concept de la télé-réalité flamande

En Belgique, la chaîne flamande VTM va diffuser le 18 octobre prochain une émission intitulée “Ik wil een kind” (“Je veux un enfant“). Le concept : « la “co-parentalité consciente”, ou co-parentalité programmée ». En d’autres termes, l’émission propose de mettre en relation « des personnes qui veulent un enfant mais qui ne peuvent pas en avoir, pour des raisons médicales ou sociales ». Elles « pourront éventuellement mettre un bébé au monde, pour ensuite l’élever conjointement ».

Les futurs « parents » pourront être deux. Ou trois. Ou quatre. Par exemple, « un couple et une personne célibataire, ou encore de deux couples homosexuels ». Et « quel que soit leur nombre, tous deviendront parent de l’enfant à venir, même ceux qui n’ont pas de lien biologique ». Des « formes de famille » absentes de la législation belge que la chaîne VTM veut « mettre en lumière », déplorant un « vide juridique » (cf. Colombie-Britannique : trois parents pour un enfantCo-parentalité : un enfant juste pour le week-end ? ).

Et l’enfant dans tout ça ?

Les candidats seront accompagnés par des « spécialistes » qui « devront les guider dans leur processus, et établir aussi des modalités pour protéger le futur enfant et pour éviter de potentiels conflits ». Comme avec « un accord préalable sur le lieu de vie des différents parents, ou sur les bénéficiaires de mesures telles que les allocations familiales et le congé parental » (cf. GPA, prime à la naissance et discrimination).

Parmi les voix qui se sont élevées contre cette émission, celle du ministre flamand de la Jeunesse, Benjamin Dalle. « Avoir un enfant n’est pas la même chose qu’acheter une maison ou trouver un partenaire de vie », a-t-il rappelé. « Un enfant n’est pas un objet dont on a droit, mais bien un sujet qui a lui-même des droits », a appuyé Caroline Vrijens, commissaire aux droits de l’enfant. De son côté, le socialiste Bert Anciaux a dénoncé « une pratique honteuse dans le cadre d’une course à l’audience et au profit ».

 

Source : RTBF, Joyce Azar (13/10/2021) – Photo : Sammy-Williams de Pixabay

SOURCE

Union de prière, Véronique

Voir les commentaires

15 octobre - Fête de Sainte Thérèse d'Avila

15 Octobre 2021, 14:02pm

Publié par Véronique

Thérèse de Jésus

(1515 -1582)

15 octobre - Fête de Sainte Thérèse d'Avila

« Que rien ne te trouble Que rien ne t’épouvante Tout passe Dieu ne change pas. La patience triomphe de tout Celui qui possède Dieu Ne manque de rien Dieu seul suffit ! »

Histoire de sa conversion

 

La mystique

 

La fondatrice

 

Le Pape émérite Benoît XVI raconte sa vie passionnée

Voir les commentaires

Jésus donne la vision d’un chapelet perpétuel pour sortir de la crise actuelle

15 Octobre 2021, 08:23am

Publié par Véronique

Vision à l’origine du Chapelet perpétuel pour le Monde © chapeletperpetuelpourlemonde.org

Au départ, nous étions trois amies. La situation inquiétante de notre monde nous attristait beaucoup : la pandémie et ses conséquences dramatiques, le non-respect des lois fondamentales de la Vie, l’inversion des valeurs ainsi que les attaques contre l’Eglise. Nous avions un fort désir d’agir, mais sans trop savoir comment faire…

Alors nous avons remis ce désir au Seigneur pour qu’Il nous éclaire et qu’Il nous guide. Nous avons prié, et l’une d’entre nous, Catherine, a passé plusieurs heures, le 21 septembre 2020, au Carmel de Chambéry (Alpes françaises) devant le Saint Sacrement. C’est là qu’elle a reçu une vision intérieure.

La première image de cette vision représentait la fresque qui se trouve dans la Crypte du Sanctuaire Notre-Dame de Myans en Savoie (France). Cette fresque relate le miracle qui a eu lieu en 1248, lors de l’éboulement de la montagne du Granier. Toute la région avait été engloutie sous la boue et les roches, excepté les moines qui priaient devant la statue de Notre-Dame de Myans. La fresque montre des sortes de démons qui essaient de détruire le Sanctuaire avec d’énormes rochers. Mais ils disent : « Nous ne pouvons pas, car la Vierge Marie nous en empêche. »

Ensuite Catherine a vu une deuxième image : c’était la Chapelle d’Adoration Perpétuelle de Chambéry qui apparaissait.

A l’intérieur, un immense chapelet (…) disposé sur le sol, au pied du Saint Sacrement. Et une partie de ce chapelet sortait par la porte jusque dans la rue où il continuait de se déployer. Là, dehors, ses grains se transformaient aussitôt et devenaient les remparts d’une forteresse. Cette grande muraille constituait une formidable protection… Pendant que se déroulait cette vision, deux mots résonnaient intérieurement : « Chapelet perpétuel ».

Les jours suivant cette vision, nous avons discerné dans la prière, avec un prêtre le sens qu’elle pouvait avoir. Puis nous avons répondu à l’appel du Seigneur, convaincues de la puissance du chapelet, cet extraordinaire rempart qui va protéger, de plus en plus, le monde entier ! C’est ainsi qu’a commencé, le 1er octobre 2020, le « Chapelet perpétuel pour le monde ».

SOURCE

Voir les commentaires

Grandeur de Joseph

15 Octobre 2021, 08:15am

Publié par Véronique

Grandeur de Joseph
Un saint immense pour le IIIe millénaire

Après avoir vu ce qu’il y a de plus grand dans la vocation de Joseph, il faut maintenant regarder et contempler tous les autres aspects de sa vie, puisqu’il est à la fois prince « de la maison de David » (Mt 1,20), époux de la Vierge Marie, chef de la Sainte Famille et éducateur de Jésus et image du Patriarche Joseph, en étant aussi le patron de la bonne mort, le patron de l’Église universelle et un modèle parfait de vie dont nous pourrons d’autant plus nous inspirer et le prier que nous aurons pu le comprendre et l’admirer...

Après Marie, Joseph est incontestablement le plus grand saint de la chrétienté.

Qui mieux que lui a connu l’Immaculée son Épouse, et Jésus l’Enfant divin qui lui fut confié ? Déjà « juste » au moment de l’Annonciation, Joseph a lui aussi « grandi » pendant trente ans au contact de la sainteté unique de Jésus et de Marie.

« Joseph de Nazareth a participé au mystère de l’Incarnation plus qu’aucune autre personne, en dehors de Marie, la Mère du Verbe incarné », enseignait Jean-Paul II à la suite de Léon XIII lequel écrivait : « Certes, la dignité de la Mère de Dieu est si haute qu’il ne peut être créé rien au-dessus. Mais, comme Joseph a été uni à la bienheureuse Vierge par le lien conjugal, il n’est pas douteux qu’il ait approché plus que personne de cette dignité suréminente par laquelle la Mère de Dieu surpasse de si haut toutes les créatures. Le mariage est en effet la société et l’union la plus intime de toutes, qui entraîne de sa nature la communauté des biens entre l’un et l’autre des conjoints. Aussi, en donnant Joseph pour époux à la Vierge, Dieu lui donna non seulement un compagnon de vie, un témoin de sa virginité, un gardien de son honneur, mais encore, en vertu même du pacte conjugal, un participant de sa sublime dignité. »

Encore une fois, un des arguments les plus forts est que la parole de Marie portant Jésus en son sein a suffi pour sanctifier Jean-Baptiste en un instant. Combien donc davantage pour Joseph, qui a passé trente ans avec eux !

Le cœur de Marie est étroitement uni à celui de son Fils; mais il l’est également à celui de son époux Joseph; d’ou` il suit que le cœur très chaste de Joseph bat à l’unisson des cœurs de Marie et de Jésus, comme l’avait déjà affirmé saint Jean Eudes, dès le XVIIe siècle.

Les grands témoins de Dieu parlent d’une grandeur « supérieure à celle de tous les saints », hormis la Vierge Marie.

Par exemple saint Alphonse de Liguori (1696-1787) : « L’exemple seul de Jésus-Christ qui, sur la Terre, voulut faire preuve de tant de respect et d’obéissance envers saint Joseph, devrait nous animer tous à être de fervents zélateurs de la dévotion envers ce grand saint (...) Pendant tout ce temps, ce fut à Joseph de commander, comme étant établi chef de cette petite famille (...) Cette humble obéissance de Jésus-Christ fait connaître que la dignité de Joseph est supérieure à celle de tous les saints, excepté celle de sa Mère. »

Ou saint Pierre-Julien Eymard (1811-1868) : « Saint Joseph, après la Très Sainte Vierge, a été le premier et le plus parfait adorateur de Notre Seigneur. Il adorait avec une vertu de foi plus grande que celle de tous les saints; il adorait avec une humilité plus profonde que celle de tous les élus; il adorait avec une pureté plus pure que celle des anges; il adorait avec un amour qu’aucune autre créature, angélique ou humaine, n’eut et ne put avoir pour Jésus; il adorait avec un dévouement aussi grand que son amour. La vie de saint Joseph fut une vie d’adoration de Jésus, mais d’adoration parfaite. Je m’unirai donc bien à ce saint adorateur, afin qu’il m’apprenne à adorer Notre Seigneur et à me faire entrer en société avec lui, afin que je sois le Joseph de l’Eucharistie comme il a été le Joseph de Nazareth. »

Ou Dom Prosper Guéranger (1805-1875) : « Non jamais aucun homme, en ce monde, ne pourra pénétrer toutes les grandeurs de Joseph. Quel souverain et tendre respect pour Marie votre épouse ! Quelle reconnaissance et quelles adorations pour Jésus, votre enfant soumis ! Ô mystère de Nazareth ! Dieu habite parmi les hommes, et il souffre (au sens de permettre) d’être appelé le fils de Joseph ! »

Ou Dom Bernard Maréchaux (1849-1927) : « Sans aucun doute l’âme de saint Joseph fut créée par le Saint-Esprit plus large et plus profonde encore que l’âme de Salomon, parce qu’il voulait y faire rayonner Marie, la créature idéale et le Verbe de Dieu Incarné. »

Ou encore le père Denis Buzy (1883-1965) : « S’il s’agit de la dignité des fonctions, pourrions-nous hésiter à mettre Joseph au-dessus de tous les autres saints ? Car Joseph n’a pas eu à collaborer à l’œuvre du Christ de son vivant ou après sa mort : il a été chargé de veiller sur la personne même du Rédempteur. Après la dignité de Mère de Dieu, il n’y a jamais eu sur la Terre dignité plus haute. »

Car la grâce est proportionnée à la vocation : « Cette exigence intrinsèque s’impose surtout dans une vocation et un ministère tels que ceux de saint Joseph. Le ministère étant suprême, la grâce dut l’être aussi... Et s’il fut saint dès l’origine, que ne durent pas être par la suite ses progrès dans la sainteté, au contact de Jésus ? »

À l’aube de ce troisième millénaire, l’Église invite à bâtir une authentique civilisation de l’amour, fondée sur les valeurs évangéliques. « La sainteté est l’un des points essentiels – et même le premier – du programme que j’ai défini pour le début du troisième millénaire », disait Jean-Paul II.

SOURCE

Voir les commentaires

Ombre du Père

15 Octobre 2021, 08:13am

Publié par Véronique

Ombre du Père

Lui seul est « l’ombre du Père éternel » : voilà pourquoi Joseph est si grand, si important et si méconnu.

Au XVIIe siècle, au moment des apparitions de saint Joseph à Cotignac, le 7 juin 1660, ce qu’on appellera ensuite la grande « École française de spiritualité » (nom donné par l’Abbé Henri Brémond) médita le mystère de l’Incarnation et développa trois thèmes essentiels, qui auront une grande postérité :

  • L’amour brûlant et miséricordieux du Sacré-Cœur, avec saint François de Sales, sainte Jeanne de Chantal, qui parlent de l’amour du Christ, puis Marie des Vallées et saint Jean Eudes qui évoquent son Cœur, et enfin sainte Marguerite-Marie Alacoque, Claude de la Colombière, Charles de Foucauld, Montmartre.
  • La vraie dévotion à la Vierge Marie, avec, après saint Bernard de Clairvaux, le cardinal de Bérulle, Jean-Jacques Olier, saint Jean Eudes, saint Vincent de Paul, puis saint Louis-Marie Grignion de Montfort qui inspirera Maximilien Kolbe, Jean-Paul II et tant d'autres.
  • Mais aussi l’importance de saint Joseph, découvert dans son rôle unique et fondamental, ce qui a conduit aux développements nouveaux que nous constatons à notre époque.

L’inspiration de cette spiritualité vient d’Espagne, par le Carmel : le cardinal de Bérulle (1575-1629), fondateur de la Congrégation de l’Oratoire, exerça sur la spiritualité française une influence décisive et c’est lui qui introduisit en France le Carmel réformé de sainte Thérèse d’Avila ; il adopta du même coup la grande dévotion de celle-ci envers saint Joseph. Sainte Thérèse fonda, en effet, de nombreux monastères et sa pratique constante était de les dédier à Joseph, son saint protecteur; elle les mettait sous sa garde, elle y implantait son culte et elle faisait placer au-dessus d’une des portes la statue du glorieux patriarche. Saint Joseph, en échange, lui faisait ressentir les effets de son bienveillant patronage.

C’est dans ce contexte particulier que vont être exprimées les vérités les plus fondamentales et les plus décisives au sujet du grand mystère de saint Joseph, avec quelques paroles essentielles, à commencer par celles de Jean-Jacques Olier (1608-1657), curé de la paroisse de Saint-Sulpice de 1642 à 1652 et fondateur des Sulpiciens…

SOURCE

Voir les commentaires

Joseph, modèle de vie si important pour notre temps

15 Octobre 2021, 08:12am

Publié par Véronique

Joseph, modèle de vie si important pour notre temps

Joseph apparaît, dans notre monde particulièrement déboussolé, comme le modèle d'une vie belle, féconde et réussie, c’est-à-dire d’une vie ordonnée, solide, utile...

 

Une vie ordonnée car :

  • toujours sous le regard de Dieu « premier servi », en recherche constante de son amitié,
  • au service de Jésus et Marie, entièrement consacré à eux, modèle et premier des laïcs consacrés,
  • insensible aux vanités du monde, à ses bruits, à ses mirages et aux illusions qu’il engendre. 

Une vie solide car :

  • structurée par l'exercice d'une paternité claire, exercée au nom du Père éternel, dans l’amour et la conduite de la famille, dans la fidélité et le respect de l’ordre naturel, loin des folies du monde actuel,
  • nourrie dans le silence par une intériorité profonde, qui donne force, lumière et prudence, en ouvrant le cœur à la contemplation de Dieu et de ses œuvres, loin du bruit, de l’agitation et de la superficialité du monde, 
  • fondée sur la réalité, les relations humaines, le primat de l’être, c’est-à-dire sur l'incarnation et non sur le virtuel, l’apparence, la technique, l’anonymat, le primat de l’action ou de la pensée spéculative.

Une vie utile car :

  • exerçant son autorité pour servir, par le travail, par l'attention aux autres, par la recherche de leur bien et de leur croissance, en étant artisan d’une authentique civilisation de l’amour, et non tourné vers un « moi » égoïste,
  • construisant ainsi un monde plus humain, plus fraternel, plus heureux, guéri de l'orgueil, de l'égoïsme, de l'impureté, et de la recherche effrénée du plaisir et de l'argent, 
  • bâtissant le Royaume de Dieu et s’ouvrant à l'éternité, sans se disperser dans l'illusion, le faux, le clinquant, et tout ce qui brille et qui passe. 

Quel est le mystère de Joseph ?
Son secret est d’être fondamentalement le reflet ou « l’ombre du Père éternel ».

Lui seul l'est !

Et c’est pour cela qu’il doit être pour nous et pour notre société un père et un repère essentiel. En contemplant sa beauté, sa grandeur, son mystère caché – qu’il est sans doute temps de mettre en lumière –, et en se mettant à son école, nous pourrons trouver le remède qu’il nous faut pour surmonter les travers de notre temps, fruits d’une modernité qui a perdu le sens de Dieu et du vrai bien de l’homme.

À l’occasion du 150e anniversaire de la proclamation de saint Joseph comme patron de l’Église universelle (8 décembre 1870), nous sommes invités à nous tourner vers cet immense saint encore trop méconnu, en qui certains mystiques voient « le saint du IIIe millénaire ».

Dieu lui a confié ses plus grands trésors : Jésus, Marie, l’Église et chacun de nous !…

Confions-nous donc en retour à Joseph pour « grandir en force et en sagesse devant Dieu et devant les hommes » (Lc 2,52), et faire face aux défis particuliers de notre siècle !

 

Voici à quoi nous sommes invités, en ce bel anniversaire !

SOURCE

Voir les commentaires

La transverbération de sainte Thérèse d’Avila

15 Octobre 2021, 08:04am

Publié par Véronique

© CC0 KMSKA - www.artinflanders.be - Hugo Maertens. L’extase de sainte Thérèse par Gerard Seghers

© CC0 KMSKA - www.artinflanders.be - Hugo Maertens. L’extase de sainte Thérèse par Gerard Seghers

Voici vingt-six ans que Thérèse d’Avila (1515-1582) est entrée au Carmel. Elle a 45 ans. Mystique exceptionnelle, elle vit en permanence sous le regard de Dieu.

Tandis qu’elle séjourne au palais de son amie Doňa Guiomar à Avila (Espagne), elle tombe en extase et reçoit une vision ‘intérieure’ qui la marque à jamais et dont elle fera le récit :

« J’apercevais près de moi, du côté gauche, un ange sous une forme corporelle […]. Je voyais dans les mains de cet ange un long dard qui était d’or, et dont la pointe en fer avait à l’extrémité un peu de feu. De temps en temps, il le plongeait […] au travers de mon cœur, et l’enfonçait jusqu’aux entrailles ; en le retirant, il paraissait me les emporter avec ce dard et me laissait toute embrasée d’amour de Dieu. […] Ce n’était pas une souffrance corporelle, mais toute spirituelle, quoique le corps ne laisse pas d’y participer un peu, et même à un haut degré. […] Les jours où je me trouvais dans cet état, j’étais comme hors de moi ; j’aurais voulu […] m’absorber délicieusement dans ma peine, que je considérais comme une gloire bien supérieure à toutes les gloires créées. »

C’est la transverbération (du latin transverberare, transpercer) dont le déroulement est cité mot à mot par le pape Grégoire XV en 1622 dans la bulle de canonisation de Thérèse.

À la suite de ce prodige, Thérèse débute la réforme de son ordre en accomplissant un périple de 7000 km à travers l’Espagne, la majeure partie du temps, à dos d’âne !

Après son décès, une autopsie révèle la présence d’une blessure visible dans la région du cœur. Aucune explication scientifique n’a jamais expliqué ce fait.

En 1726, le pape Benoît XIII établit la fête de la transverbération du cœur de sainte Thérèse (Docteur de l’Eglise depuis 1970), fixée le 26 août.

L'équipe Marie de Nazareth

Source : d’après Thérèse d’Avila, Oeuvres complètes, Cerf, coll. ‘Carmel’, 1995, 2 t.

Voir les commentaires

Cardinal Robert Sarah - Avenir de l'Eglise en Europe (à Draguignan, le 18 sept 2021)

14 Octobre 2021, 17:07pm

Publié par Véronique

500 ans de Notre-Dame du Peuple à Draguignan

Donnez pour la Restauration : https://don.frejustoulon.fr/projet/no...

00:00 Introduction

4:19 Crise spirituelle de la foi

7:14 Remplacement de la mission fondamentale de l’Église

8:23 Rejet de Dieu des consciences

13:51 Crise inédite du sacerdoce

16:33 Démolition de la famille -décadence- homosexualité-avortement-pornographie-euthanasie

17:52 Progrès au profit du mal

24:06 Idéologie du genre : révolte contre Dieu

33:44 Refus de la paternité VS profit à tout prix

38:10 Transhumanisme

39:30 L'homme est fait pour l'éternité

45:50 Sortie de crise : redécouvrir Dieu

Voir les commentaires

La prière du « Notre Père »

14 Octobre 2021, 15:37pm

Publié par Véronique

La prière du « Notre Père » c’est la vie. Cette prière est indispensable et est féconde pour notre vie humaine et spirituelle où elles y puisent ce dont elles ont besoin.

Unie au Père, l’âme est ravie dans l’amour paternel qu’Il lui témoigne et dont Il la rempli. C’est si paisible, si généreux, si nourrissant à la fois. Le cœur a du mal à contenir de si grandes et abondantes grâces car il paraît si petit face à cette immensité d'amour.

Comment peut-on vivre sans le Père si ce n’est de ne pas Le connaître ?

Véronique (13/10/2021)

Voir les commentaires

Sainte Thérèse et la mission

14 Octobre 2021, 15:22pm

Publié par Véronique

Cette grande sainte et docteur de l'Église a été déclarée patronne des missions, elle qui ne quittait pas son carmel de Lisieux, mais correspondait avec plusieurs missionnaires dont elle était la marraine.

La rédaction de KTO évoque sur les lieux cette immense et inspirante figure pour les missionnaires mobiles et immobiles de tous temps.

Voir les commentaires