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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

calendrier des fetes et obligations

Lundi 24 septembre 2012 : Notre-Dame de la Merci.

24 Septembre 2012, 07:00am

Publié par Véronique

 

Notre-Dame de la Merci

       Parmi les ordres religieux qui furent fondés sous le patronage de la Reine des Anges, un des plus illustres a été celui de Notre-Dame de la Merci. La Vierge manifesta sa volonté de voir cet ordre s'établir, en apparaissant à saint Pierre Nolasque, à saint Raymond de Pennafort et à Jacques Ier, roi d'Aragon. Au commencement du XIIIe siècle, la plus grande partie de l'Espagne était sous le joug des Sarrasins, qui tenaient enfermés dans les cachots une multitude de chrétiens, dans le but de leur faire renier leur foi.

C'est pour mettre fin à cette calamité que Marie établit l'œuvre de la rédemption des captifs. Le 1er août 1218, la Reine du Ciel apparut à saint Pierre Nolasque, qui était alors en prière : « Mon fils, lui dit-elle, je suis la mère de Dieu ; je viens chercher des hommes qui veuillent, à l'exemple de mon Jésus, donner leur vie pour le salut et la liberté de leurs frères captifs. Je désire que l'on fonde en mon honneur un ordre de religieux dans ce but. Quand tu me priais avec larmes de porter remède aux souffrances des captifs, je présentais à mon Fils tes vœux ardents, et c'est Lui qui m'envoie vers toi. - Je crois d'une foi vive que vous êtes la Mère du Dieu vivant et que vous m'apparaissez pour le soulagement des pauvres chrétiens esclaves ; mais qui suis-je, moi, pour accomplir cette œuvre ? - Ne crains rien, je serai avec toi, et bientôt s'accomplira ce que je demande. »

Le lendemain, Pierre Nolasque rendit compte de sa vision à Saint Raymond de Pennafort, son confesseur, qui lui dit : « J'ai eu la même vision que vous. » Le roi Jacques, les rencontrant dans la cathédrale, leur communiqua une vision semblable. Il n'y avait pas à hésiter. Quelques jours plus tard, l'œuvre commença, de par l'ordre et avec la protection du roi, qui désigna Pierre Nolasque pour être le chef de la nouvelle institution. L'évêque donna au fondateur l'habit blanc, avec le scapulaire qui, conformément aux instructions de la Sainte Vierge, devait être le costume des religieux de la Merci. Saint Pierre Nolasque fit alors le vœu solennel de se donner en otage aux Turcs, s'il était nécessaire, pour la rédemption des captifs chrétiens, vœu que tous ses religieux devaient faire également. En peu d'années, cet ordre, si conforme aux besoins de l'époque produisait des fruits admirables.

 

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14 septembre : Fête de la Croix Glorieuse.

14 Septembre 2012, 20:38pm

Publié par Véronique


LA CROIX GLORIEUSE
FÊTE
(627)

La vénération de la Sainte Croix, le 14 septembre, se rattache aux solennités de la dédicace de la basilique de la Résurrection, érigée sur le tombeau du Christ, en 335. Le Christ a offert sur la Croix son sacrifice pour l'expiation des péchés de la multitude ; la Croix est pour le peuple chrétien le signe de l'espérance du Royaume, que le peuple juif célèbre lors de la fête des Tentes. C'est dire de quelle lumière brille la Croix glorieuse de Jésus : objet de mépris, la Croix est devenue « notre fierté ». Si l'arbre planté au paradis originel a produit pour Adam un fruit de mort, l'arbre de la Croix a porté pour nous un fruit de vie, le Christ, « en qui nous avons le salut et la résurrection ».

Sous le règne de l'empereur Héraclius Ier, les Perses s'emparèrent de Jérusalem et y enlevèrent la principale partie de la vraie Croix de Notre-Seigneur, que sainte Hélène, mère de l'empereur Constantin, y avait laissée. Héraclius résolut de reconquérir cet objet précieux, nouvelle Arche d'alliance du nouveau peuple de Dieu. Avant de quitter Constantinople, il vint à l'église, les pieds chaussés de noir, en esprit de pénitence ; il se prosterna devant l'autel et pria Dieu de seconder son courage ; enfin il emporta avec lui une image miraculeuse du Sauveur, décidé à combattre avec elle jusqu'à la mort.

Le Ciel aida sensiblement le vaillant empereur, car son armée courut de victoire en victoire ; une des conditions du traité de paix fut la reddition de la Croix de Notre-Seigneur dans le même état où elle avait été prise. Héraclius, à son retour, fut reçu à Constantinople par les acclamations du peuple ; on alla au-devant de lui avec des rameaux d'oliviers et des flambeaux, et la vraie Croix fut honorée, à cette occasion, d'un magnifique triomphe.

L'empereur lui-même, en action de grâce, voulut retourner à Jérusalem ce bois sacré. Quand il fut arrivé dans la Cité Sainte, il chargea la relique précieuse sur ses épaules ; mais lorsqu'il fut à la porte qui mène au Calvaire, il lui fut impossible d'avancer, à son grand étonnement et à la stupéfaction de tout : « Prenez garde, ô empereur ! lui dit alors le patriarche Zacharie ; sans doute le vêtement impérial que vous portez n'est pas assez conforme à l'état pauvre et humilié de Jésus portant sa Croix. » Héraclius, touché de ces paroles, quitta ses ornements impériaux, ôta ses chaussures, et, vêtu en pauvre, il put gravir sans difficulté jusqu'au Calvaire et y déposer son glorieux fardeau.

Pour donner plus d'éclat à cette marche triomphale, Dieu permit que plusieurs miracles fussent opérés par la vertu de ce bois sacré. À la suite de ces événements fut instituée la fête de l'Exaltation de la Sainte Croix, pour en perpétuer le souvenir.



Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.

 

 

 

 

Saint Ephrem (v. 306-373), diacre en Syrie, docteur de l'Église
Homélie sur notre Seigneur (trad. bréviaire 3e ven. Pâques rev.)

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La croix, un pont jeté au-dessus de l'abîme de la mort

Notre Seigneur a été piétiné par la mort, mais, en retour, il a frayé un chemin qui écrase la mort. Il s'est soumis à la mort et il l'a subie volontairement pour la détruire malgré elle. Car, sur l'ordre de la mort, notre Seigneur « est sorti en portant sa croix » (Jn 19,17). Mais il a crié sur la croix et il a tiré les morts des enfers...

Il est le glorieux « fils du charpentier » (Mt 13,55) qui, sur le char de sa croix, est venu au-dessus de la gueule vorace du séjour des morts et a transféré le genre humain dans la demeure de la vie (Col 1,13). Et parce que, à cause de l'arbre du paradis, le genre humain était tombé dans le séjour des morts, c'est par l'arbre de la croix qu'il est passé dans la demeure de la vie. Sur ce bois-là avait été greffée l'amertume ; mais sur celui-ci la douceur a été greffée, pour que nous reconnaissions en lui le chef auquel ne résiste rien de ce qui a été créé.

Gloire à toi ! Tu as jeté ta croix comme un pont au-dessus de la mort, pour que les hommes y passent du pays de la mort à celui de la vie... Gloire à toi ! Tu as revêtu le corps d'Adam mortel et tu en as fait la source de la vie pour tous les mortels. Oui, tu vis ! Car tes bourreaux se sont comportés envers ta vie comme des semeurs : ils ont semé ta vie dans les profondeurs de la terre comme on sème le blé, pour qu'il lève lui-même et fasse lever avec lui beaucoup de grains (Jn 12,24).

Venez, faisons de notre amour comme un encensoir immense et universel ; prodiguons des cantiques et des prières à celui qui a fait de sa croix un encensoir à la Divinité et nous a tous comblés de richesses par son sang.

 

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6 août : Fête de la Transfiguration de Notre-Seigneur Jésus-Christ.

6 Août 2012, 07:00am

Publié par Véronique

LA TRANSFIGURATION DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS CHRIST
(Fête)

cate035c.jpgUn avant-goût du Royaume : La Transfiguration

À partir du jour où Pierre a confessé que Jésus est le Christ, le Fils du Dieu vivant, le Maître " commença de montrer à ses disciples qu'il lui fallait s'en aller à Jérusalem, y souffrir (...) être mis à mort et, le troisième jour, ressusciter " (Mt 16, 21) : Pierre refuse cette annonce (cf. Mt 16, 22-23), les autres ne la comprennent pas davantage (cf. Mt 17, 23 ; Lc 9, 45). C'est dans ce contexte que se situe l'épisode mystérieux de la Transfiguration de Jésus (cf. Mt 17, 1-8 par. ; 2 P 1, 16-18), sur une haute montagne, devant trois témoins choisis par lui : Pierre, Jacques et Jean. Le visage et les vêtements de Jésus deviennent fulgurants de lumière, Moïse et Élie apparaissent, lui " parlant de son départ qu'il allait accomplir à Jérusalem " (Lc 9, 31). Une nuée les couvre et une voix du ciel dit : " Celui-ci est mon Fils, mon Élu ; écoutez-le " (Lc 9, 35).

Pour un instant, Jésus montre sa gloire divine, confirmant ainsi la confession de Pierre. Il montre aussi que, pour " entrer dans sa gloire " (Lc 24, 26), il doit passer par la Croix à Jérusalem. Moïse et Élie avaient vu la gloire de Dieu sur la Montagne ; la Loi et les prophètes avaient annoncé les souffrances du Messie (cf. Lc 24, 27). La passion de Jésus est bien la volonté du Père : le Fils agit en Serviteur de Dieu (cf. Is 42, 1). La nuée indique la présence de l'Esprit Saint : " Toute la Trinité apparut : le Père dans la voix, le Fils dans l'homme, l'Esprit dans la nuée lumineuse " (S. Thomas d'A., s. th. 3, 45, 4, ad 2) :

Tu t'es transfiguré sur la montagne, et, autant qu'ils en étaient capables, tes disciples ont contemplé ta Gloire, Christ Dieu afin que lorsqu'ils Te verraient crucifié, ils comprennent que ta passion était volontaire et qu'ils annoncent au monde que Tu es vraiment le rayonnement du Père.
(Liturgie byzantine, Kontakion de la fête de la Transfiguration)

Au seuil de la vie publique : le Baptême ; au seuil de la Pâque : la Transfiguration. Par le Baptême de Jésus " fut manifesté le mystère de notre première régénération " : notre Baptême ; la Transfiguration " est le sacrement de la seconde régénération " : notre propre résurrection (S. Thomas d'A., s. th. 3, 45, 4, ad 2). Dès maintenant nous participons à la Résurrection du Seigneur par l'Esprit Saint qui agit dans les sacrements du Corps du Christ. La Transfiguration nous donne un avant-goût de la glorieuse venue du Christ " qui transfigurera notre corps de misère pour le conformer à son corps de gloire " (Ph 3, 21). Mais elle nous rappelle aussi qu'" il nous faut passer par bien des tribulations pour entrer dans le Royaume de Dieu " (Ac 14, 22) :

Cela Pierre ne l'avait pas encore compris quand il désirait vivre avec le Christ sur la montagne (cf. Lc 9, 33). Il t'a réservé cela, Pierre, pour après la mort. Mais maintenant il dit lui-même : Descend pour peiner sur la terre, pour servir sur la terre, pour être méprisé, crucifié sur la terre. La Vie descend pour se faire tuer ; le Pain descend pour avoir faim ; la Voie descend, pour se fatiguer en chemin ; la Source descend, pour avoir soif ; et tu refuses de peiner ? (S. Augustin, serm. 78, 6 : PL 38, 492-493)

Du Catéchisme de l'Église Catholique, § 554-556

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Samedi 4 août : fête de saint Jean-Marie Vianney (saint Curé d'Ars)

3 Août 2012, 17:18pm

Publié par Véronique

                     
Liens :
         
 
 
 
- Lalouvesc : ville où le saint curé d'Ars est allé prier sur la tombe de saint Jean-François Régis pour lui demander de l'aider à devenir prêtre : ici, ici,
 
         
         
         
- Quelques citations du saint curé d'Ars : ici, ici, ici
- Le saint curé d'Ars et le travail du dimanche : ici, ici, ici
- Ses sermons : ici (et autres textes), ici
 
 
 
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Samedi après le Sacré-Coeur de Jésus : Mémoire obligatoire du Coeur Immaculé de Marie

15 Juin 2012, 09:00am

Publié par Véronique

Article venant du site   Notre Dame des Neiges



La dévotion au Cœur Immaculé de Marie remonte au XVIIe siècle où Saint Jean Eudes la propagea en l'unissant à celle du Sacré-Cœur de Jésus. En 1805, Sa Sainteté Pie VII d'abord, et Pie IX ensuite, accordèrent à plusieurs églises une fête du "Cœur Très Pur de Marie" fixée au Dimanche dans l'Octave de l'Assomption. Le 13 juillet 1917, la Sainte Vierge apparaissait à Fatima pour déclarer que Dieu voulait établir la dévotion à Son Cœur Immaculé pour le salut du monde. Elle demanda aux chrétiens la pratique du premier samedi du mois par la communion réparatrice et la récitation du chapelet accompagnée de la méditation des mystères du Rosaire. Depuis, l'Eglise fête le Samedi suivant la Solennité du Sacré-Coeur de Jésus le Coeur Immaculé de Marie (mémoire obligatoire depuis 1996) :



 

« Cor Immaculatum Mariæ, ora pro nobis »

 


En créant la Très Sainte Vierge, la Trinité Sainte a pu contempler le ravissant spectacle d'un Cœur qui dès son premier battement n'aima que son Dieu, et L'aima à lui seul plus que tous les Anges et les Saints ensemble ne L'aimeront jamais. « Le Père, dit Saint Jean Eudes, a déployé Sa puissance pour former un Cœur de fille plein de respect et de fidélité envers son Créateur. Le Fils en fit un Cœur de Mère et l'Esprit-Saint en fit un Cœur d'épouse pour y célébrer Ses noces ineffables ». La gloire de la fille du Roi, disent les Livres Saints, est toute intérieure et cachée, autrement dit, elle est toute en Son Cœur. Là se trouvent toutes les perfections des Anges et des hommes, dans un tel degré d'excellence que rien n'y peut être comparé. Là se trouvent les perfections de Dieu même, aussi fidèlement retracées qu'elles peuvent l'être dans une simple créature. V
ouons donc un culte spécial de vénération et d'amour à ce Cœur magnanime, le plus noble, le plus généreux qui soit sorti des mains du Créateur. Supplions-le de nous apprendre à aimer Jésus, à souffrir pour Lui, à supporter avec amour et résignation les peines de la vie, les souffrances et les croix qu'il plaira à Dieu de nous envoyer. Recourons sans cesse à ce Cœur incomparable et nous expérimenterons infailliblement sa bénignité, sa mansuétude et son infinie tendresse.


 
 

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Vendredi 15 juin 2012 : Solennité du Sacré-Coeur de Jésus (Journée de prière pour la sanctification des prêtres)

15 Juin 2012, 07:00am

Publié par Véronique

Article venant du site   Notre Dame des Neiges



Introït de la Messe (Psaume 32) : « Cogitationes Cordis ejus in generatione et generationem, ut eruat a morte animas eorum et alat eos in fame » (Les pensées de Son Cœur demeurent d'âge en âge ; ainsi Il arrache leurs âmes à la mort et les nourrit pendant la famine).

 


L
’expression "Cœur de Jésus", entendue dans le sens contenu dans la divine Écriture, désigne le mystère même du Christ, c’est-à-dire la totalité de son être, ou le centre intime et essentiel de sa personne. Au cours des premiers temps, des Pères, des Docteurs, des Saints ont célébré l’amour de notre Rédempteur en Son Sacré-Cœur. La blessure ouverte au côté du Christ, ils l’ont appelée la source mystique de toutes les grâces. À partir du Moyen-Age, une piété plus affective envers la très sainte Humanité du Sauveur commença à toucher les fidèles, les âmes contemplatives pénétraient par cette plaie jusqu’au cœur lui-même, blessé par amour pour les hommes. Enfin, dans des temps plus proches de nous, et particulièrement à l’époque où des hérétiques, sous le prétexte d’une fausse piété, essayaient de détourner les chrétiens de la Très Sainte Eucharistie, on commença à rendre un culte public au Sacré-Cœur, surtout grâce à Saint Jean Eudes, qui, à juste titre, est appelé l’auteur du culte liturgique des Sacrés-Cœurs de Jésus et de Marie († 1680). Toutefois, pour établir pleinement et parfaitement le culte du Sacré-Cœur de Jésus et le propager dans le monde entier, Dieu lui-même se choisit pour instrument une humble vierge de l’ordre de la Visitation, Sainte Marguerite-Marie Alacoque. A celle-ci, brûlant d’amour dès son enfance envers le sacrement de l’Eucharistie, le Christ Seigneur apparut de nombreuses fois et daigna révéler les richesses et les désirs de Son Divin Cœur. La plus célèbre de ces apparitions est celle où Jésus se montra à elle pendant qu’elle était en prière devant l’Eucharistie (1675). Il lui montra Son Sacré-Cœur et Se plaignit de ce qu’en retour de Son immense charité, Il ne recevait que les opprobres des hommes ingrats. Il lui ordonna d’obtenir qu’une fête nouvelle soit instituée, le Vendredi après l’Octave de la Fête-Dieu, et qu’en cette fête son Cœur soit honoré dignement et les outrages que les pécheurs lui infligent dans Son Sacrement d’Amour soient expiés par de dignes hommages. Personne n’ignore quelles grandes et nombreuses difficultés la servante de Dieu rencontra pour accomplir les ordres du Christ. Mais, encouragée par le Seigneur Lui-même et puissamment aidée par les religieux, ses directeurs spirituels, qui avec une ardeur incroyable travaillèrent à la propagation de ce culte, elle ne cessa pas de s’acquitter fidèlement jusqu’à sa mort de la céleste mission qui lui avait été confiée. Enfin en l’an 1765, Sa Sainteté le Pape Clément XIII approuva l’Office et la Messe en l’honneur du Sacré-Cœur de Jésus et Pie IX étendit la fête à l’Église universelle en 1856.

Désormais, le culte du Sacré-Cœur, comme un fleuve débordant, en dépit de toutes les difficultés, se répandit dans le monde entier. Au début du siècle suivant, en annonçant le Jubilé, Léon XIII décida
que le genre humain tout entier serait consacré au Sacré-Cœur. Cette consécration, faite solennellement dans toutes les églises du monde catholique, développa considérablement cette dévotion et elle attira non seulement des peuples mais aussi des familles, qui se consacrent en grand nombre au Divin Cœur et se soumettent à cette domination royale. En dernier lieu, afin que la solennité de cette fête répondît plus pleinement à la dévotion si largement répandue dans le peuple chrétien, Sa Sainteté le Pape Pie XI éleva cette fête au rang de première classe (1928). En outre, afin de faire acte de réparation pour les droits violés du Christ Souverain Roi et Sauveur Très Aimant et de déplorer les péchés des peuples, il ordonna que chaque année à cette fête, une amende honorable soit récitée dans tous les sanctuaires du monde entier.
 
    


    

ANNEE B - TEXTES LITURGIQUES (Sacratissimi Cordis Iesu)


- Osée 11, 1-9 : Mon Cœur en Moi est bouleversé, toutes Mes entrailles frémissent

- Isaïe 12, 2 : Ivres de joie, vous puiserez les eaux aux sources du salut !

- Ephésiens 3, 8-19 : Le Christ habite en nos cœurs par la foi

- Jean 19, 31-37 : Le Cœur de Notre Seigneur transpercé sur la Croix

 


Introït de la Messe : "Cogitationes Cordis eius"

 



 

 

Liens : Chapelet du Sacré-Cœur Consécration du genre humain au Sacré-Coeur de Jésus (Iesu dulcissime Redemptor) Litanies du Sacré-Cœur de Jésus Vous qui avez soif, venez à Moi (Renouveau) + Neuvaine au Sacré-Cœur de Jésus (Padre Pio) + Neuvaine au Sacré-Coeur de Jésus (Saint Alphonse de Liguori) + Cantique : Cœur de Jésus, pardonnez à la France + La dévotion au Sacré-Cœur de Jésus (livret à télécharger) + Sacré-Cœur de Jésus, apprenez-moi le parfait oubli de moi-mêmeCœur Sacré de Jésus, broyé à cause de nos péchés, ayez pitié de nous ! + Encyclique de Sa Sainteté le Pape Pie IX "Miserentissimus Redemptor" pour les réparations du Sacré-Coeur de Jésus Encyclique de Sa Sainteté le Pape Pie XII "Haurietis Aquas in Gaudio" sur le Coeur de Jésus + Cantique : Pitié mon Dieu ! + Cantique : Cœur de Jésus, oh ! Sauve ma patrie ! + Cantique : Jésus, Jésus, doux et humble de cœur Promesses faîtes par Notre Seigneur Jésus-Christ à Sainte Marguerite Marie en faveur des personnes qui pratiquent la dévotion à son Sacré-Cœur + Prière de la communauté des Béatitudes + "Souvenez-vous" au Sacré-Coeur de Jésus + Le Sacré-Cœur, bref aperçu historique + Rituel de l'intronisation du Sacré-Cœur dans les foyers (indulgencié par Pie X et Benoît XV) + Acte de Réparation au Sacré-Cœur de Jésus (1) + Acte de Réparation au Sacré-Cœur de Jésus (2) + Acte de Réparation au Sacré-Cœur de Jésus (3) + Amende honorable au Sacré-Coeur de Jésus + Acte de Consécration au Sacré-Cœur de Jésus, par Sainte Marguerite-Marie Alacoque + Acte de Consécration au Sacré-Cœur Auctor beáte sǽculi (à Matines, 1962) Cor, arca legem cóntinens (à Laudes, 1962) + En ut supérba críminum (à Vêpres, 1962) + « Les deux Cœurs inséparables », par Mgr Luciano Alimandi

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Solennité du Corps et du Sang du Christ - Fête Dieu (dimanche 10 juin 2012)

9 Juin 2012, 19:10pm

Publié par Véronique

Article venant du site   Notre Dame des Neiges


L
a Solennité de la Fête-Dieu (appelée encore fête du Corpus Domini) est traditionnellement célébrée le jeudi qui suit le Dimanche de la Très Sainte Trinité, c'est-à-dire soixante jours après la grande Solennité de Pâques. 
En France, par un indult papal, elle est "reportée" (faute de jour férié) au Dimanche suivant pour permettre la participation de tous les fidèles. Cette fête comporte, en plus du Saint-Sacrifice de la Messe, la procession solennelle du Saint-Sacrement dans les rues des villes et des villages, aux chants d'hymnes et de cantiques (essentiellement de Saint Thomas d'Aquin). Introït de la Messe :  "Cibavit eos ex adipe frumenti, et de petra melle saturavit eos" (Le Seigneur les a nourris de la fleur du froment, alléluia ; il les a rassasiés du miel sorti de la pierre, alléluia, alléluia, alléluia) :

 

 

 


« Songe à quel honneur tu es élevé, à quelle table tu participes. Ce que les Anges voient en
tremblant, ce qu'ils n'osent contempler librement à cause de la Splendeur qui en rayonne,
nous en faisons notre nourriture : nous nous y unissons, 
et nous devenons avec
le Christ un seul corps et une seule chair. Il nous nourrit de Son propre sang et,
par tous les moyens, nous incorpore à Lui »
(Saint Jean Chrysostome)

 


 

En instituant cette fête le 8 septembre 1264 par le Pape Urbain IV, l’Eglise nous invite à adorer Jésus dans l'Eucharistie. Par Jésus VERITABLEMENT, REELLEMENT ET SUBSTANTIELLEMENT PRESENT, l’Hostie Sainte devient alors le Sacrement qui nourrit notre âme, le Sacrement indispensable pour nous conduire sur le chemin du Ciel ! Avant de remonter au Ciel, Jésus nous a promis de ne pas nous laisser seuls : « Et voici que Je suis avec vous, tous les jours jusqu'à la fin du monde ». (Matthieu 28, 20). Mais comment peut-Il rester avec nous alors qu'Il est remonté vers son Père ? La réalisation de cette promesse, c'est la Très Sainte Eucharistie, ce Trésor infiniment précieux. C'est là qu'Il reste véritablement, réellement et susbstantiellement présent parmi nous. La Présence Réelle de Jésus dans l'Eucharistie est une Vérité Fondamentale de la Foi catholique, que l'Eglise ne craint pas de réaffirmer au cours des siècles face aux assauts de l'Ennemi. On lui doit donc non seulement notre respect, notre culte et notre adoration. Adorer le Très Saint-Sacrement, c'est témoigner que nous reconnaissons, sous l'humble apparence du pain et du vin, le Verbe de Dieu fait Homme. Laissons maintenant Saint Thomas d'Aquin nous parler de ce Saint-Sacrement : « (...) Le Fils unique de Dieu, voulant nous rendre participants de Sa Divinité, assuma notre nature pour que, fait Homme, Il fasse dieux les hommes. Pour comble, Il fit servir à notre salut tout ce qu’Il nous emprunta. Son corps, en effet, Il L’offrit en hostie à Dieu le Père sur l’autel de la Croix pour notre réconciliation; Son sang, Il le répandit à la fois comme rançon de notre misérable servitude et comme bain purificateur de tous nos péchés. Et pour que demeure à jamais parmi nous la mémoire d’un tel bienfait, Il a laissé aux fidèles Son corps en nourriture et Son sang en breuvage sous les espèces du pain et du vin. O précieux et admirable festin, porteur de salut et rempli de toute suavité ! Que trouver de plus précieux ? Ce n’est plus la chair des taureaux et des boucs qui nous est présentée en nourriture comme dans l’ancienne loi, mais le Christ, vrai Dieu. Quoi de plus merveilleux que ce sacrement ? En Lui pain et vin sont changés substantiellement en corps et en sang du Christ au point que le Christ, Dieu et Homme parfait, soit contenu sous l’apparence d’un peu de pain et de vin. Alors le Christ est mangé par les fidèles sans être déchiré. Bien plus, après la fraction il demeure entier dans chaque fragment. Les accidents persistent sans leur substance pour donner lieu à la foi, tandis qu’invisiblement on consomme ce qu’on peut voir caché sous une autre apparence. Ainsi les sens, jugeant d’après les accidents qu’ils connaissent, sont à l’abri de l’erreur. Aucun sacrement ne possède plus d’effet salutaire car c’est lui qui remet les péchés, augmente les vertus et comble l’âme de l’abondance de tous les charismes de l’Esprit. On l’offre dans l’Église pour les vivants et les morts. Ainsi profite à tous ce qui a été institué pour le salut de tous. Personne enfin n’est capable d’exprimer adéquatement la suavité de ce sacrement où l’on goûte à sa source la douceur spirituelle et où l’on rappelle la mémoire de la charité incommensurable que le Christ a montrée dans Sa Passion. Aussi, pour fixer plus profondément dans les cœurs des fidèles l’abîme de cette charité, c’est à la dernière cène, au moment de passer de ce monde au Père, après avoir célébré la Pâque avec les disciples, qu’Il institua ce sacrement, mémorial perpétuel de Sa Passion, accomplissement des anciennes figures et miracle le plus grand de tous ceux qu’Il a faits. A ceux qui étaient attristés de Son absence, Il le laissa comme insigne consolation » (Sermon de Saint Thomas d’Aquin, Opuscule 57).

 

 



 

ANNEE B - TEXTES LITURGIQUES (SANCTISSIMI CORPORIS ET SANGUINIS CHRISTI)

 

- Exode 24, 3-8 : Conclusion solennelle de la première Alliance
- Psaume 116, 12 : Nous partageons la coupe du Salut en invoquant le Seigneur
- Hébreux 9, 11-15 : Le Christ nous purifie par Son propre Sang
- Marc 14, 12-16 ; 22-26 : L'Eucharistie, Sacrement de la Nouvelle Alliance

 

 

 

 

Liens : Séquence de la Messe (avant l'Alléluia) : Lauda Sion, Salvatorem + La Fête-Dieu, par Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus + DOCTRINE CATHOLIQUE : Canons sur le Très Saint Sacrement de l'Eucharistie + La Fête-Dieu sur "Prier en Famille" + Louanges Divines en réparations des blasphèmes (à réciter à la fin de la Bénédiction du Saint-Sacrement) + Voici le Corps et le Sang du Seigneur (Vidéo) + Hymne pour la Fête-Dieu + Panis Angelicus + O sacrum convivium ! + Panis Angelicus (2 vidéos exceptionnelles !)  + Tantum Ergo + O Salutaris Hostia + Pange Lingua (à Vêpres, 1962) + Verbum Supernum Prodien (à Laudes, 1962) + Sacris solemniis (à Matines, 1962) + Adoro te devote + Ave, Verum Corpus + Adoramus Te (Renouveau) + Seigneur Jésus, Tu es présent (Renouveau) + Jésus, Mon Dieu, je t'adore (Renouveau) + Qui regarde vers Lui (Renouveau) + Proternez-vous (Renouveau) + Litanies du Précieux Sang + Litanies du Saint-Sacrement  + Homélie de Benoît XVI en la Solennité de la Fête-Dieu (2005) + Homélie de Benoît XVI en la Solennité de la Fête-Dieu (2006) + Homélie de Benoît XVI en la Solennité de la Fête-Dieu (2007) + Homélie de Benoît XVI en la Solennité de la Fête-Dieu (2008) + Fête-Dieu : L'Eucharistie ouvre à l'universalité du Christ (Vidéo Année 2008) + « Manger cet aliment et boire cette boisson, c’est donc demeurer dans le Christ » (Saint Augustin) + "S'agenouiller devant l'Eucharistie, c'est professer sa liberté" (Benoît XVI) + Anima Christi (Prière) + Âme du Christ (Renouveau) + La Fête-Dieu, par Mgr Guérin

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Mois de Mai : mois de Marie.

1 Mai 2012, 08:29am

Publié par Véronique

Un jour que Sainte Gertrude demandait à Notre-Seigneur comment elle pourrait lui plaire, Il répondit par ces simples mots : « Honore ma Mère ». Que faisons-nous pour plaire à Jésus ? Avons-nous jusqu’à ce jour honoré sa mère ? Et si nous ne l’avons pas fait suffisamment, que devons-nous faire ? Je vous écrit cela parce que j’ai l’impression que l’on se dérange pas beaucoup pour suivre les exercices en son honneur.

Certes, il est louable quand, dans chaque foyer, on célèbre le mois de Marie en famille. Et l’on ne peut qu’approuver ce qui se fait parfois quand plusieurs familles se réunissent chez l’une d’entre elles pour réciter le chapelet ou faire une lecture spirituelle. Ainsi se forment des foyers de prière… Mais ne l’oublions pas, le foyer, le centre de la communauté chrétienne, c’est l’Eglise, la maison du Père où toute la communauté se rassemble pour en célébrer celle qui en est le cœur, la mère : Marie.

Le culte marial est essentiel au Christianisme. Ne considérons pas la dévotion à Marie comme une dévotion parmi tant d’autres dans l’Eglise. Si l’on est libre d’avoir un culte particulier pour tel ou tel saint, il n’en est pas de même pour le culte marial. Quel orgueil que celui qui prétend aller à Dieu sans passer par Marie. Jésus est venu à nous par Marie, Il veut que nous allions à Lui par elle. Quel est le plan éternel de Dieu ? Devant sa création profanée par le péché, afin de la faire remonter vers le Père, le Fils de Dieu s’est incarné. Il est entré dans la chair, dans l’humanité ; et la porte par laquelle il y est entré, c’est Marie. Remontant vers le Père, il entraine avec Lui la création divinisée, c’est son Ascension, c’est l’Assomption de Marie. L’Incarnation, c’est en vue de l’Assomption, le grand retour de l’humanité divinisée vers le Père. Le péché des anges, ce fut le refus de reconnaître l’Incarnation : le Verbe de Dieu prenant un corps humain dans le sein de Marie. Le péché de l’homme moderne, c’est le refus de l’Assomption. L’humanité n’a que faire de ce bonheur éternel qui l’attend au sein du Père. Il veut établir par le progrès un bonheur à son niveau sur terre, ne pas dépasser la terre.
Marie, par son rôle de médiatrice universelle et sa royauté maternelle
fait remonter le monde vers le Père. Les hommes ne seront sauvés que parce qu’ils auront été enfantés avec le Fils de Dieu en Marie pour être formés par elle à son image et remonter avec elle en son Assomption vers le Père. Ainsi Marie est intimement liée à Jésus dans le plan de Dieu.
Marie est notre Mère. C’est parce qu’elle est Mère qu’elle nous donne la vie. Dès le jour de l’Annonciation, le Seigneur lui a fait comprendre qu’elle serait en même temps que sa mère, mère de tous les rachetés. Elle a dit oui. Elle nous a enfantés et au calvaire elle nous a enfantés dans la douleur. Son rôle ne s’arrête pas là. Parce que Mère, Marie est éducatrice. Cette vie qu’elle nous a donnée, elle est chargée de la développer, elle continue constamment sa fonction maternelle.

Au ciel, Marie n’est pas à la retraite… Elle agit constamment. Mais pour profiter plus pleinement de son action maternelle, il faut, comme nous le demande le Seigneur pour entrer dans le royaume des cieux, être comme un petit enfant, nous mettre dans la plus complète dépendance que l’on puisse imaginer, celle du tout-petit. Alors elle pourra exercer en pleine liberté son action maternelle et déverser en nous les trésors d’Amour dont elle est la source. Nous devons comprendre pourquoi notre dévotion à Marie ne doit pas se contenter de pratiques. Certes, les pratiques sont nécessaires car elles expriment extérieurement les sentiments intérieurs. Le sentiment doit se traduire dans un acte sinon il tend à disparaître. C’est pourquoi le chapelet est si utile pour maintenir et développer l’union à Marie.
Don Marmion, ce grand maître spirituel du siècle dernier disait à ses disciples : « Je vous avoue que s’il m’arrivait de terminer ma journée sans avoir dit le chapelet, je serais mécontent de moi ». Si donc les prières et les pratiques sont nécessaires et en particulier le chapelet, avant tout que toute notre vie soit dans la dépendance de Marie notre mère. Que rien ne lui échappe, que nous la laissions faire, que tout en soit pour elle un appel à de nouvelles grâces de sanctification.

Prenons-la réellement pour mère comme saint Jean, le disciple bien-aimé, le modèle des âmes mariales. Recevons-la chez nous. Après que Jésus lui eut dit : « Voici ta mère », l’évangéliste ajoute : « Dès cette heure, le disciple l’a reçu chez lui ». Il lui donna ses biens, elle lui donna Jésus. Et il trouvera le Salut.

 

Paroles d'un abbé.

 

 

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1er mai : Fête de Saint Joseph, artisan.

1 Mai 2012, 08:25am

Publié par Véronique

Saint Joseph, artisan

Prière indulgenciée de Pie XII qui instaura la fête de Saint Joseph Artisan en 1955 :

Sja "O glorieux Patriarche saint Joseph, humble et juste artisan de Nazareth, qui avez donné à tous les chrétiens, mais spécialement à nous, l'exemple d'une vie parfaite dans le travail constant et dans l'admirable union à Marie et à Jésus, assistez-nous dans notre tâche quotidienne, afin que, nous aussi, artisans catholiques, nous puissions trouver en elle le moyen efficace de glorifier le Seigneur, de nous sanctifier et d'être utiles à la société dans laquelle nous vivons, idéals suprêmes de toutes nos actions.

Obtenez-nous du Seigneur, ô notre très aimé protecteur, humilité et simplicité de cœur, goût du travail et bienveillance envers ceux qui sont nos compagnons de labeur, conformité aux divines volontés dans les peines inévitables de cette vie et joie dans leur support, conscience de notre mission sociale particulière, et sentiment de notre responsabilité, esprit de discipline et de prière, docilité et respect à l'égard de nos supérieurs, fraternité envers les égaux, charité et indulgence pour nos subordonnés. Soyez avec nous dans nos moments de prospérité, quand tout nous invite à goûter honnêtement les fruits de nos fatigues ; mais soutenez-nous dans les heures de tristesse, alors que le ciel semble se fermer pour nous et que les instruments du travail eux-mêmes paraissent se rebeller dans nos mains.

Faites que, à votre exemple, nous tenions les yeux fixés sur notre Mère Marie, votre très douce épouse, qui, dans un coin de votre modeste atelier, filait silencieusement, laissant errer sur ses lèvres le plus gracieux sourire ; faites aussi que nous n'éloignions pas notre regard de Jésus, qui peinait à votre établi de menuisier, afin que nous puissions ainsi mener sur terre une vie pacifique et sainte, prélude de celle éternellement heureuse qui nous attend dans le ciel, durant les siècles des siècles.

Ainsi soit-il.

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La visite des mages, en cette fête de l'Epiphanie.

6 Janvier 2012, 15:24pm

Publié par Véronique

REGARD BIBLIQUE
La visite des mages

Diffusé le 03/01/2012 / Durée 5 mn

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A la crèche, les mages se prosternent à genou devant l'enfant Jésus pour lui rendre hommage. Ils le reconnaissent comme le Messie lui-même et l'adorent. Ils lui ont apporté des cadeaux précieux : de l'or car il est le roi de tous les hommes, de l'encens pour signifier que Jésus est Dieu lui-même et de la myrrhe, un parfum précieux pour embaumer les morts, signe de l'humanité de Jésus. D'âges et d'origine différents, les mages représentent tous les peuples de la terre pour qui Jésus se manifeste comme Sauveur.

 

Messe de l'Epiphanie de Rome ce vendredi 6 janvier 2012 << ici >>

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