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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

Chapelet du mardi : Mystères Douloureux.

8 Octobre 2013, 15:51pm

Publié par Véronique

 

INTENTION DE PRIERE :

pour l'Eglise, le Pape François, Benoît XVI Pape émérite,

pour la France et la famille (voir ici), pour la vie,

pour la paix dans le monde,

    et, "Seigneur, faites que notre coeur se tourne vers Vous et que nous Vous demandions pardon pour nos péchés.

Faites que nous mortifions nos sens pour grandir dans l'humilité, la charité, l'amour et rendre à néant tout orgueil en nous.

Apprenez-nous à vivre les humiliations dans la joie afin de triompher dans l'héroïsme discret de la patience.

Apprenez-nous à porter nos croix comme Vous avez portez la vôtre.

Pardonnez-nous Seigneur pour nos fautes et appelez-nous sans cesse dans l'océan infinie de Votre miséricorde.

Amen."

 

(Vous pouvez écrire vos intentions de prière en écrivant un commentaire. Nous nous joindrons à vos prières, la prière fraternelle est très puissante. Le chapelet écrase Satan.) 

 

                                                                                                    36

(cliquer sur la photo)

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La sainte Vierge apparut à Sainte Mechtilde (Le Secret du Rosaire)

6 Octobre 2013, 21:04pm

Publié par Véronique

Sainte Mechtilde désirant savoir par quel moyen elle pourrait mieux témoigner la tendresse de sa dévotion à la Mère de Dieu, fut ravie en esprit ; et sur cette pensée, la sainte Vierge lui apparut, portant sur son sein la Salutation angélique écrite en lettres d'or, et lui dit :
 "Sachez, ma fille, que personne ne peut honorer par un salut plus agréable, que celui que m'a fait présenter la très adorable Trinité et par lequel elle m'a élevée à la dignité de Mère du Dieu.

Par le mot Ave, qui est le nom d'Eve, "Eva", j'appris que Dieu, par sa toute-puissance, m'avait préservée de tout péché et des misères auxquelles la première femme fut sujette.

Le nom de Marie, qui signifie Dame de lumières, marque que Dieu m'a remplie de sagesse et de lumière, comme un astre brillant, pour éclairer le ciel et la terre.

Ces mots : pleine de grâces, me représentent que le Saint-Esprit m'a comblée de tant de grâces, que je puis en faire part abondamment à ceux qui en demandent par ma médiation.

En disant : le Seigneur est avec vous, on me renouvelle la joie ineffable que je ressentis lorsque le Verbe éternel s'incarna dans mon sein.

Quand on me dit : vous êtes bénie entre toutes le femmes, je loue la divine miséricorde qui m'a élevée à ce haut degré de bonheur.

A ces paroles : Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni, tout le ciel se réjouit avec moi de voir Jésus, mon Fils, adoré et glorifié pour avoir sauvé les hommes."


Le secret du Rosaire
Saint Louis-Marie grignon de Montfort
<< ici >>

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"Qui ressent dans sa chair la douleur d'autrui, parvient à l'atténuer par le don de son amour concret." - Homélie du père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

6 Octobre 2013, 13:56pm

Publié par Véronique

XXVIe Dimanche
« Qui ressent dans sa chair la douleur d'autrui, parvient à l'atténuer par le don de son amour concret. »
 
Évangile de notre Seigneur Jésus-Christ selon Saint Luc XVI, 19-31

Jésus disait cette parabole : « Il y avait un homme riche, qui portait des vêtements de luxe et faisait chaque jour des festins somptueux. Un pauvre, nommé Lazare, était couché devant le portail, couvert de plaies. Il aurait bien voulu se rassasier de ce qui tombait de la table du riche ; mais c'étaient plutôt les chiens qui venaient lécher ses plaies. Or le pauvre mourut, et les anges l'emportèrent auprès d'Abraham. Le riche mourut aussi, et on l'enterra. Au séjour des morts, il était en proie à la torture ; il leva les yeux et vit de loin Abraham avec Lazare tout près de lui. Alors il cria : 'Abraham, mon père, prends pitié de moi et envoie Lazare tremper dans l'eau le bout de son doigt pour me rafraîchir la langue, car je souffre terriblement dans cette fournaise. — Mon enfant, répondit Abraham, rappelle-toi : Tu as reçu le bonheur pendant ta vie, et Lazare, le malheur. Maintenant il trouve ici la consolation, et toi, c'est ton tour de souffrir. De plus, un grand abîme a été mis entre vous et nous, pour que ceux qui voudraient aller vers vous ne le puissent pas, et que, de là-bas non plus, on ne vienne pas vers nous.' Le riche répliqua : 'Eh bien ! père, je te prie d'envoyer Lazare dans la maison de mon père. J'ai cinq frères : qu'il les avertisse pour qu'ils ne viennent pas, eux aussi, dans ce lieu de torture !' Abraham lui dit : 'Ils ont Moïse et les Prophètes : qu'ils les écoutent ! ' — 'Non, père Abraham, dit le riche, mais si quelqu'un de chez les morts vient les trouver, ils se convertiront.' Abraham répondit : 'S'ils n'écoutent pas Moïse ni les Prophètes, quelqu'un pourra bien ressusciter d'entre les morts : ils ne seront pas convaincus.' »

La prédication du Père Michel-Marie

Source : site - De l'amour en éclat

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Pour ceux qui font le catéchisme

6 Octobre 2013, 12:55pm

Publié par Véronique

Belle et grande est la responsabilité de faire le catéchisme.

Ayant fait le catéchisme et ayant constaté les fruits, avant de la faire je vous invite à prier le Saint Esprit notamment le "Veni Creator", et à demander à Jésus que se soient ses mots qui sortent de votre bouche et non les vôtres.

Avec les enfants, avant de commencer la leçon de catéchisme, je vous invite aussi à prier avec eux le "Notre Père", le "Je vous salue Marie," le "Gloire au Père", et le "Veni Creator" également. Cela vous mettra en présence du Ciel et ne pourra qu'être bénéfique à tous.

Pourquoi prier ? Pour se mettre en la présence de Dieu.

Pourquoi faire un beau signe de Croix ? Tout simplement pour se recouvrir d'elle et de Dieu.

Bon caté à tous !

Fraternellement

Véronique

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Sainte Faustine (traduit en français)

5 Octobre 2013, 12:28pm

Publié par Véronique

 

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5 octobre : Fête de Sainte Marie FAUSTINE KOWALSKA

5 Octobre 2013, 12:26pm

Publié par Véronique

  

SAINTE MARIE FAUSTINE KOWALSKA
1905-1938

 

  

  

 

         Soeur Marie Faustine, apôtre de la Miséricorde Divine, compte aujourd'hui parmi les Saints les plus célèbres de l'Église. Par son intermédiaire, le Seigneur Jésus transmet au monde entier Son grand message de la Miséricorde Divine et montre un modèle de perfection chrétienne fondée sur la confiance en Dieu et sur une attitude miséricordieuse envers le prochain.

         Elle est née le 25 août 1905, troisième des dix enfants de Marianna et Stanisław Kowalski, agriculteurs dans le village de Głogowiec. Au baptême, dans l'église paroissiale de Świnice Warckie, elle a reçu le prénom d'Hélène. Depuis son enfance, elle se distingua par l'amour de la prière, l'assiduité, l'obéissance et par une grande sensibilité à la misère des hommes. A neuf ans, elle a fait sa Première Communion qu'elle a profondément vécue, consciente de la présence de l'Hôte Divin dans son âme. Elle a fréquenté l'école pendant moins de trois ans. Adolescente, elle a quitté la maison familiale pour gagner sa vie et pour aider ses parents comme servante dans des familles aisées à Aleksandrów, Łódź et Ostrówek.

         Elle a senti la vocation dans son âme dès l'âge de sept ans, mais ses parents n'étant pas d'accord pour qu'elle entre dans les ordres, elle a essayé d'étouffer cette voix intérieure. Cependant, exhortée par la vision du Christ souffrant, elle est partie pour Varsovie où, le 1er août 1925, elle a rejoint la Congrégation des Sœurs de Notre Dame de la Miséricorde. Devenue Sœur Marie Faustine, elle a passé au couvent treize ans, en remplissant les fonctions de cuisinière, de jardinière et de Sœur portière dans plusieurs maisons de la Congrégation, le plus souvent à Płock, Wilno et Cracovie.

         Rien ne trahissait à l'extérieur sa vie mystique d'une extrême richesse. C'est avec zèle qu'elle remplissait toutes ses tâches, elle observait fidèlement les règles, recueillie et silencieuse, mais en même temps naturelle, pleine d'un amour bienveillant et désintéressé. Sa vie, très ordinaire, monotone et grise en apparence, cachait la profondeur extraordinaire de l'union à Dieu.

         Sa spiritualité reposait sur la Miséricorde Divine à laquelle elle réfléchissait et qu'elle contemplait dans la parole de Dieu et dans l'aspect quotidien de sa vie. La connaissance et la contemplation du mystère de la Miséricorde Divine développaient chez elle une attitude de confiance d'enfant face à Dieu et de miséricorde envers les autres. Ô mon Jésus, chacun de Tes saints reflète en sa personne l'une de tes vertus, moi, je désire refléter Ton Cœur compatissant et plein de miséricorde, je veux le glorifier. Que Ta miséricorde, ô Jésus, soit imprimée dans mon cœur et dans mon âme, tel un sceau, ce sera là mon emblème en cette vie et en l'autre (P.J. 1242). Sœur Marie Faustine était une fidèle fille de l'Église qu'elle aimait comme une Mère et comme le Corps Mystique de Jésus Christ. Consciente de son rôle au sein de l'Église, elle a collaboré avec la Miséricorde Divine dans l'œuvre du salut des âmes égarées. Sur le souhait et en suivant l'exemple du Seigneur Jésus, elle a sacrifié sa vie en holocauste. Dans sa vie spirituelle, elle se distinguait aussi par son amour de l'Eucharistie et par sa dévotion profonde pour Notre Dame de la Miséricorde.

         Les années passées au couvent abondaient en grâces extraordinaires :   révélations, visions, stigmates cachés, participation à la Passion du Seigneur, don de bilocation, de pénétrer le cœur des autres, de la prophétie, ou bien le don rarissime de fiançailles et d'épousailles mystiques. Le vif contact avec Dieu, Notre Dame, les anges, les saints, les âmes au purgatoire - tout cet univers surnaturel - lui apparaissait comme étant non moins réel et vrai que celui qu'elle percevait par ses sens. Malgré cette abondance de grâces extraordinaires accordées, elle savait que celles-ci ne décidaient pas de l'essence de la sainteté. Ce ne sont ni les grâces, ni les apparitions, ni les ravissements, ni aucun don accordé qui la rendent parfaite, mais l'union intérieure de mon âme avec Dieu. Ces dons ne sont que des ornements de l'âme, mais ils ne constituent ni le contenu, ni la perfection. Ma sainteté et ma perfection consistent en une étroite union de ma volonté avec celle de Dieu (P.J. 1107).

         Sœur Marie Faustine a été élue par le Seigneur Jésus secrétaire et apôtre de Sa Miséricorde pour transmettre au monde entier son grand message. Dans l'ancien Testament, lui dit-Il, j'ai envoyé à mon peuple des prophètes et avec eux la foudre. Aujourd'hui, je t'envoie vers toute l'humanité avec ma miséricorde. Je ne veux pas punir l'humanité endolorie, mais je désire la guérir en l'étreignant sur mon cœur miséricordieux (P.J. 1588).

         La mission de Sœur Marie Faustine consistait en trois tâches : 

             - rendre proche et annoncer au monde entier la vérité révélée dans les Écritures Saintes sur l'amour miséricordieux de Dieu envers tout homme,

             - implorer la Miséricorde Divine pour le monde entier, en particulier pour les pécheurs, notamment par la pratique des formes nouvelles, annoncées par le Seigneur Jésus, du culte de la Miséricorde Divine, qui sont les suivantes :   le tableau du Christ avec l'inscription Jésus, j'ai confiance en Toi ! , la Fête de la Miséricorde Divine le premier dimanche après Pâques, le Chapelet à la Miséricorde Divine et la prière à l'Heure de la Miséricorde Divine (15 H). Le Seigneur Jésus liait à ces formes du culte, ainsi qu'à la propagation de la dévotion à la Miséricorde, de grandes promesses à condition de se fier à Dieu et de pratiquer un amour actif envers le prochain,

             - la troisième tâche que comportait la mission de Sœur Marie Faustine consistait à inspirer le mouvement apostolique de la Miséricorde qui est chargé de propager et d'obtenir par la prière la Miséricorde Divine pour le monde et qui tend à la perfection sur le chemin montré par la Bienheureuse Sœur Faustine. Ce chemin est celui d'une confiance d'enfant en Dieu, laquelle s'exprime dans l'accomplissement de Sa volonté et dans une attitude de miséricorde envers les autres. A l'heure actuelle, ce mouvement au sein de l'Église concerne des millions de personnes à travers le monde, à savoir des congrégations, des instituts laïques, des prêtres, des confréries, des associations, différentes communautés d'apôtres de la Miséricorde Divine et des particuliers qui se chargent, à titre individuel, des tâches transmises par le Seigneur Jésus par l'intermédiaire de Sœur Marie Faustine.

         Le message de Sœur Faustine a été noté dans son Petit Journal qu'elle a rédigé par la volonté du Seigneur Jésus et de ses confesseurs. Elle y a fidèlement noté tous les souhaits de Jésus, de même qu'elle a décrit l'union intime de son âme avec Dieu. Secrétaire de mon plus profond mystère, disait le Seigneur Jésus à Sœur Faustine, ton devoir est d'écrire tout ce que je te fais connaître à propos de ma miséricorde au profit des âmes qui en lisant ces écrits seront consolés et auront le courage de s'approcher de moi (P.J. 1693). Cet ouvrage nous rend proche d'une manière extraordinaire le mystère de la Miséricorde Divine. Il enchante non seulement les gens simples, mais aussi les scientifiques qui y découvrent une source supplémentaire de recherche théologique. Le Petit Journal a été traduit en plusieurs langues, entre autres en anglais, allemand, italien, espagnol, français, portugais, russe, hongrois, tchèque et slovaque.

         Ravagée par la maladie et par de nombreuses souffrances qu'elle a supportées en tant que sacrifice bénévole pour les pécheurs, entièrement épanouie spirituellement et unie à Dieu, Sœur Marie Faustine est morte à Cracovie le 5 octobre 1938, âgée à peine de 33 ans. La gloire de la sainteté de sa vie a crû rapidement avec la propagation de la dévotion pour la Miséricorde Divine et au fur et à mesure des grâces obtenues par son intercession. De 1965 à 1967, à Cracovie s'est déroulé le procès diocésain sur sa vie et ses vertus et en 1968, à Rome, a été ouvert le procès de béatification, clos en décembre 1992. Le 18 avril 1993, sur la Place Saint-Pierre de Rome, le Saint Père Jean Paul II a procédé à l'acte de sa béatification. Il la canonisa le 30 avril 2000.

        Ses reliques reposent au sanctuaire de la Miséricorde Divine de Cracovie-Łagiewniki.

 

Liens :

- Soeur Faustine, apôtre de la Miséricorde Divine

- du 5 au 13 octobre : grande Neuvaine à la Miséricorde Divine

- Le message de la Miséricorde Divine

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Le Pape François à Assise aujourd'hui

4 Octobre 2013, 12:35pm

Publié par Véronique

Programmation spéciale toute la journée sur KTO

Jeudi à 20h35 : Flash Assise attend le Pape  
     
8h00 : Rencontre avec les enfants malades accueillis par l'Institut Serafico d'Assise.   
     
9h25 : Flash Les Clarisses d'Assise et le Pape François.  
     
9h30 : Rencontre avec les pauvres
et avec les personnes assistées par la Caritas, à l'évêché. 
 
     
10h15 : Visite de la Basilique supérieure Saint-François et de la crypte.   
     
11h00 : Messe sur la place Saint-François d'Assise.     
     
14h45 : Rencontre avec le clergé, les consacrés, les membres de conseils pastoraux du diocèse, cathédrale Saint-Rufin.     
     
16h15 : Vénération du corps de sainte Claire à la crypte et rencontre avec les moniales, Basilique Sainte-Claire.     
     
17h30 : Visite et prière silencieuse à la Portioncule de la Basilique Sainte-Marie-des-Anges, puis rencontre avec les jeunes d'Ombrie    
     
18h45 : Visite "privée" au sanctuaire de Rivotorto et visite au "taudis" de saint François.     
     
19h30 : Flash Le soir à Assise.    
     
22h15 : Homélie du Pape.    
     
22h45 : Les grands moments de la journée.    
     

 

 

Pape François - Edition spéciale
 

Que veut le Pape François ?

 

Édition spéciale

     
Le Pape François, par sa personnalité, les signes qu'il donne et son mode d'expression suscite l'enthousiasme, très au-delà des catholiques. Parmi ces derniers, certains retrouvent en lui le « printemps de l'Église » de Vatican II. D'autres, la mise en œuvre de la Nouvelle Évangélisation. Toutes sortes de questions, profondes, simples ou simplistes, alimentent les éditoriaux et la blogosphère, les discussions de famille et de comptoir, les parvis et les sacristies...
 

Quelle ligne dessine-t-il derrière les phrases-choc et les gestes symboliques ? « Une Église pauvre pour les pauvres », est-ce une Église de gauche ? Une Église de l'hémisphère Sud ? Une « Église pour tous » ? A quoi ressemble une Église « qui sort d'elle-même » ? La « miséricorde avant la doctrine », est-ce une libération, un retour aux sources, ou une technique évangélique ? François veut-il une réforme de la Curie ou une révolution dans l'Église ? Est-il évêque de Rome ou curé du monde ? Est-il l'héritier ou le contraire de ses prédécesseurs ? Est-il un missionnaire ou un communicant ? A quel « exercice spirituel » nous invite ce Pape jésuite ?

 

Samedi soir, KTO reçoit le cardinal André Vingt-Trois : à partir des propos du Pape à Assise et de témoignages sur les attentes qu'il suscite, nous essaierons de mieux comprendre ce que dit le pape François au monde, et ce qu'il veut pour l'Église d'aujourd'hui.

 

Édition spéciale à voir sur KTO samedi 5 octobre à partir de 20h40, et à revoir ensuite sur cette page.

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La manière de réciter le Rosaire - Pureté de l'âme

2 Octobre 2013, 09:53am

Publié par Véronique

CINQUIEME DIZAINE


LA MANIERE DE RECITER LE ROSAIRE


1. DiSPOSITIONS


QUARANTE ET UNIEME ROSE


PURETE DE L'ÂME


Ce n'est pas proprement la longueur, mais la ferveur de la prière, qui plaît à Dieu et qui lui gagne le coeur. Un seul Ave Maria bien dit est d'un plus grand mérite que cent cinquante mal dits. Presque tous les catholiques récitent le Rosaire, le chapelet ou du moins quelques qui se corrigent de leurs péchés et avancent dans la vertu, sinon parce qu'ils ne font pas ces prières comme il faut.

Voyons donc la manière dont il faut les réciter, pour plaire à Dieu et devenir plus saints.
Premièrement, il faut que la personne qui récite le saint Rosaire soit en état de grâce ou du moins dans la résolution de sortir de son péché, parce que toute la théologie nous enseigne que les bonnes oeuvres et les prières, faites en état de péché mortel, sont des oeuvres mortes, qui ne peuvent être agréables à Dieu ni mériter la vie éternelle. C'est en ce sens qu'il est écrit : Nom est speciosa laux in ore peccatoris (Eccl 15, 9) : La louange [de Dieu] et le Salut de l'ange et l'Oraison même de Jésus-Christ, n'est pas agréable à Dieu, lorsqu'elle sort de la bouche d'un pécheur impénitent.

[C'est en ce sens aussi que] Jésus-Christ dit : Populus hic labiis me honorat, cor autem eorum longe est a me (Mc 7, 6) : Ces personnes qui se mettent de mes mes confréries, et récitent tous les jours le chapelet ou le Rosaire, sans aucune contrition de leurs péchés, m'honorent de leur lèvres, mais leur coeur est bien éloigné de moi.

J'ai dit : - ou du moins dans la résolution de sortir du péché.

1°   Parce que, s'il fallait absolument être en grâce de Dieu, pour faire des prières qui lui fussent agréables, il s'ensuivrait que ceux qui sont en péché mortel ne devraient point du tout prier, quoiqu'ils en aient plus de besoin que les justes ; ce qui est une erreur condamnée par l'Eglise ; et, ainsi, il ne faudrait jamais conseiller à un pécheur de dire son chapelet ou son Rosaire, parce qu'il lui serait inutile ;

2°   Parce que, si avec la volonté de demeurer dans le péché, et sans aucune intention d'en sortir, on s'enrôlerait dans une confrérie de la sainte Vierge, où on récite le chapelet ou le Rosaire ou quelque autre prière, on se rangerait au nombre des faux dévots de la sainte Vierge (Vraie évotion, n° 93-104)

- dévots présomptueux et impénitents, qui, sous le manteau de la sainte Vierge, avec le scapulaire sur leur corps ou le Rosaire à la main crient : "Sainte Vierge ! bonne Vierge !... Je vous salue, Marie !..." et cependant crucifient et déchirent cruellement jésus-Christ par leurs péchés et tombent malheureusement, du milieu des plus saintes confréries de la sainte Vierge, dans le milieu des flammes de l'enfer.

Nous conseillons le saint Rosaire à tout le monde ; aux justes pour préserver et croître dans la grâce de Dieu, et aux pécheurs pour sortir de leurs péchés. Mais à Dieu ne plaise que nous exhortions un pécheur à faire du manteau de laprotection de la sainte Vierge, un manteau de damnation pour voiler ses crimes ; et à changer le Rosaire, qui est un remède à tous les maux, en un poison mortel et funeste. Corruptio optimi pessima (La corruption du meilleur donne le pire.).

Il faut être un ange de pureté, dit le savant cardinal Hugues, pour approcher de la sainte Vierge et réciter la Salutation angélique. Elle fit un jour voir à un impudique, qui récitait le saint Rosaire régulièrement tous les jours, de beaux fruits dans un vaisseau (Sur un plateau) souillé d'ordure ; il en eut horreur. Elle lui dit : "Voilà comment tu me sers, tu me présentes de belles roses dans un vaisseau sale et corrompu. Juge, si je peux les avoir pour agréables."


Source

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Histoire d'une âme, sainte Thérèse de Lisieux

1 Octobre 2013, 21:16pm

Publié par Véronique

Depuis septembre 2010, la pièce de Michel Pascal Histoire d'une âme, sainte Thérèse de Lisieux connaît un grand succès ! joué par Eva Hernandez (diplômée du Conservatoire), ce monologue retrace le destin de cette femme à la vie courte, ordinaire et pourtant... extraordinaire. À la fois drôle, profond et émouvant, il attire à chacune de ses représentations des centaines de spectateurs, sans promotion particulière. Jouée jusqu'ici dans les églises, les hôpitaux ou les prisons, la pièce est désormais programmée dans le monde et partira en tournée prochainement pour plus de 200 représentations jusqu'en 2012 : Paris Saint-Sulpice, festivals d'Avignon et de Cannes, Mont-Saint-Michel, Vézelay, Marseille, Lourdes, Lisieux, Hollywood, Washington, Jérusalem, Montréal, Afrique, Amérique du Sud...
Emission du 16/05/2011

Sainte Thérèse de Lisieux, de l'Enfant Jésus. Je ne suis allée qu'une fois à Lisieux, et, dans la Cathédrale mes yeux ne décolaient pas du plafond où je me croyais déjà au Ciel. Le livre "Histoire d'une âme" m'avait été recommandé par un prêtre, puisqu'un autre m'avait dit que ma spiritualité était celle du Carmel. Je ne trouvais pas ce livre, aussi, j'ai demandé à Jésus de me le mettre sur mon chemin quand Il le désirait. C'est plusieurs mois après, lors d'une visite dans un Carmel, en France, que la mère prieure à l'annonce de cette histoire va dans la pièce d'a côté et revient avec le livre. Soeur Chantal (qui m'a fait connaître le père Jean-Claude Sagne) me l'a généreusement offert alors que je voulais lui payer. Je lui ai demandé un autographe. A la lecture de ce livre, j'ai découvert que je faisais oraison sans le savoir, grâce à la petite Thérèse. (Le prénom de ma maman est Thérèse et son nom de jeune fille Martin, et est née en Normandie)

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1er octobre : fête de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus

1 Octobre 2013, 21:13pm

Publié par Véronique


Sainte Thérèse
de l'Enfant-Jésus et de la Sainte Face

Vierge, Carmélite, Docteur de l'Église
Co-patronne de la France

 

Thérèse Martin naquit à Alençon, en France, le 2 janvier 1873. Elle fut baptisée deux jours plus tard en l'église Notre-Dame, recevant les noms de Marie Françoise Thérèse. Ses parents étaient Louis Martin et Zélie Guérin (béatifiés le 19 octobre 2008 à Lisieux). Après la mort de sa mère, le 28 août 1877, Thérèse s'installa avec toute sa famille à Lisieux. Vers la fin de 1879, elle s'approche pour la première fois du sacrement de la Pénitence.

 

Le jour de la Pentecôte 1883, elle reçoit la grâce insigne de la guérison d'une grave maladie, par l'intercession de Notre-Dame des Victoires. Formée par les Bénédictines de Lisieux, elle fait sa première communion le 8 mai 1884, après une préparation intense, couronnée par une expérience très vive de la grâce de l'union intime avec le Christ. Quelques semaines après, le 14 juin de la même année, elle reçoit le sacrement de la confirmation, accueillant en toute conscience le don de l'Esprit Saint dans une participation personnelle à la grâce de la Pentecôte. Elle avait le désir d'entrer dans la vie contemplative, comme ses sœurs Pauline et Marie, au Carmel de Lisieux, mais son jeune âge l'en empêchait.

 

Pendant un voyage en Italie, après avoir visité la Maison de Lorette et la Ville éternelle, au cours de l'audience accordée par le Pape aux pèlerins du diocèse de Lisieux le 20 novembre 1887, elle demanda à Léon XIII (Vincenzo Pecci, 1878-1903), avec une audace filiale, de pouvoir entrer au Carmel à l'âge de quinze ans. Le 9 avril 1888, elle entra au Carmel de Lisieux. Elle prit l'habit le 10 janvier de l'année suivante et fit sa profession religieuse le 8 septembre 1890, en la fête de la Nativité de la Vierge Marie.

 

Au Carmel, elle s'engage sur le chemin de perfection tracé par la Mère fondatrice, Thérèse de Jésus, avec une ferveur et une fidélité authentiques, par l'accomplissement des divers services communautaires qui lui sont confiés. Éclairée par la Parole de Dieu, éprouvée très vivement par la maladie de son père bien-aimé, Louis Martin, qui meurt le 29 juillet 1894, elle avance vers la sainteté, inspirée par la lecture de l'Évangile, plaçant au centre de tout l'amour.

 

Dans ses manuscrits autobiographiques, Thérèse nous a laissé non seulement les souvenirs de son enfance et de son adolescence, mais aussi le portrait de son âme, la description de ses expériences les plus intimes. Elle découvre et communique aux novices qui lui sont confiées la petite voie de l'enfance spirituelle ; elle reçoit comme un don spécial la charge d'accompagner par le sacrifice et la prière deux «frères missionnaires». Elle pénètre toujours plus le mystère de l'Église et sent croître en elle sa vocation apostolique et missionnaire, pour attirer tout le monde à sa suite, saisie par l'amour du Christ, son unique Époux.

 

Le 9 juin 1895, en la fête de la Très Sainte Trinité, elle s'offre en victime d'holocauste à l'Amour miséricordieux de Dieu. Elle rédige alors le premier manuscrit autobiographique qu'elle remet à Mère Agnès le jour de la fête de celle-ci, le 21 janvier 1896. Quelques mois après, le 3 avril, dans la nuit entre le jeudi et le vendredi saints, elle souffre d'une hémoptysie, première manifestation de la maladie qui la conduira à sa mort et qu'elle accueille comme une mystérieuse visite de l'Époux divin. Elle entre alors dans une épreuve de la foi qui durera jusqu'à sa mort et dont elle donnera un témoignage bouleversant dans ses écrits. Au mois de septembre, elle achève le manuscrit B qui illustre de manière impressionnante la maturité dans la sainteté à laquelle elle est parvenue, en particulier par la découverte de sa vocation au cœur de l'Église.

 

Alors que sa santé se dégrade et que le temps de l'épreuve se poursuit, elle commence au mois de juin le manuscrit C dédié à Mère Marie de Gonzague ; de nouvelles grâces l'amènent à une plus haute perfection et elle découvre de nouvelles lumières pour la diffusion de son message dans l'Église au profit des âmes qui suivront sa voie. Le 8 juillet, elle est transférée à l'infirmerie. Ses sœurs et d'autres religieuses recueillent ses paroles, tandis que s'intensifient ses souffrances et ses épreuves, supportées avec patience, jusqu'à sa mort dans l'après-midi du 30 septembre 1897. «Je ne meurs pas, j'entre dans la vie», avait-elle écrit à son frère spirituel missionnaire, l'Abbé M. Bellier. Ses dernières paroles, «Mon Dieu..., je vous aime !», scellent une existence qui s'éteint sur la terre à l'âge de vingt-quatre ans pour entrer, suivant son désir, dans une phase nouvelle de présence apostolique en faveur des âmes, dans la communion des saints, pour répandre une pluie de roses sur le monde.

 

Elle fut canonisée par Pie XI (Ambrogio Damiano Achille Ratti, 1922-1939) le 17 mai 1925 et ce même Pape la proclama "Patronne universelle des missions", ainsi que St François Xavier, le 14 décembre 1927.

Sa doctrine et son exemple de sainteté ont été reçus par toutes les catégories de fidèles de ce siècle avec un grand enthousiasme, et aussi en dehors de l'Église catholique et du christianisme. De nombreuses Conférences épiscopales, à l'occasion du centenaire de sa mort, ont demandé au Pape qu'elle soit proclamée Docteur de l'Église, à cause de la solidité de sa sagesse spirituelle, inspirée par l'Évangile, à cause de l'originalité de ses intuitions théologiques où brille sa doctrine éminente, et à cause de l'universalité de la réception de son message spirituel, accueilli dans le monde entier et diffusé par la traduction de ses œuvres dans une cinquantaine de langues.

 

Le Bx Jean Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005) proclama Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte Face Docteur de l'Église universelle le 19 octobre 1997.

 

Pour approfondir, lire la Catéchèse du Pape Benoît XVI :

 >>> Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus

[Allemand, Anglais, Croate, Espagnol, Français, Italien, Portugais]

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