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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

La Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ - à lire, à méditer (19/22

9 Avril 2009, 11:17am

Publié par Véronique (Lala)

Vois ce qu'Il a fait pour toi, pour moi, pour nous tous.


Les prodiges qui suivent la mort de Jésus  -  Les Saintes femmes

 

 

Saint Matthieu 27, 51-56

 

Après la mort de Jésus

Et voici que le voile du sanctuaire se déchire en deux de haut en bas, la terre tremble, les pierres se fendent, les tombeaux s’ouvrent, et bien des corps se relèvent, des personnes saintes qui reposaient en paix. Oui, après sa Résurrection elles sortirent des tombeaux, entrèrent dans la ville sainte et apparurent à plusieurs personnes.

À la suite de ce tremblement de terre, le capitaine et les autres qui gardaient Jésus avec lui furent remplis de crainte, voyant tout ce qui arrivait. Ils disaient : « Vraiment celui-ci était fils de Dieu. »

Un groupe de femmes se trouvait sur place à quelque distance. Elles avaient accompagné Jésus depuis la Galilée pour le servir et elles suivaient tout ; parmi elles se trouvaient Marie de Magdala, Marie mère de Jacques et Joseph, et la mère des fils de Zébédée.

  

Saint Marc  15, 38-41

Le rideau du Sanctuaire se déchira en deux, du haut en bas, et au même moment, voyant comment Jésus était mort, l’officier romain qui se tenait en face de lui déclara : « En vérité cet homme était fils de Dieu. »

Un groupe de femmes regardait à distance ; parmi elles se trouvaient Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques le petit et de Joset, et Salomé, qui le suivaient et l’assistaient quand il était en Galilée. Avec elles il y en avait d’autres qui étaient montées avec lui à Jérusalem.

  

Saint Luc 23, 45-49

au même moment le rideau du sanctuaire se déchirait par le milieu. Alors Jésus cria d’une voix forte : « Père, entre tes mains je remets mon esprit. » Ayant dit cela, il rendit le dernier soupir.

Quand le capitaine de service vit ce qui venait d’arriver, il rendit gloire à Dieu : « En vérité, dit-il, cet homme était un juste. » De même, à la vue de tout ce qui arrivait, la foule de ceux qui étaient venus pour voir s’en retournait en se frappant la poitrine. À quelque distance restaient les gens de connaissance, en particulier les femmes qui avaient accompagné Jésus depuis la Galilée et qui regardaient tout cela.

 

 

 

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La Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ - à lire, à méditer (18/22)

9 Avril 2009, 11:14am

Publié par Véronique (Lala)

Vois ce qu'Il a fait pour toi, pour moi, pour nous tous.


Notre-Seigneur Jésus-Christ en Croix

 

 

Saint Matthieu 27, 35-50

Alors ils le mirent en croix, puis ils tirèrent au sort pour se partager ses vêtements et ils restèrent là assis pour le garder.  Au-dessus de sa tête, on avait écrit le motif de sa condamnation : « C’est Jésus, le roi des Juifs ! »  On avait aussi crucifié avec lui deux bandits, l’un à sa droite et l’autre à sa gauche.

Ceux qui passaient l’insultaient. Ils hochaient la tête et disaient : « C’est toi qui détruis le Temple et le rebâtis en trois jours ! Sauve-toi donc, puisque tu es fils de Dieu, descends de ta croix ! »

Les chefs des prêtres le ridiculisaient de la même façon, tout comme les maîtres de la Loi et les Anciens. Ils disaient : « Il a sauvé les autres, mais il ne se sauvera pas lui-même ! Voilà bien le roi d’Israël ! Qu’il descende maintenant de la croix et nous croirons en lui. Il a mis sa confiance en Dieu, que Dieu maintenant le délivre s’il l’aime. Car il disait : Je suis le fils de Dieu. »

Et de la même façon les bandits crucifiés avec lui l’insultaient.

Tout le pays fut dans l’obscurité depuis midi jusqu’au milieu de l’après-midi. On était à la neuvième heure du jour lorsque Jésus s’écria d’une voix forte : « Éli, Éli, lema sabacthani ? » ; ce qui veut dire : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »

En l’entendant, plusieurs de ceux qui étaient présents firent cette réflexion : « Le voici qui appelle Élie ! » L’un d’eux courut prendre une éponge, la trempa dans du vin acidulé et l’attacha à un roseau pour le faire boire. Mais les autres lui disaient : « Laisse donc, voyons si Élie vient le sauver. »

De nouveau Jésus poussa un grand cri et il rendit l’esprit.

  

 

Saint Marc 15, 25-37

On était au milieu de la matinée quand ils le crucifièrent.

Une inscription mentionnait le motif de sa condamnation : « Le roi des Juifs. » Avec lui on avait crucifié deux brigands, l’un à sa droite et l’autre à sa gauche. Ainsi s’accomplissait l’Écriture qui dit : Il a été compté parmi les malfaiteurs.

Ceux qui passaient l’insultaient. Ils hochaient la tête et disaient : « Eh ! Toi qui détruis le Temple et le rebâtis en trois jours, sauve-toi toi-même, descends de la croix ! » De même les chefs des prêtres et les maîtres de la Loi ricanaient entre eux : « Il en a sauvé d’autres, mais il ne se sauvera pas lui-même. Que le Messie, le roi d’Israël, descende maintenant de la croix : alors nous verrons et nous croirons. » Même ceux qu’on avait crucifiés avec lui l’insultaient.

Il était environ midi, mais ce fut l’obscurité dans tout le pays jusqu’au milieu de l’après-midi. On était à la neuvième heure du jour lorsque Jésus s’écria d’une voix forte : « Élôï, Élôï, lama sabacthani ? » Ce qui veut dire : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »

En l’entendant, plusieurs de ceux qui étaient présents firent cette réflexion : « Voilà qu’il appelle Élie ! » Quelqu’un courut, remplit une éponge de vinaigre, et la fixa à un roseau pour lui donner à boire ; il disait : « Attendons, Élie viendra peut-être pour le faire descendre. »

C’est alors que Jésus poussa un grand cri et rendit le dernier soupir.

  

 

Saint Luc 23, 33-46

et quand on arriva au lieu-dit du Crâne, on le mit en croix ainsi que les malfaiteurs, l’un à sa droite et l’autre à sa gauche. (Jésus disait : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font. ») Puis ils se partagèrent ses vêtements en les jouant aux dés.

Le peuple restait à regarder. Quant aux chefs, ils ricanaient en disant : « Il en a sauvé d’autres, qu’il se sauve lui-même s’il est le Messie de Dieu, l’Élu. » Les soldats aussi le tournèrent en ridicule lorsqu’ils s’approchèrent pour lui présenter du vin acidulé ; ils lui disaient : « Sauve-toi toi-même, si tu es le roi des Juifs. »   Car au-dessus de lui on avait placé un écriteau : « Le roi des Juifs. »

Un des malfaiteurs crucifiés l’insultait : « N’es-tu pas le Messie ? Sauve-toi toi-même et nous avec toi. » Mais l’autre le reprit sévèrement : « N’as-tu donc pas la crainte de Dieu, toi qui subis la même condamnation ? Pour nous c’est justice : nous payons ce que nous avons fait ; mais lui, il n’a commis aucun crime. »  Puis il dit : « Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton Royaume. »  Jésus lui répondit : « En vérité, je te le dis, aujourd’hui même tu seras avec moi dans le paradis. »

Il était environ midi, mais le soleil disparut et ce fut l’obscurité dans tout le pays jusqu’à trois heures ;  au même moment le rideau du sanctuaire se déchirait par le milieu. Alors Jésus cria d’une voix forte : « Père, entre tes mains je remets mon esprit. » Ayant dit cela, il rendit le dernier soupir.

 

 

Saint Jean 19, 18-30

Là on le mit en croix, et avec lui deux autres, un de chaque côté : Jésus était au milieu. Pilate avait fait écrire la sentence et elle était affichée sur la croix. Il était écrit : Jésus le Nazôréen, le roi des Juifs.

Beaucoup de Juifs lurent cet écriteau car l’endroit où Jésus avait été crucifié était tout proche de la ville. Et c’était écrit en hébreu, en latin et en grec. Les chefs des prêtres des Juifs protestèrent auprès de Pilate : « N’écris pas : Le roi des Juifs. Mets : Il a dit qu’il était le roi des Juifs. » Pilate leur répondit : « Ce que j’ai écrit, est écrit. »

Quand les soldats mirent Jésus en croix, ils prirent ses vêtements et en firent quatre parts, une pour chaque soldat. Il y avait aussi la tunique ; elle était sans couture, tissée d’une pièce de haut en bas.  Ils se dirent donc entre eux : « Ne la déchirons pas : tirons-la au sort. » Ainsi devait s’accomplir l’Écriture ; il y est dit en effet : Ils se sont partagé mes vêtements ; ils ont tiré au sort ma tunique. C’est bien ce que firent les soldats.

Debout près de la croix de Jésus, se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie femme de Clopas, et Marie de Magdala. Jésus vit la Mère et auprès d’elle le disciple qu’il aimait. Il dit à la Mère : « Femme, voici ton fils. » Ensuite il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de ce moment le disciple la reçut chez lui.

Avec cela, Jésus voyait que tout était accompli. Mais une parole de l’Écriture devait encore s’accomplir. Jésus dit : « J’ai soif. » Il y avait là un vase plein de vin fermenté et quelqu’un y plongea une éponge, la mit au bout d’une branche d’hysope et la porta à sa bouche. Jésus prit ce vin fermenté et alors il dit : « Tout est accompli. » Il inclina la tête et il remit l’esprit.

 


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La Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ - à lire, à méditer (17/22)

8 Avril 2009, 10:59am

Publié par Véronique (Lala)

Vois ce qu'Il a fait pour toi, pour moi, pour nous tous.


Le chemin vers le Calvaire

 

Saint Matthieu 27, 32-34

Juste en sortant, ils trouvèrent un certain Simon, qui était de Cyrène, et ils l’obligèrent à porter sa croix. Ils vinrent ainsi à l’endroit qu’on appelle Golgotha, c’est-à-dire le Crâne. Là ils lui donnèrent à boire du vin mêlé de fiel. Jésus le goûta mais ne voulut pas en boire.

 

  

Saint Marc 15, 21-23

Pour porter sa croix, les soldats réquisitionnèrent un homme qui passait par là en revenant des champs : c’était Simon de Cyrène, le père d’Alexandre et de Rufus.

Ils conduisirent Jésus à l’endroit qu’on appelle Golgotha (ce qui veut dire lieu du Crâne). Arrivés là, ils lui donnèrent un mélange de vin et de myrrhe mais Jésus ne voulut pas en prendre.

 

 

Saint Luc 23, 26-33

Comme ils l’emmenaient, ils arrêtèrent un certain Simon de Cyrène qui revenait des champs, et lui firent porter la croix derrière Jésus.

Des gens du peuple en foule nombreuse le suivaient ; les femmes se lamentaient et pleuraient sur lui.  Jésus se retourna vers elles et leur dit : « Filles de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi ! Pleurez plutôt sur vous-mêmes et sur vos enfants, car les jours viennent où l’on dira : Heureuses les femmes stériles, heureuses celles qui n’ont pas mis au monde et n’ont pas allaité ! On en viendra à dire aux montagnes : Tombez sur nous ! et aux collines : Couvrez-nous ! Car si l’on traite ainsi l’arbre vert, que fera-t-on de l’arbre sec ? »

On emmenait également deux malfaiteurs pour être exécutés avec lui, et quand on arriva au lieu-dit du Crâne, on le mit en croix ainsi que les malfaiteurs, l’un à sa droite et l’autre à sa gauche.

 

 

Saint Jean 19, 17

et lui-même portait sa croix ; il sortit et gagna l’endroit qu’on appelle le Crâne (en hébreu cela se dit Golgotha).

 

 

 

 

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La Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ - à lire, à méditer (16/22)

8 Avril 2009, 10:58am

Publié par Véronique (Lala)

Vois ce qu'Il a fait pour toi, pour moi, pour nous tous.


Notre-Seigneur condamné à mort

 

Saint Matthieu 27, 24-25, 31

Pilate voyait qu’il ne gagnait rien et que l’agitation allait en augmentant ; il se fit apporter de l’eau et se lava les mains devant la foule en disant : « Je ne suis pas responsable de ce sang, vous en répondrez ! » Et tout le peuple dit : « Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! »

 

Lorsqu’on eut fini de se moquer de lui, on lui enleva le manteau de soldat et on lui remit ses vêtements. Puis on l’emmena pour le crucifier.

 

 

Saint Marc  15, 20

Quand ils se sont bien moqués de lui, ils lui enlèvent le manteau rouge, lui remettent ses vêtements et le conduisent dehors pour le crucifier.

 

  

Saint Jean 19, 12-16

Dès ce moment Pilate cherchait à relâcher Jésus, mais les Juifs criaient : « Si tu le relâches, tu n’es pas l’ami du César. Ceux qui se proclament roi se rebellent contre le César. »

Quand Pilate entendit ces paroles, il leur amena Jésus dehors et le fit asseoir au tribunal à cet endroit qu’on appelle Lithostrotos (en hébreu on dit Gabbatha).  C’était le jour de la Préparation de la Pâque et il était environ midi. Pilate dit aux Juifs : « Voici votre roi. »  Mais eux criaient : « À mort ! À mort ! Crucifie-le ! » Pilate leur dit : « C’est votre roi que je dois mettre en croix ? » Et les chefs des prêtres répondirent : « Nous n’avons pas d’autre roi que le César ! »

Alors Pilate leur livra Jésus pour être crucifié.

 

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La Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ - à lire, à méditer (15/22)

8 Avril 2009, 10:56am

Publié par Véronique (Lala)

Vois ce qu'Il a fait pour toi, pour moi, pour nous tous.


Ecce Homo 

 

Saint Marc 15, 16-19

 Les soldats emmènent donc Jésus à l’intérieur de la cour de garde et rassemblent tout le bataillon.  Ils le couvrent d’un manteau rouge de l’armée et lui mettent une couronne qu’ils ont tressée avec des épines. Puis ils se mettent à le saluer : « Salut, roi des Juifs ! » Ils lui frappent la tête avec un roseau, ils crachent sur lui et lui font de grandes salutations en pliant le genou devant lui.

 

  

Saint Jean 19, 4-11

Pilate sortit de nouveau pour dire aux Juifs : « Je vais vous l’amener dehors, mais sachez bien que je ne trouve rien à condamner chez lui. » Jésus sortit donc à l’extérieur avec la couronne d’épines et le manteau de pourpre, et Pilate leur dit : « Voici l’homme ! »

Mais dès qu’ils le voient, les chefs des prêtres se mettent à crier avec leurs policiers : « Mets-le en croix ! Mets-le en croix ! » Pilate leur dit : « Prenez-le vous-mêmes et mettez-le en croix, car moi, je ne lui trouve rien à condamner. » Les Juifs lui répondent : « Nous avons une Loi, et d’après la Loi il doit mourir, car il s’est proclamé Fils de Dieu. »

Lorsque Pilate entend cela, ses craintes augmentent. Il rentre dans le palais et dit à Jésus : « D’où es-tu ? » Mais Jésus ne lui répond pas. Pilate lui dit alors : « Tu ne veux pas me parler ? Ne sais-tu pas que je peux te relâcher et que je peux aussi te faire mettre en croix ? » Jésus lui répond : « Tu n’aurais aucun pouvoir sur moi si tu ne l’avais pas reçu d’en haut. Pour la même raison, celui qui m’a livré entre tes mains porte un plus grand péché que toi. »

 

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La Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ - à lire, à méditer (14/22)

8 Avril 2009, 10:54am

Publié par Véronique (Lala)

Vois ce qu'Il a fait pour toi, pour moi, pour nous tous.


La Flagellation et le Couronnement d’épines de Notre-Seigneur

 

 

Saint Matthieu 27, 26-30

 Donc Pilate leur libère Barabbas et il fait flageller Jésus avant de le remettre à ceux qui vont le crucifier.

Les soldats du gouverneur prennent Jésus avec eux dans la cour de garde, et ils appellent autour de lui tout le bataillon. Ils lui enlèvent ses habits et le couvrent d’un manteau rouge de l’armée, puis ils tressent avec des épines une couronne qu’ils lui mettent sur la tête, avec un roseau dans la main droite. Ensuite ils se mettent à genoux devant lui et ils le frappent en disant : « Salut, roi des Juifs ! »  Ils lui crachent dessus, prennent le roseau et frappent sur sa tête.

 

 

Saint Marc 15, 15-19

Pilate leur relâcha donc Barabbas, car il lui fallait contenter la foule ; puis il fit flageller Jésus et le livra à ceux qui allaient le crucifier.

Les soldats emmènent donc Jésus à l’intérieur de la cour de garde et rassemblent tout le bataillon.  Ils le couvrent d’un manteau rouge de l’armée et lui mettent une couronne qu’ils ont tressée avec des épines. Puis ils se mettent à le saluer : « Salut, roi des Juifs ! » Ils lui frappent la tête avec un roseau, ils crachent sur lui et lui font de grandes salutations en pliant le genou devant lui.

 

 

Saint Luc 23, 24-25

À la fin Pilate décida de satisfaire leur demande : il relâcha celui qu’on avait jeté en prison pour émeute et meurtre, celui qu’ils réclamaient, et il sacrifia Jésus à leur bon plaisir.

 

 

Saint Jean 19, 1-3

C’est alors que Pilate ordonne de prendre Jésus et de le flageller. Les soldats tressent une couronne avec des épines et la lui mettent sur la tête ; ensuite ils lui jettent sur les épaules un manteau rouge, couleur royale, et ils commencent à se présenter devant lui en disant : « Salut, roi des Juifs ! » Et ils lui donnent des gifles.

 

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La Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ - à lire, à méditer (13/22)

7 Avril 2009, 19:55pm

Publié par Véronique (Lala)

Vois ce qu'Il a fait pour toi, pour moi, pour nous tous.


Barabbas   (Le parallèle entre Jésus et Barrabas  << ici >>)     

 

Saint Matthieu 27, 15-23, 26

 Chaque année, pour la Fête, c’était la coutume que le gouverneur relâche un prisonnier, celui que le peuple lui réclamait. Or ils avaient à ce moment un prisonnier fameux, le nommé Barabbas.

Comme ils étaient là rassemblés, Pilate leur dit : « Qui voulez-vous que je vous relâche, Barabbas, ou Jésus qu’on appelle le Messie ? »  Car Pilate savait bien qu’on lui avait livré Jésus pour des questions de rivalité.

Comme Pilate siégeait à son tribunal, sa femme lui fit dire : « Ne lui fais rien ; c’est un homme droit et j’ai eu cette nuit à cause de lui un rêve qui m’a fait beaucoup souffrir. »

Pour leur part, les chefs des prêtres et les Anciens surent amener la foule à réclamer Barabbas et à faire périr Jésus. Aussi, quand Pilate leur demanda : « Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche ? » ils répondirent : « Barabbas ! »  Pilate leur dit : « Et que dois-je faire de Jésus qu’on appelle le Messie ? » Tous répondirent : « Qu’il soit mis en croix ! »  Il demanda : « Qu’a-t-il fait de mal ? » Mais ils ne firent que crier plus fort : « Qu’il soit mis en croix ! »

 

 

Donc Pilate leur libère Barabbas et il fait flageller Jésus avant de le remettre à ceux qui vont le crucifier.

 

 

Saint Marc 15, 6-15

Chaque année, pour la fête, Pilate leur relâchait un prisonnier, celui qu’ils réclamaient. Or il y avait un certain Barabbas qui était dans les chaînes avec ses complices : ils avaient commis un meurtre au cours d’une émeute. La foule vint donc réclamer ce qu’il leur accordait d’habitude.

Pilate leur répondit : « Voulez-vous que je vous relâche le roi des Juifs ? » Il savait bien en effet, que c’étaient les chefs des prêtres qui le livraient par jalousie. Mais les chefs des prêtres manœuvrèrent la foule et elle demanda que Pilate relâche plutôt Barabbas.

Pilate leur adressa de nouveau la parole : « Que vais-je donc faire de celui que vous appelez le Roi des Juifs ? » Ils crièrent : « Mets-le en croix ! »  Pilate insista : « Qu’a-t-il donc fait de mal ? » Mais ils crièrent de plus belle : « Mets-le en croix ! »

Pilate leur relâcha donc Barabbas, car il lui fallait contenter la foule ; puis il fit flageller Jésus et le livra à ceux qui allaient le crucifier.

 

 

Saint Luc 23, 13-25

Pilate fit convoquer les grands prêtres, les chefs et le peuple ; il leur dit : « Vous me l’avez présenté comme un meneur subversif, mais quand je l’ai interrogé devant vous, je ne lui ai trouvé aucun des délits dont vous l’accusez. Hérode non plus : voyez comment il nous le renvoie. Il est clair qu’il n’a rien commis qui mérite la mort, aussi, après l’avoir corrigé, je le relâcherai. »

Car Pilate devait relâcher un prisonnier à l’occasion de la Pâque.

Mais toute la foule se met à crier : « Supprime-le ; c’est Barabbas que tu dois nous relâcher. »  Ce dernier avait été jeté en prison à la suite d’une émeute et d’un meurtre commis dans la ville même.

Pilate leur adressa encore une fois la parole, car il voulait relâcher Jésus, mais les cris devinrent plus forts : « Mets-le en croix, oui, en croix ! »

Une troisième fois Pilate leur dit : « Mais quel mal a-t-il donc fait ? Je ne trouve rien en lui pour une condamnation à mort. Je le corrigerai donc et je le relâcherai. »

Mais eux n’arrêtaient plus de demander à grands cris qu’on le mette en croix, et leur vacarme allait en croissant. À la fin Pilate décida de satisfaire leur demande : il relâcha celui qu’on avait jeté en prison pour émeute et meurtre, celui qu’ils réclamaient, et il sacrifia Jésus à leur bon plaisir.

 

 

 

Saint Jean 18, 39-40

D’ailleurs c’est une coutume chez vous que je vous relâche un prisonnier pour la fête de la Pâque. Si vous le voulez, je vais relâcher le roi des Juifs. » Mais de nouveau ce furent des cris : « Pas celui-ci ! Relâche Barabbas ! »

 

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La Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ - à lire, à méditer (12/22)

7 Avril 2009, 18:39pm

Publié par Véronique (Lala)

Vois ce qu'Il a fait pour toi, pour moi, pour nous tous.


Jésus devant Hérode

 

 

Saint Luc 23, 5-12

Mais ils insistèrent : « Il enseigne à travers tout le pays des Juifs et il soulève le peuple ; il a commencé en Galilée et il est venu jusqu’ici. »

Lorsque Pilate entend ces paroles, il demande si l’homme est galiléen. Il apprend que c’est un sujet d’Hérode, et aussitôt il le renvoie à Hérode qui se trouve lui aussi à Jérusalem durant ces jours.

 

Depuis longtemps Hérode désirait voir Jésus à cause de tout ce qu’on lui en disait. Il fut donc tout heureux de le voir car il espérait bien lui voir faire un miracle. Il lui posa beaucoup de questions. Mais Jésus ne répondit rien, alors qu’en face de lui les grands prêtres et les maîtres de la Loi multipliaient les accusations graves.

Hérode profita de lui pour amuser sa garde : ils lui passèrent un habit somptueux et le renvoyèrent ainsi à Pilate. Jusque là Hérode et Pilate étaient ennemis, mais à partir de ce jour ils devinrent amis.

 

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La Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ - à lire, à méditer (11/22)

7 Avril 2009, 18:36pm

Publié par Véronique (Lala)

Vois ce qu'Il a fait pour toi, pour moi, pour nous tous.



Jésus devant Pilate

 

 

Saint Matthieu 27, 2, 11-14

Après l’avoir lié, ils le conduisirent chez Pilate, le gouverneur, pour le lui livrer.

 

Jésus fut amené devant le gouverneur, et le gouverneur l’interrogea. Il lui dit : « Es-tu bien le roi des Juifs ? » Jésus répondit : « C’est toi qui le dis. » Les chefs des prêtres et les Anciens du peuple firent alors entendre leurs accusations, mais il ne répondit rien.

Pilate lui demanda : « Tu n’entends pas toutes ces accusations contre toi ? » Mais Jésus ne répondit absolument rien, de sorte que le gouverneur était fort étonné.

 

 

 

Saint Marc 15, 1-5

Dès le matin, les chefs des prêtres, les Anciens et les maîtres de la Loi, en un mot tout le Sanhédrin, se réunirent en conseil. Après avoir lié Jésus, ils l’emmenèrent et le livrèrent à Pilate.

Pilate l’interrogea : « Es-tu bien le roi des Juifs ? » Jésus lui répondit : « C’est toi qui le dis. » Les chefs des prêtres lançaient contre lui toutes sortes d’accusations, aussi Pilate l’interrogea-t-il de nouveau : « Tu ne réponds rien ? Regarde tout ce dont ils t’accusent ! » Mais Jésus ne répondait toujours rien, si bien que Pilate était déconcerté.

 

 

 

Saint Luc 23, 1-4

Alors toute l’assemblée se leva. Ils amenèrent Jésus devant Pilate et là ils commencèrent à l’accuser : « Nous avons établi que cet homme sème le désordre dans notre nation ; il interdit de payer l’impôt à César et se présente comme le roi-Messie. » Pilate alors lui posa la question : « Es-tu le roi des Juifs ? » Jésus lui répondit : « Tu le dis. »

Pilate déclara aux grands prêtres et à la foule : « Je ne trouve chez cet homme aucun motif de condamnation. »

 

 

 

Saint Jean 18, 28-38

On emmena donc Jésus de chez Caïphe au palais du gouverneur romain. C’était le matin. Les Juifs n’entrèrent pas car ce lieu les aurait souillés, et ils voulaient pouvoir manger la Pâque. Pilate sortit donc vers eux à l’extérieur et leur demanda : « De quoi accusez-vous cet homme ? »

Ils lui répondirent : « S’il ne faisait rien de mal, nous ne serions pas venus te l’amener. » Pilate leur dit : « Gardez-le donc, et jugez-le selon votre loi. » Les Juifs lui dirent : « Mais nous n’avons pas le droit de condamner quelqu’un à mort. »

C’est ainsi que devait se réaliser la parole de Jésus à propos du genre de supplice où il allait mourir.

Pilate rentre donc dans le palais. Il fait appeler Jésus et lui demande : « C’est toi le roi des Juifs ? »  Jésus répond : « Ce que tu me dis là, est-ce que tu le penses, ou est-ce que d’autres te l’ont dit de moi ? » Pilate dit alors : « Est-ce que je suis juif, par hasard ? C’est ton peuple, ce sont les chefs des prêtres qui t’amènent devant moi. Qu’as-tu fait ? »

Jésus répond : « Ma royauté n’est pas de ce monde. Si ma royauté était de ce monde, mes gens auraient combattu pour que je ne sois pas livré aux Juifs. Mais non, ma royauté n’est pas d’ici-bas. »  Alors Pilate lui dit : « Donc, tout de même, tu es roi ? » Jésus répond : « Tu dis bien : je suis roi. Je rends témoignage à la vérité, c’est pour cela que je suis né et que je suis venu dans le monde. Tous ceux qui sont pour la vérité écoutent ma voix. »

Alors Pilate lui dit : « Où est la vérité ? » Il sortit de nouveau vers les Juifs et leur dit : « Je ne trouve rien à condamner chez cet homme.

 




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MISERERE (Prière)

6 Avril 2009, 19:06pm

Publié par Véronique (Lala)

MISERERE

 

PSAUME •51 [50]

Seigneur, prends pitié. — Reconnaissons notre péché devant le Dieu de vérité. Notre humiliation sera accompagnée d’espoir, puisque nous savons que Dieu peut nous donner un cœur nouveau. 

 
 Au maître de chant. Psaume de David.  Quand le prophète Nathan est venu le trouver après qu’il fut allé vers Bethsabée.

 


Aie pitié de moi, ô Dieu, dans ta bonté,

dans ta grande tendresse efface mon péché.

Lave-moi complètement de ma faute,

purifie-moi de mon péché.

 

Car je connais mes actions mauvaises,

mon péché est devant moi sans relâche.

 Contre toi, toi seul, j’ai péché,

ce qui est mal à tes yeux je l’ai fait.

Ainsi tu es juste dans ta sentence,

nul ne peut te critiquer lorsque tu juges.

 

J’étais mauvais déjà à la naissance,

quand ma mère m’a conçu le péché était là.

Mais tu veux la vérité au cœur de l’homme

et dans le secret tu m’enseignes la sagesse.

 

Fais sur moi l’aspersion et je serai pur,

lave-moi et je serai plus blanc que neige.

Fais que j’entende à nouveau la joie et la fête

et que dansent mes os que tu as brisés.

 

Voile-toi la face devant mes péchés,

efface toutes mes fautes.

Ô Dieu, refais-moi un cœur pur

et qu’un esprit sans failles renouvelle mon intérieur.

 

Ne me rejette pas loin de ta face,

ne me reprends pas ton esprit saint.

Redonne-moi la joie de ton salut,

rends-moi ferme par un esprit généreux.

 

J’enseignerai tes voies à ceux qui fautent,

et les pécheurs reviendront vers toi.

 

Délivre-moi de la dette du sang,

ô Dieu, Dieu de mon salut,

et ma bouche célébrera ta justice.

Ouvre mes lèvres, Seigneur,

que ma bouche dise tes louanges.

 

Ce n’est pas le sacrifice que tu aimes,

je pourrais offrir des victimes, tu ne t’y plais pas.

 Un esprit brisé, voilà mon sacrifice à Dieu,

tu ne regardes pas de haut le cœur brisé et humilié.

 

Par bonté, Seigneur, fais du bien à Sion,

tu dois rebâtir les murailles de Jérusalem.

Alors tu prendras goût aux offrandes qui sont dues,

aux sacrifices et holocaustes,

aux jeunes bêtes offertes sur ton autel.


 

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