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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

CONGRES DIOCESAIN DE ROME

17 Juin 2010, 09:51am

Publié par Véronique J.

CITE DU VATICAN, 16 JUI 2010 (VIS).

Hier à 19 h 30', Benoît XVI a inauguré en la Basilique du Latran le Congrès diocésain de Rome (15 - 17 juin) centré sur l'Eucharistie dominicale et le témoignage de la charité. La foi de peut être considérée comme acquise, a affirmé l'Evêque de Rome. "Chaque génération doit recevoir ce don par l'annonce de l'Evangile et la connaissance de la vérité révélée par le Christ. L'Eglise est quant à elle toujours engagée à proposer à tous le dépôt de la foi, qui contient la doctrine de l'Eucharistie... Aujourd'hui, malheureusement, celle ci est mal comprise en profondeur et dans son importance pour la vie des croyants. Une plus profonde connaissance du mystère du Corps et du Sang du Seigneur est donc nécessaire". Et à propos de la messe, il a rappelé qu'elle doit être célébrée dans le respect des normes et en mettant en valeur la richesse des signes et des gestes destinés à accroître la foi eucharistique". Il est également nécessaire de "redécouvrir la fécondité de l'adoration eucharistique... en évitant que l'apostolat se réduise à un activisme stérile pour être un vrai témoignage d'amour de Dieu".

 

  En nous nourrissant du Seigneur, a poursuivi le Pape, "nous sommes libérés des chaînes de l'individualisme. Dans la communion avec lui nous devenons nous mêmes, une chose seule, son corps mystique. Ainsi les différences d'origine, de nationalité ou de profession sont-elles abolies, car nous nous retrouvons comme membres d'une seule grand famille des enfants de Dieu, dans laquelle chacun possède une grâce particulière au service de tous". Ensuite il a dit qu'en recevant le Christ, "l'amour de Dieu envahit nos coeurs et les change radicalement. Il nous rend capables de gestes qui, par la force du bien, peuvent changer la vie de ceux qui nous entourent... Pour le disciple de Jésus, témoigner de la charité n'est pas une démarche passagère mais ce qui configure la vie sous tous ces aspects".

 

  Benoît XVI a alors encouragé les catholiques de Rome à relancer l'annonce de l'Evangile et à un plus net témoignage de la charité, félicitant "tous eux qui oeuvrent dans les diverses structures caritatives, au service des pauvres et des personnes marginalisées... L'Eucharistie nous impose et nous rend capables d'être à notre tour pain rompu pour nos frères, d'aller à leur rencontre en nous donnant. C'est pourquoi une célébration eucharistique qui ne conduirait pas à la rencontre de l'autre là où il vit, travaille ou souffre, pour lui porter l'amour de Dieu, ne manifesterait pas sa vérité". Pour conclure, le Pape a dit que dans une période de crise socio-économique "il faut être solidaires de qui vit en pauvreté, afin d'offrir à tous l'espérance d'un demain meilleur et digne de l'homme. Puis il a invité les jeunes à ne pas craindre de choisir l'amour comme règle de vie, dans le choix du sacerdoce comme dans la constitution de familles chrétiennes, vivant dans la fidélité et ouvertes à la vie.

 

 

 

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RETOUR SUR LA VEILLEE DE PRIERE SACERDOTALE

17 Juin 2010, 09:38am

Publié par Véronique J.

CITE DU VATICAN, 12 JUI 2010 (VIS).

Benoît XVI a répondu aux questions de cinq prêtres représentant les continents, au cours de la veillée de prière célébrée Place St.Pierre, jeudi soir dernier. Voici une large synthèse de ses réponses:

 

  Un prêtre brésilien a demandé comment faire face aux difficultés que rencontrent les curés dans leur paroisse. Le Pape a reconnu qu'aujourd'hui "il est très difficile d'être curé surtout dans les pays d'ancienne chrétienté. Les paroisses sont de plus en plus étendues. Il est donc impossible de connaître tout le monde, d'accomplir tous les devoirs que l'on attend d'un curé". Puis il a souligné l'importance "pour les fidèles de voir un prêtre qui ne fait pas seulement un métier, des heures de travail puis de liberté et qui vit seulement pour lui-même, mais surtout un homme passionné du Christ... La première condition est d'être remplis de la joie de l'Evangile de tout notre être". A cela s'ajoutent "trois priorités fondamentales : l'Eucharistie et les sacrements... l'annonce de la Parole, ...la charité, l'amour du Christ... La prière n'est pas, non plus, marginale. Prier est le propre du prêtre, de même que celui de représenter les gens qui ne savent pas prier ou ne prennent pas le temps de prier. La prière personnelle, surtout la Liturgie des heures, est une nourriture fondamentale pour notre âme, pour toute notre action".

 

  Un prêtre ivoirien a demandé comment éviter la fracture entre théologie et doctrine et faire en sorte que "les études ne soient pas seulement académiques mais qu'elles alimentent la spiritualité". Benoît XVI a reconnu l'existence d'un "abus de la théologie comme arrogance de la raison et qui n'alimente pas la foi, mais qui occulte la présence de Dieu dans le monde. Il existe aussi une théologie qui veut connaître plus par amour de l'aimé... C'est elle, la vraie théologie qui vient de l'amour de Dieu et du Christ, et qui veut entrer plus profondément en communion avec le Christ". Il a encouragé les théologiens à être "courageux...et à ne pas craindre le fantasme de la science..., à ne pas céder aux hypothèses éphémères, mais à penser vraiment à partir de la grande foi de l'Eglise qui est présente à toutes les époques et qui nous ouvre l'accès à la vérité". Benoît XVI a ajouté que "la formation est très importante mais nous devons aussi être critiques : le critère de la foi est le critère avec lequel vous verrez aussi les théologiens et les théologies... Le Catéchisme de l'Eglise catholique est la synthèse de notre foi et le vrai critère permettant de déterminer si une théologie est acceptable ou non".

 

  Un autre prêtre a demandé au Pape de parler de "la profondeur et du sens authentique du célibat ecclésiastique, face aux critiques actuelles par rapport à ce don". Le Saint-Père a dit qu'"un des grands problèmes du christianisme aujourd'hui est de ne plus penser à l'avenir de Dieu. Dans notre monde, le présent semble suffire. Nous fermons ainsi les portes à la vraie grandeur de notre existence. Le sens du célibat comme anticipation de l'avenir est justement d'ouvrir ces portes... de montrer la réalité de l'avenir que nous devons déjà vivre comme présent, de donner ainsi notre témoignage de la foi : nous croyons réellement que Dieu existe, que Dieu fait partie de notre vie, que nous pouvons fonder notre vie dans le Christ, dans la vie à venir". Concernant les critiques du monde, le Pape a dit que "pour le monde agnostique,...le célibat est un grand scandale car il montre précisément que Dieu est considéré et vécu comme une réalité... Le célibat est un oui définitif qui nous permet de nous laisser prendre en main par Dieu, de se remettre dans les mains du Seigneur, dans son moi. C'est donc un acte de fidélité et de confiance, un acte qui suppose aussi la fidélité du mariage... qui est la forme biblique, la forme naturelle d'être homme et femme, fondement de la grande culture chrétienne, des grandes cultures de ce monde. Et si cela disparaît, c'est la racine de notre culture qui sera détruite. Le célibat confirme donc le oui du mariage par son oui à l'avenir, et nous voulons continuer ainsi et faire connaître ce grand scandale d'une foi qui met toute son existence en Dieu... Demandons au Seigneur qu'il nous aide à nous libérer de ces scandales secondaires, pour mieux rendre présent le grand scandale de notre foi : la confiance, la force de notre vie qui se fonde en Dieu et en Jésus-Christ".

 

  La quatrième question a porté sur la façon de vivre la centralité de l'Eucharistie et le culte avec dignité, sans tomber dans le cléricalisme et s'éloigner de la réalité. Evoquant saint Augustin, Benoît XVI a souligné que "le sacrifice des chrétiens est d'être unis par l'amour du Christ dans l'unité de l'unique corps du Christ. Le sacrifice consiste donc à sortir de nous-mêmes, à nous laisser attirer dans la communion du pain unique, du corps unique, et d'entrer ainsi dans la grande aventure de l'amour de Dieu. Ainsi, nous devons toujours célébrer, vivre et méditer l'Eucharistie à cette école de la libération de mon moi... L'Eucharistie est le contraire du cléricalisme, de la fermeture sur soi-même... Vivre l'Eucharistie, dans son sens originel, dans sa vraie profondeur, est une école de vie et la protection la plus sûre contre toute tentation de cléricalisme".

 

  Enfin, un autre prêtre a demandé au Pape ce qu'il fallait faire pour contrecarrer la crise des vocations. "Grande est la tentation -a dit Benoît XVI- de transformer le prêtre, le sacrement du Christ, en une profession comme une autre avec des horaires, comme n'importe quelle autre vocation, en la rendant accessible et facile. Mais cette tentation ne résout pas le problème... Comme le Seigneur nous l'enseigne, nous devons prier Dieu, frapper à sa porte, au cœur de Dieu pour qu'il nous donne des vocations. Nous devons prier avec une grande insistance, une grande détermination, une grande conviction, car Dieu n'est pas hermétique à la prière insistante, permanente, confiante, même s'il laisse faire et attendre... au-delà des temps que nous avons prévu. Chacun de nous devrait faire son possible pour vivre le sacerdoce de manière convaincante... Nous devons inviter à la prière, à avoir cette humilité, cette confiance de parler à Dieu avec force et décision... et avoir le courage de demander aux jeunes s'ils pensent que Dieu les appelle... et, surtout, les aider à trouver un environnement vital dans lequel ils puissent vivre leur vocation".

 

 

 

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ACCOMPAGNER LES FIDELES

17 Juin 2010, 09:33am

Publié par Véronique J.

CITE DU VATICAN, 11 JUI 2010 (VIS).

En la solennité du Sacré Coeur, Benoît XVI a présidé Place St.Pierre la messe de clôture de l'Année sacerdotale, avec les prélats de la curie et 15.000 prêtres venus de tout horizon. Le Pape a utilisé le calice du Curé d'Ars, patron de cette année particulière destinée à "saisir à nouveau la grandeur et la beauté du ministère sacerdotal. Le prêtre n'est pas simplement le détenteur d'une charge... Il fait en revanche quelque chose qu'aucun être humain ne peut faire de lui-même en prononçant au nom du Christ l'absolution des péchés. Ainsi transforme-t-il nos vies selon Dieu. Il prononce sur les offrandes du pain et du vin les paroles d'action de grâce du Christ...qui ouvrent le monde à Dieu et l'unissent à lui. Le sacerdoce n'est donc pas seulement une charge, mais un sacrement ".

 

  "L'audace de Dieu qui se confie à des êtres humains et qui, tout en connaissant nos faiblesses, considère les hommes capables d'agir et d'être présents à sa place, est la grande réalité qui se cache dans le mot sacerdoce... C'est ce que, en cette année, nous voulions considérer et comprendre à nouveau. Nous voulions réveiller la joie que Dieu nous soit si proche..., montrer à nouveau aux jeunes que cette vocation, cette communion de service pour Dieu et avec Dieu, existe... On pouvait s'attendre à ce que cette nouvelle mise en lumière du sacerdoce déplaise l'ennemi, qui aurait préféré le voir disparaître, pour qu'en fin de compte Dieu soit repoussé hors du monde. Et il est ainsi arrivé que, proprement au cours de cette année de joie pour le sacrement du sacerdoce, sont venus à la lumière les péchés des prêtres, en particulier l'abus à l'égard des petits... Nous aussi nous demandons avec insistance pardon à Dieu et aux personnes impliquées, alors que nous entendons promettre de faire tout ce qui est possible pour que de tels abus ne puissent jamais plus survenir ; promettre que dans l'admission au ministère sacerdotal et dans la formation délivrée au cours du parcours qui y prépare, nous ferons tout ce qui est possible pour examiner attentivement l'authenticité de la vocation et que nous voulons mieux encore accompagner les prêtres sur leur chemin".

 

  "Si l'Année sacerdotale avait du être une glorification de notre prestation humaine personnelle, elle aurait été détruite par ces événements. Mais il s'agissait pour nous exactement du contraire : devenir reconnaissant pour le don de Dieu, un don qui se cache dans des vases d'argile et qui toujours de nouveau, à travers toute la faiblesse humaine, rend concret son amour en ce monde. Nous considérons ainsi que ce qui est arrivé est un devoir de purification, un devoir qui nous porte vers l'avenir et qui, d'autant plus, nous fait reconnaître et aimer le grand don de Dieu. De cette façon, le don devient l'engagement de répondre au courage et à l'humilité de Dieu par notre courage et notre humilité".

 

  Poursuivant l'homélie en reprenant le Psaume 23 (Le Seigneur est mon berger. Je ne manque de rien), le Saint-Père a assuré que Dieu prend personnellement soin de chaque prêtre: "Je ne suis pas laissé seul, perdu dans l'univers et dans une société devant laquelle on demeure toujours plus désorientés... Les religions du monde, d'après ce que l'on peut voir, ont toujours su que, en dernière analyse, il y a un seul Dieu. Mais un tel Dieu demeurait lointain... On comprenait aussi que le monde supposait un Créateur. Cependant, ce Dieu avait construit le monde et s'en était ensuite évidemment retiré. À présent, le monde avait un ensemble de lois suivant lesquelles il se développait et sur lequel Dieu n'intervenait pas, ni ne pouvait intervenir... Mais là où la tendresse et l'amour de Dieu sont perçus comme une gêne, là l'être humain est faussé... Dieu veut que nous, en tant que prêtres, en un petit point de l'histoire, nous partagions ses préoccupations pour les hommes... Nous devrions chercher à connaître les hommes de la part de Dieu et en vue de Dieu. Nous devrions chercher à cheminer avec eux sur la voie de l'amitié avec Dieu".

 

  "Le pasteur indique le juste chemin à ceux qui lui sont confiés. Il les précède et il les guide. Disons-le autrement : le Seigneur nous dévoile comment l'être humain s'accomplit de façon juste. Il nous enseigne l'art d'être une personne. Que dois-je faire pour ne pas précipiter, pour ne pas gaspiller ma vie dans l'absence de sens? C'est précisément la question que tout homme doit se poser et qui vaut pour tout âge de la vie. Et quelle obscurité existe autour de cette question en notre temps ! Toujours de nouveau, nous vient à l'esprit la parole de Jésus, lequel avait compassion des hommes, parce qu'ils étaient comme des brebis sans pasteur... Le peuple d'Israël était et est reconnaissant à Dieu, parce qu'à travers les Commandements il a indiqué la route de la vie... Dieu nous a montré quel est le chemin, comment nous pouvons cheminer de façon juste. Ce que les Commandements disent a été synthétisé dans la vie de Jésus et est devenu un modèle vivant. Nous comprenons ainsi que ces directives de Dieu ne sont pas des chaînes, mais sont la voie qu'il nous indique.. Dans notre cheminement avec le Christ, nous faisons l'expérience de la joie de la Révélation, et comme prêtres nous devons communiquer aux gens la joie liée au fait que nous a été indiquée la voie juste". Evoquant ensuite le ravin obscur de la mort, dans lequel personne ne peut nous accompagner, Benoît XVI a assuré que le Christ sera présent". Avec le Psaume 139, nous pouvons dire: Oui, dans le ravin de la mort, "je ne crains aucun mal. En parlant du ravin obscur nous pouvons, cependant, penser aussi aux vallées obscures de la tentation, du découragement, de l'épreuve, que tout être humain doit traverser. Dans ces vallées ténébreuses de la vie, il est là aussi... Seigneur...aide-nous, prêtres, afin que nous puissions être auprès des personnes qui nous sont confiés et qui sont dans ces nuits obscures. Afin que nous puissions leur montrer ta lumière".

 

  "Le pasteur a besoin du bâton contre les bêtes sauvages qui veulent faire irruption dans le troupeau, contre les brigands qui cherchent leur butin", a poursuivi le Pape . A côté du bâton, il y a la houlette qui offre un appui et une aide pour traverser les passes difficiles... L'Eglise aussi doit utiliser le bâton du pasteur, le bâton avec lequel elle protège la foi contre les falsificateurs, contre les orientations qui sont, en réalité, des désorientations. L'usage même du bâton peut être un service d'amour. Nous voyons aujourd'hui qu'il ne s'agit pas d'amour, quand on tolère des comportements indignes de la vie sacerdotale. De même il ne s'agit pas non plus d'amour quand on laisse proliférer l'hérésie, la déformation et la décomposition de la foi, comme si nous inventions la foi de façon autonome. Comme si elle n'était plus le don de Dieu, la perle précieuse que nous ne nous laissons pas dérober. Toutefois, en même temps, le bâton doit toujours redevenir la houlette du pasteur, la houlette qui aide les hommes à pouvoir marcher sur les sentiers difficiles et à suivre le Seigneur. A la fin de ce psaume, on évoque le banquet préparé...et la possibilité d'habiter avec le Seigneur... Nous voyons dans ces paroles une anticipation prophétique du mystère de l'Eucharistie dans lequel Dieu en personne nous accueille en s'offrant lui-même à nous comme nourriture, comme ce pain et ce vin excellents qui, seuls, peuvent constituer la réponse ultime à la faim et à la soif spirituelle de l'homme. Comment ne pas être heureux de pouvoir chaque jour être les hôtes de la table même de Dieu?... Heureux parce qu'Il nous a donné de préparer la table de Dieu pour les hommes, de leur donner son Corps et son Sang, de leur offrir le don précieux de sa présence même".

 

  En conclusion, le Saint-Père a cité les deux chants de communion de la liturgie du jour qui, a-t-il dit, nous "renvoient aux deux sacrements fondamentaux dont l'Eglise vit: le Baptême et l'Eucharistie... Jésus lui-même est le nouveau temple, et son cœur ouvert est la source d'où sort un fleuve de vie nouvelle, qui se communique à nous dans le Baptême et l'Eucharistie... Chaque chrétien et chaque prêtre devrait, à partir du Christ, devenir une source qui communique la vie aux autres. Nous devrions donner l'eau de la vie à un monde assoiffé. Seigneur..., fais que nous soyons des personnes vivantes, vivantes de ta source, et donne-nous de pouvoir être nous aussi des sources, en mesure de donner à notre temps l'eau de la vie. Nous te remercions pour la grâce du ministère sacerdotal. Seigneur bénis-nous et bénis tous les hommes de ce temps qui sont assoiffés et en recherche".

 

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Union de prière pour les victimes de France.

16 Juin 2010, 20:49pm

Publié par Véronique J.

En union de prière pour les victimes et leurs proches.

  

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Intention de prière pour la France - Prière à Sainte Jeanne d'Arc.

14 Juin 2010, 22:28pm

Publié par Véronique J.

En France : le drapeau français d'une mairie brûlé  et remplacé.

 

France : Fille aînée de l'Eglise.

 

Prions Sainte Jeanne d'Arc.

En union de prière fraternelle

Véronique J.

 

 

 

 

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Attention: une photo tendancieuse manipulée de "l'abbé Ratzinger" circule sur le net

14 Juin 2010, 10:32am

Publié par Véronique J.

mais jusqu'où iront-ils ???!!!



en faisant circuler cette photo tronquée tendant à laisser croire , en son temps , à un salut nazi du jeune abbé !!!!

Sacri Palazzi d'Andréa Tornielli publie aujourd'hui l'original de la photo, rétablissant la vérité ...mais qui en a cure ?

 

 

Faites circuler. Merci.

Source

 

 

 

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Belle est l'âme qui reste assise pendant la Communion, qui à cause de son ou ses péchés graves...

14 Juin 2010, 10:18am

Publié par Véronique J.

Ce qui compte ce n'est pas le regard du monde sur nous mais celui de Dieu.

 

Belle est l'âme qui reste assise pendant la Communion, qui à cause de son ou ses péchés graves (mortels [concernant les Dix Commandements]) ne peut recevoir Notre-Seigneur présent dans la Sainte Hostie Consacrée par le prêtre.

Dieu lui a mis en lumière ses fautes et l'invite à les confesser pour devenir meilleure, et veut d'elle qu'elle ne les commette plus à l'avenir.

Elle a peut-être menti, ou bien volé, ou tuer par un avortement ou l'euthanasie... Dieu seul sait tout cela car Il connait tout de nous, même nos moindres pensées.

Belle est l'âme donc qui répond à la demande de conversion de Dieu qui lui met en lumière ses fautes et dont Il souhaite qu'elle se corrige.

Oui, Dieu est Amour et appelle à l'amour. Il est miséricorde et nous appelle à confesser nos péchés.

Il le fait en douceur ne souhaitant que notre sainteté et, veut plus que tout que notre âme vive de Ses Dix Commandements d'Amour. Les mettre en pratique c'est vivre libre, dans la paix et l'Amour.

Il faudra bien sûr que l'âme ait beaucoup de soins pour elle en allant se confesser rapidement pour enlever les ténèbres qui sont en elle (à cause de ses péchés), aussi elle pourra de nouveau aller se nourrir de Notre-Seigneur Jésus-Christ présent dans la Sainte Hostie ; "Je suis la lumière du monde" (Jean 8, 12), ainsi elle fera entrer la Lumière en elle. L'âme est alors animée d'un amour débordant de vouloir recevoir à nouveau Jésus, car sans Lui elle sait qu'elle ne peut rien faire (Jean 15, 5).

Parce que le péché nous coupe de Dieu, alors que si nous nous remplissons de Lui nous avons la vie en nous et, celui qui se donne les moyens de ne pas y succomber (au péché) peut recevoir  l'Eucharistie car Notre-Seigneur Jésus-Christ dit : " Celui qui mange ma chair et boit mon sang, demeure en moi, et moi en lui." (Jean 6, 56).

 

Lorsque l'âme qui se sent indigne de recevoir Notre-Seigneur Jésus-Christ présent dans l'Eucharistie, c'est Dieu qui lui fait voir cela, Il lui fait voir la différence entre le bien et le mal, et l'appelle ainsi à devenir meilleure.

Belle est l'âme qui s'abstient de recevoir Jésus dans la sainte Hostie, car elle comprend que le(s) péché(s) grave(s) qu'elle a pu commettre est contraire à la perfection qu'est Dieu, contraire à ses Dix Commandements... par cette grâce que Dieu lui accorde, Il l'invite à mettre en pratique sa parole. 

Il ne faut pas oublier de dire qu'en tout cela Dieu nous appelle sans cesse à nous plonger dans sa Miséricorde qui est infinie, nos péchés sont bien petits comparés à elle.

Ne pas vouloir se confesser ou tout confesser, peut-être en avoir honte ou/et peur, là seront des tentations qu'il ne faut pas écouter, au contraire, lorsqu'elles sont à la porte de notre âme il faut leur claquer la porte, les ignorer, ainsi Dieu qui est Amour mais aussi miséricorde nous fait jouir de tout ce qu'Il est et qu'Il a voulu pour nous, oui, Il nous tend sans cesse sa main en nous disant :

"Viens, viens vers Moi, Je te veux meilleur(e), je te veux parfait(e), plonge-toi dans ma miséricorde elle est là pour ça, ne la rend pas inutile, elle est à ta disposition autant qu'il te le faut, mon Fils est mort pour cela sur la Croix, et pour toi comme pour toutes les âmes de la terre que j'ai créées... Implore ma miséricorde, aime-la, fais-lui confiance, espère en elle, elle te réconcilira avec Moi parce que je t'ai voulu depuis toute éternité et Je te veux auprès de Moi pour toujours... J'ai besoin de toi, Je veux quelque chose de toi, demandes-le moi."

 

 

Véronique

 

 

 

 

 

 

 

 

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Prière au Saint-Esprit pour les affligés

13 Juin 2010, 22:22pm

Publié par Véronique J.

Esprit Saint, qui êtes Dieu

et Consolateur très bon,

délivrez-nous aujourd'hui de la tristesse

et du découragement ;

préservez à jamais tous les chrétiens

du désespoir et de ses funestes suites.

À tous, même à ceux qui se feraient mourir

ou qu'enlèveraient une mort subite ou violente,

donnez très miséricordieusement

le temps et la grâce d'une salutaire contrition.
Amen.

 

Prière extraite du manuel de l'Archiconfrérie du Saint-Esprit

 

"Le Saint Esprit"

Prières et textes

Éditions Bénédictines

 

 

 

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Prière au Saint-Esprit pour l'unité des chrétiens

13 Juin 2010, 22:18pm

Publié par Véronique J.

Esprit-Saint, Esprit de vérité,

Venez dans nos coeurs ;

Donnez aux peuples la clarté de votre lumière,

Afin qu'ils vous plaisent dans l'unité de la foi.

Amen.

 

 

"Le Saint-Esprit"

Prières et textes

Éditions Bénédictines

 

 

 

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L'union du Coeur de Notre-Seigneur Jésus et de celui du prêtre pendant l'Eucharistie

13 Juin 2010, 21:28pm

Publié par Véronique J.

Messe...........

Jusqu'à sa mort sur la Croix le coeur de Notre-Seigneur Jésus-Christ n'a cessé d'être tourné vers celui de son Père du Ciel.

Pendant la messe, le coeur du prêtre ne cesse d'être tourné vers le coeur de Notre-Seigneur qui a été transpercé pour nous.

Notre-Seigneur Jésus-Christ ne cesse de se donner pour que nous vivions à travers Lui. Il nous invite inlassablement dans le refuge de son Sacré Coeur, où nous trouvons son amour, sa miséricorde, sa douceur, sa tendresse, sa patience, son humilité, sa lumière, ses grâces...

Nous pouvons voir avec quel soins le prêtre prépare le Saint Sacrifice d'amour sur l'Autel, s'unissant ainsi au Christ Sauveur, d'Amour, de vie, de lumière, d'éternité.

Ainsi le prêtre ouvre son coeur à l'Amour, s'unissant à l'Amour débordant du Sacré Coeur de Notre-Seigneur qui nous aime tant, ainsi leurs deux coeurs s'unissent pour la Gloire de Dieu et le salut des âmes.

Dieu le Père permet cela à chaque Messe célébrant la Sainte Eucharistie où Notre-Seigneur Jésus-Christ est présent dans chaque parcelle de l'Hostie Consacrée, même la plus petite.

Notre-Seigneur Jésus-Christ n'a fait qu'aimer, son Sacré Coeur a tout enduré, mais l'amour a toujours triomphé. Nous aussi, n'avons-nous pas un coeur, l'avons-nous habitué à aimer ?

 

Ô Seigneur, rendez nos coeurs semblables au Vôtre.

 

Véronique J.

 

 

 

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